Bradbury? (Dick il y a quand même quelques trucs commerciaux, non?) Et dans les grands classiques, Truman Capote? Steinbeck?Hoêl a écrit :Y'en a qui n'ont pas peur de l'enfilage de lieux communs , Sturgeon , c'est commercial ?! Dick ?! Delany ?! Jeter ?! Vandermeer ?!Culture commerciale, mercantile et bon marché qui fait beaucoup de dégâts sur les voisins, l'américanité me fait penser à une maladie du cerveau inventée par de perpétuels contestataires qui sont bien incapables d'apprécier ce qui vient des autres...
On ferait mieux de dire que l'Histoire du 20ème siècle, c'est aussi celui de la grande presse, me semble-t-il... Bonne année et bonne santé. A+++. ludwig van. ]
n'importe quoi !
Ou encore Paul Auster et sa femme, Siri Hudsvet? (je me trompe toujours en écrivant son nom).
Tout comme en France, il y a des auteurs qui ne sont pas du tout commerciaux, comme Levy, ou Schmitt, ou Musso tiens d'ailleurs... Et les émissions à la télévision française sont hautement intellectuelles (et toutes hérités des Etats-Unis)(rappelons que la première émission de téléréalité n'était pas américaine...).
Bref, je ne suis pas une grande fan de l'Amérique, mais sa culture n'est pas de la sous-culture, et les auteurs américains produisent autant de bonnes choses que d'imbécillités que les français, si l'on tient compte des proportions de la population de ces deux pays...