Ah ouais, la critique d'Elisabeth intervient juste après l'antho Retour sur l'Horizon, et se termine ainsi :Jean-Claude Dunyach a écrit :Pour info, Elisabeth Vonarburg pense et dit aussi autre chose. Voir sa critique du dernier Werber, le miroir de Cassandre, ici. Juste au bas de la page.Lem a écrit :Et après ? WB écrit vraiment mal. Je ne vais pas mentir parce que c'est de la SF.Erion a écrit :C'est précisément ce que font les "élites" vis-à-vis de la SF : "je n'arrive pas à en lire" et "je les trouve vraiment mal écrits".
De toute façon, chacun fait ce qu'il veut. Jean-Claude Dunyach pense et dit autre chose ; ça ne me pose aucun problème. Mais si on me pose la question à moi, je dirai ça.
Allez, fin du sujet.
Vous ai-je dit que j'adorais ce fil ?
"Compte tenu de l’accueil toujours… ambivalent du milieu SF français à l’égard de Bernard Werber, il peut sembler provoquant de le dire, mais j’ai presque trouvé davantage de SF, et moderne, dans ce roman, que dans tout le collectif de Lunes d’encre. Non seulement le futur y est aussi présent que le présent, mais il peut encore apporter des présents ! Contre l’hypnose actuelle de l’éternel instant dans l’oubli perpétuel du passé et de ses leçons, l’optimisme raisonné de la SF persiste : oui, il y a une ligne ininterrompue du temps humain, oui, l’Histoire humaine est un perpétuel devenir, avec un futur qu’il nous appartient chaque jour de rendre viable en l’imaginant – en le rêvant."
Finalement, Werber a bien sa place dans ce fil.