Ian McDonald, Le Fleuve des dieux / River of gods
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Ian McDonald, Le Fleuve des dieux / River of gods
Pour les libraires et les journalistes qui rôdent par ici et que ça intéresse, le livre sera disponible en SP dès la fin du mois de juin (il sort début septembre).
N'hésitez pas à me demander un exemplaire en MP.
GD, directeur de la collection Lunes d'encre
*
4e de couv (projet...) :
Tous les Hindous vous le diront, pour se débarrasser de ses péchés, il suffit de se laver dans les eaux du Gangâ, dans la cité de Vârânacî.
Et, en cette année 2047, les péchés ce n'est pas ce qui manque : un corps aux ovaires prélevés glisse doucement sur les eaux du fleuve ; des intelligences artificielles se rebellent et causent de tels dégâts qu'une unité de police a été spécialement créée pour les excommunier.
Gangâ, le fleuve des Dieux, dont les eaux n'ont jamais été aussi basses, se rue vers un gouffre... conceptuel, technologique, évolutionnaire – ou peut-être tout cela à la fois.
A travers le kaléidoscope de neuf destins individuels interconnectés, Ian McDonald dresse le portrait d'une Inde future, mais aussi d'une Terre future, où tout n'est que vertige. Souvent considéré outre-Atlantique et outre-Manche comme le roman de science-fiction le plus important des quinze dernières années, Le Fleuve des dieux a reçu le British Science fiction Award et a été finaliste du prestigieux Prix Hugo.
Ian McDonald est né à Manchester en 1960. Il s'est récemment imposé avec Le Fleuve des Dieux, Brasyl, Cyberabad Days et The Dervish House comme l'auteur de science-fiction le plus important de sa génération.
Roman traduit de l'Anglais (Irlande du nord) par Gilles Goullet
Illustration de couverture : Manchu
N'hésitez pas à me demander un exemplaire en MP.
GD, directeur de la collection Lunes d'encre
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4e de couv (projet...) :
Tous les Hindous vous le diront, pour se débarrasser de ses péchés, il suffit de se laver dans les eaux du Gangâ, dans la cité de Vârânacî.
Et, en cette année 2047, les péchés ce n'est pas ce qui manque : un corps aux ovaires prélevés glisse doucement sur les eaux du fleuve ; des intelligences artificielles se rebellent et causent de tels dégâts qu'une unité de police a été spécialement créée pour les excommunier.
Gangâ, le fleuve des Dieux, dont les eaux n'ont jamais été aussi basses, se rue vers un gouffre... conceptuel, technologique, évolutionnaire – ou peut-être tout cela à la fois.
A travers le kaléidoscope de neuf destins individuels interconnectés, Ian McDonald dresse le portrait d'une Inde future, mais aussi d'une Terre future, où tout n'est que vertige. Souvent considéré outre-Atlantique et outre-Manche comme le roman de science-fiction le plus important des quinze dernières années, Le Fleuve des dieux a reçu le British Science fiction Award et a été finaliste du prestigieux Prix Hugo.
Ian McDonald est né à Manchester en 1960. Il s'est récemment imposé avec Le Fleuve des Dieux, Brasyl, Cyberabad Days et The Dervish House comme l'auteur de science-fiction le plus important de sa génération.
Roman traduit de l'Anglais (Irlande du nord) par Gilles Goullet
Illustration de couverture : Manchu


C'est vraiment la crise dans le monde du livre.
Je comprends mieux les angoisses existentielles de Jean-Marc Roberts ce matin à la radio...
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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En fait, je "cible" mes SP, vu que je les ai diminués drastiquement. Je préfère envoyer des bouquins à des libraires intéressés/passionnés (j'ai constitué une liste de 50 libraires qui me sert de "base") plutôt qu'à des journalistes submergés qui n'ont pas de place pour parler de (vraie) science-fiction.MF a écrit :Les éditeurs en sont à draguer les forum pour placer des SP
![]()
C'est vraiment la crise dans le monde du livre.
Je comprends mieux les angoisses existentielles de Jean-Marc Roberts ce matin à la radio...
Et ce n'est pas nouveau, je fais ça depuis des années, mais avant ce n'était pas sur ce forum

Je le fais aussi via le blog de la collection et ça marche, à mon avis, très bien.
GD
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Pas gratuit pour tout le monde, d'accord.GillesDumay a écrit :"Un repas gratuit ça n'existe pas."
Mais gratuit pour soi, je te garantis que si.

Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
- thomasday
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Désolé, c'est pas possible, il y a trop de blogs...Lhisbei a écrit :et si on est ni libraire ni journaliste (mais blogueur) on est potentiellement concerné par ce type d'annonce de Denoël ou pas ?
Déjà sur les sites, je me cantonne à une demi-douzaine qui sont sérieux et font systématiquement (ou presque) des papiers.
GD
merci de la réponse.
une "réflexion" d'ordre plus général (je ne vise pas Denoël)
c'est marrant : on est toujours plus exigeant avec les sites internet qu'avec les journalistes presse écrite; Ils reçoivent des SP et ont le choix de faire ou pas un papier (+ le redac chef qui décide si la place pour ledit papier existe). si le journal publie le papier l'éditeur est content. sinon il n'est pas heureux mais il continue d'envoyer des SP.
pour les sites la critique est quasi obligatoire (faut être sérieux tout de même), et pour les blogs les éditeurs vont parfois jusqu'à imposer un délai de lecture...
pour justifier ça on vous serine que la presse écrite à plus de poids qu'une galaxie de site ou de blogs. mais nombre de lecteurs ne font plus leur choix de lecture en fonction de la presse écrite. ma PAL (pile à lire dans le jargon des blogs) est en constante augmentation depuis que je fréquente des sites comme ActuSf et la Yozone et des blogs (en plus je suis rarement déçue de mes achats).
une "réflexion" d'ordre plus général (je ne vise pas Denoël)
c'est marrant : on est toujours plus exigeant avec les sites internet qu'avec les journalistes presse écrite; Ils reçoivent des SP et ont le choix de faire ou pas un papier (+ le redac chef qui décide si la place pour ledit papier existe). si le journal publie le papier l'éditeur est content. sinon il n'est pas heureux mais il continue d'envoyer des SP.
pour les sites la critique est quasi obligatoire (faut être sérieux tout de même), et pour les blogs les éditeurs vont parfois jusqu'à imposer un délai de lecture...
pour justifier ça on vous serine que la presse écrite à plus de poids qu'une galaxie de site ou de blogs. mais nombre de lecteurs ne font plus leur choix de lecture en fonction de la presse écrite. ma PAL (pile à lire dans le jargon des blogs) est en constante augmentation depuis que je fréquente des sites comme ActuSf et la Yozone et des blogs (en plus je suis rarement déçue de mes achats).
Malheureusement, les progrès de la science sont souvent comme une hache dans les mains d’un criminel pathologique - Albert Einstein
- dracosolis
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Je suis bien content de ne pas m'occuper de la presse écrite, mais là-bas comme partout les quotas de SP (sur mon domaine) ont fortement diminué.Lhisbei a écrit :c'est marrant : on est toujours plus exigeant avec les sites internet qu'avec les journalistes presse écrite; Ils reçoivent des SP et ont le choix de faire ou pas un papier (+ le redac chef qui décide si la place pour ledit papier existe). si le journal publie le papier l'éditeur est content. sinon il n'est pas heureux mais il continue d'envoyer des SP.
pour les sites la critique est quasi obligatoire (faut être sérieux tout de même), et pour les blogs les éditeurs vont parfois jusqu'à imposer un délai de lecture...
GD (et ce coup-ci, je ne me suis pas planté d'avatar)