Jean-Claude Dunyach a écrit :Fifokaswiti a écrit :Oui, enfin il n'est pas question de 5000 mots « gardables. » Juste d'une motivation pour s'y mettre. Là-dessus, il devait lui arriver d'en garder, quoi, 1000 ? Ça reste déjà honnête.
Qu'est-ce que tu en sais ? Tu connaissais Sheckley ?
Non, mais je dis bien "il devait lui arriver", ce qui est une façon de dire que j'imagine que ça pouvait arriver. Je n'ai aucune idée de sa productivité réelle et je présente mes excuses à sa mémoire s'il apparaît que j'ai malencontreusement affirmé des choses, etc, etc.
A ma décharge, tel que c'est présenté, ahem :
The late Robert Sheckley told me how he dealt with it. He'd give himself a minimum word limit of 5,000 words a day, even if all he did was write his name 2,500 times. And on those days he was blocked, he did start writing his name, and after he'd written "Robert Sheckley" 800 or 900 times an inner voice said, "Ah, hell -- if you're going to sit here doing that, you might as well write a story." According to Bob, it never failed.
Ça veut quand même dire, sauf s'il apparaît qu'en plus de ne plus savoir parler français, je ne sais plus lire l'anglais, qu'il visait une certaine quantité de mots même si une certaine proportion, considérable puisqu'il parle de 1600 à 1800 sur les 5000, sont jetables.
Non ?
Bon bah j'ai rien compris alors.