Archéologie fantastique
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- Soslan
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Affirmatif.Le_navire a écrit :Soslan, tu m'as donné envie, mais j'ai un doute, tu parles bien du livre de Le Quellec ?
"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
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Ouais, d'ailleurs je dois quand même nuancer un peu mon "se lit comme un roman" (qui est quand même vrai pour une partie du bouquin) en précisant qu'il y a pas mal de passages ardus, puisque ça reste une série d'articles de démonstration archéologiques et non un simple compte-rendu (qui aurait sans doute moins de pertinence dans l'impertience).Patrice a écrit :Salut,1
Je t'avouerais que j'ai exactement le même avis que Soslan, mais là encore, je ne suis pas objectif.
A+
Patrice
"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
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Tenez, je ne résiste pas au plaisir de réagir à chaud sur le livre et d'apporter mon grain de sel personnel, en essayant de spoiler le moins possible. Ca pourra servir de teaser et montrer que vous pouvez aussi appliquer ce livre à votre quotidien (c'est moi ou je parle comme le Prophète Bernard ?)
Le livre de Le Quellec parle énormement d'une technique infaillible de pseudo-science appelée pareidolie : en gros, le réflexe psychologique qui nous fait voir des conneries dans les nuages, a été théorisé dans l'art par entre autres Léonard de Vinci. et se répercute aussi bien dans les mythes (l'Homme ou le lièvre qu'on a vu un peu partout dans le monde dans les taches lunaires) que, bien sûr, dans la pseudo-archéologie. Le chapitre entièrement consacré à ce réflexe, outre d'être un peu à contre-courant car mettant en scène une scientifique sérieuse, commence par une petite série d'exemples qui est sans doute le moment le plus fendard du recueil (j'en ai encore mal aux côtes).
Et donc, j'ai pensé à une exposition lilloise tenue en 2009 et intitulée Hypnos reconnue d'interêt national par le Minstère de la culture, à raison très certainement, mais où en raison du sujet (la représentation de l'inconscient des spirites aux surréalistes) nécessitait de garder son sens critique allumé.
Il y avait notamment ceci : un dyptique de tableaux d'un peintre spirite dont j'ai oublié le nom, censé représenter des cartes de la Seconde Guerre Mondiale (une en Méditerrannée, l'autre en Angletterre)...peintes en 1932.
On EST tous tombé dans le panneau, et avons rivalisé d'ingéniosité pour décrypter le tableau. Un seul a osé, l'impie, jouer les vil Saint-Thomas mécréants, mais la seule hypothèse rationnelle qu'il a trouvé était que le tableau..datait de 1942 et non de 1932. Cet argument a fait les délices du new ageux convaincu de notre groupe qui l'a qualifié de "rationalisme poussé à l'extrême" (alors que "autres délires" serait plus juste). La pareidolie, que j'ai découvert hier, n'a même pas été imaginé.
Sinon, dans notre milieu, on pourrais s'intéresser à une remarque, promise à un certain succés si j'en crois une page que j'ai lu sur le ouèbe, de Jacques van Herp sur La Fin D'Illa de Moselli : les nom de dictateur et de son âme damné, Rair et Limm, préfigurerait ceux de Hitler et Himmler.
On pourrait allonger la liste je crois. Les hypothèses loufoque sont décidemment en germe à chaque coin de rue. Tout ça c'est le complot judéo-maçonnique, moi j'vous dis.
Le livre de Le Quellec parle énormement d'une technique infaillible de pseudo-science appelée pareidolie : en gros, le réflexe psychologique qui nous fait voir des conneries dans les nuages, a été théorisé dans l'art par entre autres Léonard de Vinci. et se répercute aussi bien dans les mythes (l'Homme ou le lièvre qu'on a vu un peu partout dans le monde dans les taches lunaires) que, bien sûr, dans la pseudo-archéologie. Le chapitre entièrement consacré à ce réflexe, outre d'être un peu à contre-courant car mettant en scène une scientifique sérieuse, commence par une petite série d'exemples qui est sans doute le moment le plus fendard du recueil (j'en ai encore mal aux côtes).
Et donc, j'ai pensé à une exposition lilloise tenue en 2009 et intitulée Hypnos reconnue d'interêt national par le Minstère de la culture, à raison très certainement, mais où en raison du sujet (la représentation de l'inconscient des spirites aux surréalistes) nécessitait de garder son sens critique allumé.
Il y avait notamment ceci : un dyptique de tableaux d'un peintre spirite dont j'ai oublié le nom, censé représenter des cartes de la Seconde Guerre Mondiale (une en Méditerrannée, l'autre en Angletterre)...peintes en 1932.
On EST tous tombé dans le panneau, et avons rivalisé d'ingéniosité pour décrypter le tableau. Un seul a osé, l'impie, jouer les vil Saint-Thomas mécréants, mais la seule hypothèse rationnelle qu'il a trouvé était que le tableau..datait de 1942 et non de 1932. Cet argument a fait les délices du new ageux convaincu de notre groupe qui l'a qualifié de "rationalisme poussé à l'extrême" (alors que "autres délires" serait plus juste). La pareidolie, que j'ai découvert hier, n'a même pas été imaginé.
Sinon, dans notre milieu, on pourrais s'intéresser à une remarque, promise à un certain succés si j'en crois une page que j'ai lu sur le ouèbe, de Jacques van Herp sur La Fin D'Illa de Moselli : les nom de dictateur et de son âme damné, Rair et Limm, préfigurerait ceux de Hitler et Himmler.
On pourrait allonger la liste je crois. Les hypothèses loufoque sont décidemment en germe à chaque coin de rue. Tout ça c'est le complot judéo-maçonnique, moi j'vous dis.
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c'est le probleme dans tout ces trucs (tableaux , livres...) on nous dit ce qu'il y a à trouver , ce serais plus interressant si on nous laissais trouver nous meme (si 1000 personnes ne connaissant pas ce tableau ni son histoire arrivent à y voir des cartes de la deuxieme , faudra recentrer la question sur :post 1942 ou vrai probleme à expliquer)
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C'est un éléphant de bar. Il y en a au de la taille d'une souris, rose, parfois avec des pois. Bien attestés dans une nouvelle de Clarke, sauf erreur.Fred Combo a écrit :Oui.
Par contre, je ne croyais pas qu'il avait existé une espèce d'éléphants minuscules en Sicile, et pourtant... (bon, d'accord, c'est un lien wiki, mais je suis au boulot alors pas le temps de faire mieux...)
C'est un domaine fascinant...
En tout cas, moi, j'en ai vu sans réussir à en capturer. Trop saoul pour ça.
Mon immortalité est provisoire.