Salut,
Celle que je signale date de 1841. Il y a de la marge entre 1815 et 1841. A moins d'une faille temporelle...
A+
Patrice
Giscard d'Estaing se met à l'uchronie
Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
- bormandg
- Messages : 11906
- Enregistré le : lun. févr. 12, 2007 2:56 pm
- Localisation : Vanves (300 m de Paris)
- Contact :
Pour des tas de raisons, dont la politique et dont la rareté de la réflexion en général et de la réflexion uchronique en particulier dans la littérature du 19° siècle, cette faille n'est pas tellement béante.Patrice a écrit :Salut,
Celle que je signale date de 1841. Il y a de la marge entre 1815 et 1841. A moins d'une faille temporelle...
A+
Patrice

"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Le Napoléon apocryphe (dont on connait l'auteur...) est tout de même assez fondateur, si l'on veut, dans la mesure où c'est un texte qui a été remarqué en son temps, et a connu des rééditions (en son temps, et bien après).. Et il est beaucoup plus développé que les quelques textes antérieurs que l'on trouve auparavant, lesquels ne sont vraiment que des suggestions du concept, plus que de véritables fictions dignes de ce nom. Même si effectivement, le terme "uchronie" est postérieur, et si c'est à Renouvier que revient la gloire de l'avoir inventé.
Curieusement, le roman sur Napoléon à la conquête du monde est nettement plus lisible, aujourd'hui, que le texte de Renouvier, pourtant postérieur...
Les deux se trouvent sans mal sur papier, et doivent être consultables sur Gallica ou un équivalent pour les pauvres, ou les rapiats, ou les non fanatiques du papier disposant d'Internet.
Oncle Joe
Curieusement, le roman sur Napoléon à la conquête du monde est nettement plus lisible, aujourd'hui, que le texte de Renouvier, pourtant postérieur...
Les deux se trouvent sans mal sur papier, et doivent être consultables sur Gallica ou un équivalent pour les pauvres, ou les rapiats, ou les non fanatiques du papier disposant d'Internet.
Oncle Joe