Clifford D. SIMAK - Au carrefour des étoiles
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Clifford D. SIMAK - Au carrefour des étoiles
Hop !
Lu en guise de préparatif à A travers temps de Robert Charles Wilson, puisque ce dernier roman serait entre autres un hommage au classique de Simak.
Ben je dois dire que je me suis régalé. On retrouve dans ce bouquin court et débordant d'idées tout ce qui fait l'intérêt de Simak, et par exemple du recueil Voisins d'ailleurs (cadre rural et quiet, extraterrestres "voisins", "humanisme" et "optimisme", etc.), mais canalisé et rendu cohérent l'espace d'un roman. C'est extrêmement riche, très bien conçu, et ça n'a pas pris une ride (ou presque : il y a bien quelques passages "mystiques" qui peuvent faire sourire, mais ça, c'est sans doute parce que je suis un gros cynique...).
Je n'en ferai peut-être pas quelque chose d'aussi fort que Demain les chiens, mais c'est assurément quelque chose qui mérite d'être lu, et un "classique" (prix Hugo 1964) qui mérite bien de conserver ses lauriers.
Lu en guise de préparatif à A travers temps de Robert Charles Wilson, puisque ce dernier roman serait entre autres un hommage au classique de Simak.
Ben je dois dire que je me suis régalé. On retrouve dans ce bouquin court et débordant d'idées tout ce qui fait l'intérêt de Simak, et par exemple du recueil Voisins d'ailleurs (cadre rural et quiet, extraterrestres "voisins", "humanisme" et "optimisme", etc.), mais canalisé et rendu cohérent l'espace d'un roman. C'est extrêmement riche, très bien conçu, et ça n'a pas pris une ride (ou presque : il y a bien quelques passages "mystiques" qui peuvent faire sourire, mais ça, c'est sans doute parce que je suis un gros cynique...).
Je n'en ferai peut-être pas quelque chose d'aussi fort que Demain les chiens, mais c'est assurément quelque chose qui mérite d'être lu, et un "classique" (prix Hugo 1964) qui mérite bien de conserver ses lauriers.
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
- Fred Combo
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Je suis pareil, j’ai un peu oublié les détails (il va falloir que je le relise !). Mais je sais qu'a l'époque, il m’avait fait une très forte impression. J’ai surtout le souvenir d’une ambiance rurale émouvante et de cet humaniste qui lui appartient en propre.
J’adore cet auteur, justement à cause de cet humaniste qu’on retrouve dans presque toute ses œuvres, même dans des récits qui, il faut bien le reconnaître, sont moins enthousiasmants qu’au carrefour des étoiles.
On en sort souvent tellement ému qu’on lui pardonne tout le reste.
J’adore cet auteur, justement à cause de cet humaniste qu’on retrouve dans presque toute ses œuvres, même dans des récits qui, il faut bien le reconnaître, sont moins enthousiasmants qu’au carrefour des étoiles.
On en sort souvent tellement ému qu’on lui pardonne tout le reste.
- Soslan
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J'en garde de très bons souvenirs aussi.
"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
http://karelia.over-blog.com/
Et pour ne pas faire que ma propre promo :
http://musardises.moonfruit.fr/
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Je l'avais lu chez j'ai lu avec une chouette couv. de Caza ; si mes souvenirs sont bons , ce qui m'avait frappé , c'était que le héros fournissait son facteur , par ailleurs sculpteur sur bois , en blocs de bois exotiques venant d'autres planètes . Avec Dans le torrent des siècles , Le pêcheur , Demain les chiens et Le principe du loup-garou , il faisait partie de mes lectures marquantes de l'auteur à cette époque (milieu des années 70).
"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"
- Eons
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Il a été adapté au cinéma, mais sauf erreur je n'ai jamais vu le film arriver en France.
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
- bormandg
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Y'a des messages qui voyagent dans le temps, ou quoi? TD et Eons....
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
- Eons
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Faudra que tu expliques comment tu as pu répondre à mon message avant que je l'aie posté.thomasday a écrit :Ah ?Eons a écrit :Il a été adapté au cinéma, mais sauf erreur je n'ai jamais vu le film arriver en France.
TD
(Ah décalage de postage... C'est ce qu'on dit non ?)
Pour le film, il y a un fil ici même : http://www.actusf.com/forum/viewtopic.php?p=72976
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
Oui, enfin, je mettrais un bémol, tout de même : le happy end n'est pas complet, dans Au carrefour des étoiles, et même s'il tend à être vrai d'un point de vue "global", la toute fin est quant à elle plutôt glaçante, sur un plan plus personnel.
Dans mon compte rendu, je reprends les très belles formules de Pierre-Paul Durastanti à ce sujet :
Dans mon compte rendu, je reprends les très belles formules de Pierre-Paul Durastanti à ce sujet :
J'approuve totalement.Pierre-Paul Durastanti a écrit :à la fin, quand tout est résolu, l’auteur ne peut se contenter d’un banal happy end, si bien que le lecteur, gorgé de soleil automnal, referme le livre secoué par un de ces frissons qui annoncent la froidure de l’hiver.
Tout l’art de Simak, tout son équilibre et toutes ses nuances résident dans le paradoxe de ce frisson sous le soleil.
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
Depuis longtemps dans ma bilblio, je le relis tous les 5 ans environ, quand je ne sais plus trop quoi lire !
Pour l'ambiance champêtre, c'est juste les alentours de la station, le reste est un monde "civilisé", avec ses super flics ...
A+
Par contre, c'est ch..., je n'arrive pas à bien me souvenir du mot de la fin, va falloir que je m'y replonge (à la faveur de mon déplacement à Tunis lundi prochain par exemple...)
Pour l'ambiance champêtre, c'est juste les alentours de la station, le reste est un monde "civilisé", avec ses super flics ...
A+
Par contre, c'est ch..., je n'arrive pas à bien me souvenir du mot de la fin, va falloir que je m'y replonge (à la faveur de mon déplacement à Tunis lundi prochain par exemple...)
Le seul bon humain est un humain mort, et encore, généralement, il pue
(proverbe Xeno récupéré sur un fanzine à la convention de SF de Bordeaux il y a très, très longtemps).
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