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Sérieux, c'est pas pareil en France pour ça?orcusnf a écrit :la belgique c'est un autre monde, ne l'oublie pas. ( et je sais de quoi je parle, je suis chti)
Pas tout à fait neuf : sorti du pressage, il reste des bavures qui perturbent le signal. Ensuite moins. Et si on l'écoute trop ça se dégrade. C'est compliqué. Mais à un moment donné, entre l'écoute X et l'écoute Y, le vinyle est effectivement bien supérieur en qualité et en dynamique puisqu'il y a plus d'informations sur le support.Eons a écrit :Et un vinyle neuf, parce que ces trucs-là, ça s'use.Roland C. Wagner a écrit :Le mythe du CD qui aurait un « meilleur » son que le vinyle ne résiste pas à une expérience pratique qui consiste à passer en aveugle à un sujet deux versions d'un même morceau, l'un en CD, l'autre en vinyle. Bon, ça nécessite de bien choisir le vinyle : un pressage de bonne qualité est indispensable.
Oué. Et dans les concerts, les amplis chauffent et ronflent. C'est d'un chiant... Sans parler du public qui passe tout son temps à parasiter le son. Raaaah !Eons a écrit :Désolé, Roland, faut croire que je perçois mieux les crachotements que le sujet lambda, parce que y compris dans les années ’60 je n'ai jamais écouté un seul microsillon exempt de ce bruit de fond, absent des CD enregistrés directement en numérique. Même un disque neuf avec un diamant du même métal. Le niveau était très variable, mais jamais inaudible. Du moins pour moi.
T'as compris pourquoi, depuis quelques brèves expériences de la fin des années ’60, je n'y suis plus jamais allé.Aldaran a écrit :Oué. Et dans les concerts, les amplis chauffent et ronflent. C'est d'un chiant... Sans parler du public qui passe tout son temps à parasiter le son. Raaaah !
Ah ouais, t'aime pas la musique alors.Eons a écrit :T'as compris pourquoi, depuis quelques brèves expériences de la fin des années ’60, je n'y suis plus jamais allé.Aldaran a écrit :Oué. Et dans les concerts, les amplis chauffent et ronflent. C'est d'un chiant... Sans parler du public qui passe tout son temps à parasiter le son. Raaaah !
Et quand je vais (rarement) au cinéma, je suis d'autant plus satisfait que la salle est peu remplie. Y'a moins de parasites pour gêner l'immersion.
Par contre, je peux vous dire qu'en musique classique, une bonne huitième de Bruckner dans une vraie salle de concert, c'est quelque chose par rapport à la simple écoute. Pareil pour l'opéra, où en vrai, ça écrase tous les DVDs du monde...Eons a écrit :T'as compris pourquoi, depuis quelques brèves expériences de la fin des années ’60, je n'y suis plus jamais allé.Aldaran a écrit :Oué. Et dans les concerts, les amplis chauffent et ronflent. C'est d'un chiant... Sans parler du public qui passe tout son temps à parasiter le son. Raaaah !
Et quand je vais (rarement) au cinéma, je suis d'autant plus satisfait que la salle est peu remplie. Y'a moins de parasites pour gêner l'immersion.
Si, justement. Mais je fais la différence entre musique et bruit.Erion a écrit :Ah ouais, t'aime pas la musique alors.Eons a écrit :T'as compris pourquoi, depuis quelques brèves expériences de la fin des années ’60, je n'y suis plus jamais allé.Aldaran a écrit :Oué. Et dans les concerts, les amplis chauffent et ronflent. C'est d'un chiant... Sans parler du public qui passe tout son temps à parasiter le son. Raaaah !
Et quand je vais (rarement) au cinéma, je suis d'autant plus satisfait que la salle est peu remplie. Y'a moins de parasites pour gêner l'immersion.
ça marche aussi avec Alice Cooper^^Lensman a écrit :Par contre, je peux vous dire qu'en musique classique, une bonne huitième de Bruckner dans une vraie salle de concert, c'est quelque chose par rapport à la simple écoute. Pareil pour l'opéra, où en vrai, ça écrase tous les DVDs du monde...Eons a écrit :T'as compris pourquoi, depuis quelques brèves expériences de la fin des années ’60, je n'y suis plus jamais allé.Aldaran a écrit :Oué. Et dans les concerts, les amplis chauffent et ronflent. C'est d'un chiant... Sans parler du public qui passe tout son temps à parasiter le son. Raaaah !
Et quand je vais (rarement) au cinéma, je suis d'autant plus satisfait que la salle est peu remplie. Y'a moins de parasites pour gêner l'immersion.
Mais pour les autres genres musicaux, je ne m'avancerai pas.
Oncle Joe
Mysticisme, si on veut... ce sont des conditions différentes, dans lesquelles ont est sollicité par d'autres stimulations qui provoquent d'autres sensations. Les plaisirs sont tout simplement différents: écouter tranquillement un morceau de musique chez soi, ou assister à son exécution sur scène.dracosolis a écrit :ça marche aussi avec Alice Cooper^^Lensman a écrit :Par contre, je peux vous dire qu'en musique classique, une bonne huitième de Bruckner dans une vraie salle de concert, c'est quelque chose par rapport à la simple écoute. Pareil pour l'opéra, où en vrai, ça écrase tous les DVDs du monde...Eons a écrit :T'as compris pourquoi, depuis quelques brèves expériences de la fin des années ’60, je n'y suis plus jamais allé.Aldaran a écrit :Oué. Et dans les concerts, les amplis chauffent et ronflent. C'est d'un chiant... Sans parler du public qui passe tout son temps à parasiter le son. Raaaah !
Et quand je vais (rarement) au cinéma, je suis d'autant plus satisfait que la salle est peu remplie. Y'a moins de parasites pour gêner l'immersion.
Mais pour les autres genres musicaux, je ne m'avancerai pas.
Oncle Joe
de toute façon rien ne remplace le "contact" direct dans une salle, parce que ce que les dvd n'enregistreront jamais, c'est le "duende" comme l'appelle les Espagnols. Ce n'est pas tout à fait l'ambiance, encore que, ce sont ces moments magiques où la salle et les musiciens sont une "seule chair"
(je vous jure que ce sont mes seules attaques de mysticisme^^)
Comme de voir un film au ciné ou chez soi (si je trouve, même si je sais que cet avis n'est pas beaucoup partagé...).Lensman a écrit : Mysticisme, si on veut... ce sont des conditions différentes, dans lesquelles ont est sollicité par d'autres stimulations qui provoquent d'autres sensations. Les plaisirs sont tout simplement différents: écouter tranquillement un morceau de musique chez soi, ou assister à son exécution sur scène.
Oncle Joe
J'en ai encore eu la preuve pas plus tard que vendredi dernier, en allant voir Simple Minds en concert. "Mandela Day" c'est autre chose quand le public chante avec Jim Kerr que sur cd.dracosolis a écrit :de toute façon rien ne remplace le "contact" direct dans une salle
faire la queue leuleu à un concert de marcel et son orchestre, ca n'a pas de prix...Hoêl a écrit :Ouaip , et puis , sur scène , il y a l'imprévu , l'impro , le dialogue artiste/public , c'est pour ça que je n'aimais pas Gabriel en live , trop préparé , pas de surprise , le maître dans le spectacle reste pour moi le grand Jacques Higelin (même si j'ai des souvenirs moins convainquants le concernant , mais il avait dû participer à des déjeuners du lundi avec Tonton...) .
