Pour lire la suite, et obtenir plus de détails, c'est iciYour hero must be likeable and sympathetic at all times. Like James Bond in the Roger Moore era, he’s quick with a quip, and is unruffled by any situation. No amount of exposure to suffering or slaughter should alter your hero in any significant way, although he is allowed to shed the odd manly tear or to express cold steely determination to do something about the death of a loved one. This makes him even more sympathetic. But all trauma is temporary; showing genuine emotion is difficult, and can hold up the plot. A secret past is always good -- you don’t have to deal with the parents. No bad deed goes unpunished; no good deed goes unrewarded; anyone who disagrees with your hero must suffer for it. Everyone’s behaviour has a rational explanation -- Freud is useful in this respect. No one refuses to get with the plot. Everyone acts their part, and is in character all the time. All problems are solvable. Traditionally, SF heroes solved problems by application of intelligence and scientific knowledge
How to Write a Generic SF Novel ?
Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
How to Write a Generic SF Novel ?
Le blog Unlikelyworlds publie un article de Paul McAuley dans lequel le botaniste britannique, auteur entre autres du cycle Quatre Cents Milliards d'Etoiles, répond à cette question de savoir comment fait-on pour écrire un roman de science-fiction. Il y évoque ainsi quelque secrets du genre, comme le héros typé à la James Bond (version Roger Moore, of course), possédant un passé secret et torturé ; une éthique inflexible, un sens du sacrifice exemplaire. Voilà pour le héros. L'action doit être basée sur l'utilisation de l'intelligence humaine contre les machines... Voici un extrait de l'article, non traduit :
What would Malcolm Reynolds do ?
Re: How to Write a Generic SF Novel ?
How to Write a Generic SF Novel ?
pfff...Priscilla a écrit :... une nouvelle de science-fiction...
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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Les lecteurs attentifs auront traduit par "roman", pas de souci à avoir.
Le reste me fait penser à ces charmants articles remplis de conseils pour écrire une saga de fantasy ou un thriller.
Le reste me fait penser à ces charmants articles remplis de conseils pour écrire une saga de fantasy ou un thriller.
"Oph n'est pas un lézard, mais elle présente d'autres atouts."
– Laurent Whale & Jean Millemann
eul' crédit photo !
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On croyait que j'avais touché le fond.Oph a écrit :Les lecteurs attentifs auront traduit par "roman", pas de souci à avoir.
Le reste me fait penser à ces charmants articles remplis de conseils pour écrire une saga de fantasy ou un thriller.
Et puis j'ai trouvé une selle.
Désolé, Oph, mais j'ai corrigé une coquille dans votre signature à l'usage des lecteurs de Fantasy. Pensez-y.
Mon immortalité est provisoire.
C'est surtout totalement écrit au second degré, non ? D'où le "generic" du titre.Le blog Unlikelyworlds publie un article de Paul McAuley dans lequel le botaniste britannique, auteur entre autres du cycle Quatre Cents Milliards d'Etoiles, répond à cette question de savoir comment fait-on pour écrire un roman de science-fiction.
Tu en es certaine ??? Et mince ! Moi qui venais de commencer mon premier roman en suivant scrupuleusement les indications !Mélanie a écrit :C'est surtout totalement écrit au second degré, non ? D'où le "generic" du titre.Le blog Unlikelyworlds publie un article de Paul McAuley dans lequel le botaniste britannique, auteur entre autres du cycle Quatre Cents Milliards d'Etoiles, répond à cette question de savoir comment fait-on pour écrire un roman de science-fiction.
Oncle Joe
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Ah, et moi qui avais élaboré toute une théorie qui partait du principe que la SF allait être reconnue pour ses effets thérapeutiques ; et que donc, pour ne pas creuser le trou de la sécu, il allait falloir trouver des moyens de fabriquer des romans génériques, versions anonymisées des romans tombés dans le domaine public.Mélanie a écrit :C'est surtout totalement écrit au second degré, non ? D'où le "generic" du titre.
Je me voyais déjà aller à ma pharmacie préférée pour demander une boîte de space-opera et un flacon d'anticipation sans sucre.
Je suis déçu…
- marc
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Et ton personnage principal, il est aussi gentil comme James Bond ? Ou il flingue dans tous les coins ?Lensman a écrit :Tu en es certaine ??? Et mince ! Moi qui venais de commencer mon premier roman en suivant scrupuleusement les indications !Mélanie a écrit :C'est surtout totalement écrit au second degré, non ? D'où le "generic" du titre.

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Auteurs préférés : Banks, Hamilton, Simmons, Heinlein, Reynolds, Vance, Weber, Bordage, P. Anderson, Eddings
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Y a un concept à creuser.Fifokaswiti a écrit :Ah, et moi qui avais élaboré toute une théorie qui partait du principe que la SF allait être reconnue pour ses effets thérapeutiques ; et que donc, pour ne pas creuser le trou de la sécu, il allait falloir trouver des moyens de fabriquer des romans génériques, versions anonymisées des romans tombés dans le domaine public.
Je me voyais déjà aller à ma pharmacie préférée pour demander une boîte de space-opera et un flacon d'anticipation sans sucre.
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Mais il ne faut pas oublier qu'ils y a ceux qui ont le fusil et ceux qui creusent...JDB a écrit :Mélanie a écrit :Y a un concept à creuser.Tout se tient.On croyait que j'avais touché le fond.
Et puis j'ai trouvé une pelle.
JDB

"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Si j'avais su que ma signature déchaînerait autant les grands esprits du forum...
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- bormandg
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C'est bien à ça que sert une signature, non?Oph a écrit :Si j'avais su que ma signature déchaînerait autant les grands esprits du forum...
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