Bon , par respect pour les familles et tout ça , je vais éviter les contrepèteries et les jeux-de-mots douteux sur Epinal et ses pluriels , mais vous tendez quand même rudement la perche !Oph a écrit :Si ça marche à New York, en effet, ça peut se tenter.Sand a écrit :un complot des femmes de chambre !Oph a écrit :Bon !
Tout le monde est parti à Épinal, le forum est à nous !
Quelqu'un a un plan de conquête du monde ?![]()
Ah zut, je me disais aussi que mon raisonnement ne pouvait pas être sans faille.Eons a écrit : Fais gaffe, il y a des accès Internet à Épinal aussi.
3615 Nos lifes à nous
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"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"
Et puis, si on est sportif, la perche, ça permet de sauter à l'étage...Hoêl a écrit :
Bon , par respect pour les familles et tout ça , je vais éviter les contrepèteries et les jeux-de-mots douteux sur Epinal et ses pluriels , mais vous tendez quand même rudement la perche !
Bon, soleil, malgré quelques nuages, et café.
Cette nuit, j'ai fait une belle expérience de madeleine de Proust en feuilletant un petit album acheté samedi aux Puces, "L'homme dans l'espace". C'est un album BD "série Mickey" de 1961, à vocation pédagogique, sur la conquête de l'espace. C'est très bien fait, et je me suis aperçu que je l'avait lu... vers l'époque de sa sortie... il y a une allusion à la Guerre de Mondes de Wells, très marrante (même si les tripodes ont... quatre jambes !) C'est étonnant de voir comment chaque image de cet album fait réagir ma mémoire... je me rends compte que je les avais toutes engrangées dans mon esprit.
Oncle Joe
on n'avait pas dit qu'on arrêtait les vannes sur DSK ?Lensman a écrit :Et puis, si on est sportif, la perche, ça permet de sauter à l'étage...
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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- Soslan
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Cette nuit, expérience de rêve lucide assez impressionnante, et aussi très drôle, vous jugerez.
Ces dernières ont bizarrement toujours eu lieu uniquement parce que j'avais entendu parler de rêve lucide. Première fois, un peu décevante, à 17 ans, après avoir quasiment découvert, ou du moins redécouvert, l'existence de cette pratique. Puis l'été dernier, après, avoir vu Inception, deux rêves lucides qui empruntaient au film la forme des rêves gigognes ; expérience assez cauchemardesques : je n'avais pas envie de rentrer dans le jeu, et je me souviens le seconde fois m'être entendu hurler de l'extérieur de rêve, avant de me réveiller.
Enfin, l'extrême inverse cette nuit, suite au visionnage au cinéma l'Hybride, dans une soirée court-métrage elle-même projetée dans le cadre de la théma rêve d'une fiction mettant en scène des rêveurs lucides.
L'élément déclencheur de la prise de conscience a été...mon réveil. Indifférent, comme à n'importe quelle énormité onirique, aux profondes modifications de ma chambre, je restait interloqué devant la présence d'un volet abaissé à la fenêtre. C'est alors que le rêve tente visiblement de se défendre en inventant une explication rationnelle à la mord-moi-le-nœud : le volet serait une sorte de planche jetée par un voisin du dessus
et encastré dans ma fenêtre. Problème, en tombant, elle entraine la vitre (unique dans le rêve, autre élément qui devrait me mettre la puce à l'oreille). Et là, ce fut sans doute la faute de diplomatie fatale de la part du rêve, car c'est probablement le côté désagréable de la situation qui m'a poussé à envisager que je puisse rêver. Et en effet, un examen attentif de ma chambre a confirmé mon intuition.
Et là, je réalise qu'un rêve de gosse, en tout cas d'ado, est en train de se réaliser : je suis dans un rêve cohérent et immersif, avec de véritables sensations physiques, ce qui est exceptionnel dans mes rêves, à supposer même que je n'ai pas oublié ce que cela veuille dire depuis l'enfance. Je sais que j'ai carte blanche dans ce rêve, que je peux enfin le contrôler comme nous le font miroiter les gourous un peu nouille age du rêve lucide !
Ou pas...ce n'est pas tout à fait faux, mais pas tout à fait vrai non plus, et c'est là que ça devient drôle.
Pour décider quoi faire de mon rêve, je n'ai fait ni dans l'originalité ni dans le raffinement : la question posée aux rêveuses lucides de ma connaissances (ma meilleure amie et une autre personne que je soupçonne de baratiner un peu) à savoir "qu'est ce que tu as fait de ton rêve lucide ?" s'est invariablement vu répondre "c'est privé [souriard]". Avec le fait d'affronter ses peurs et celui de s'exercer dans son travail, la concrétisation des fantasmes est l'une des trois merveilles que nous promettent les gourous susmentionnés, même si de façon circonspecte il nous rappellent que le but est de s'en débarrasser et non de se vautrer dans la licence.
Donc, je ne pensait qu'à passer le rêve en aimable compagnie, et j'en serais pour mes frais de mâle primaire.
Au début, cela se passe bien : pour faire venir une demoiselle, il me suffit de rentrer plusieurs fois dans la cuisine et d'en sortir pour revenir dans le salon. Au bout de deux ou trois aller-retour, (pas de jeux de mots vaseux, je vous prie) je suis attendu (air de free-jazz cheap pour film érotique cheap aussi).
Déjà je sens que je vais avoir du mal à maintenir ce rêve à flot, à le rendre immersif : le scénario d'Inception, où les décors oniriques doivent être conçus par une Architecte très douée, artiste-peintre à la ville, me semble plus que jamais crédible.
La suite ressemble à une punition du machisme d'un démiurge ordinaire : en fait de rendez-vous galant, je me retrouve face à une tierce personne, une psychologue laquelle j'essaye d'exposer ma situation de rêveur lucide, pendant que l'aimable demoiselle se fiche gentiment de moi, puis lorsque nous nous retrouvons enfin seul et que j'entreprend de lui prendre la main, je la sens m'infliger une douleur en frottant très fort ma main du poing.
Je comprend que je n'ai plus qu'à me réveiller, penaud, et à retenir la leçon : même dans le monde du rêve, il faut savoir être courtois avec les dames, car là aussi elles ont du répondant.
J'espère faire d'autres rêves lucides à l'avenir, mais pas du tout pour des motivations coquines : quand on a le tempérament imaginatif, il y a des milliers de choses plus intéressantes à faire que de jouer les Don Juan du pauvre. Pour le coup, je me retrouve en plein sense of wonder : un monde entier s'ouvre à nous depuis les prémisses du psychédélisme, et peut-être un jour marcherait-je sur les traces d'Henri Michaux.
En attendant, dans le cadre de la thema rêve, l'Hybride propose demain soir, après la projo de L'été dernier à Marienbad, une soirée d'échanges d'expérience autour du rêve, et j'espère qu'elle amènera assez de mondes motivés pour avoir lieu. Je ne savais pas trop quoi apporter (beaucoup trop de choses à raconter, en fait, souvent trop personnelles à cause de leur récupération en manuscrits) mais là il faut absolument que j'arrive à placer cette histoire.
Ces dernières ont bizarrement toujours eu lieu uniquement parce que j'avais entendu parler de rêve lucide. Première fois, un peu décevante, à 17 ans, après avoir quasiment découvert, ou du moins redécouvert, l'existence de cette pratique. Puis l'été dernier, après, avoir vu Inception, deux rêves lucides qui empruntaient au film la forme des rêves gigognes ; expérience assez cauchemardesques : je n'avais pas envie de rentrer dans le jeu, et je me souviens le seconde fois m'être entendu hurler de l'extérieur de rêve, avant de me réveiller.
Enfin, l'extrême inverse cette nuit, suite au visionnage au cinéma l'Hybride, dans une soirée court-métrage elle-même projetée dans le cadre de la théma rêve d'une fiction mettant en scène des rêveurs lucides.
L'élément déclencheur de la prise de conscience a été...mon réveil. Indifférent, comme à n'importe quelle énormité onirique, aux profondes modifications de ma chambre, je restait interloqué devant la présence d'un volet abaissé à la fenêtre. C'est alors que le rêve tente visiblement de se défendre en inventant une explication rationnelle à la mord-moi-le-nœud : le volet serait une sorte de planche jetée par un voisin du dessus
et encastré dans ma fenêtre. Problème, en tombant, elle entraine la vitre (unique dans le rêve, autre élément qui devrait me mettre la puce à l'oreille). Et là, ce fut sans doute la faute de diplomatie fatale de la part du rêve, car c'est probablement le côté désagréable de la situation qui m'a poussé à envisager que je puisse rêver. Et en effet, un examen attentif de ma chambre a confirmé mon intuition.
Et là, je réalise qu'un rêve de gosse, en tout cas d'ado, est en train de se réaliser : je suis dans un rêve cohérent et immersif, avec de véritables sensations physiques, ce qui est exceptionnel dans mes rêves, à supposer même que je n'ai pas oublié ce que cela veuille dire depuis l'enfance. Je sais que j'ai carte blanche dans ce rêve, que je peux enfin le contrôler comme nous le font miroiter les gourous un peu nouille age du rêve lucide !
Ou pas...ce n'est pas tout à fait faux, mais pas tout à fait vrai non plus, et c'est là que ça devient drôle.
Pour décider quoi faire de mon rêve, je n'ai fait ni dans l'originalité ni dans le raffinement : la question posée aux rêveuses lucides de ma connaissances (ma meilleure amie et une autre personne que je soupçonne de baratiner un peu) à savoir "qu'est ce que tu as fait de ton rêve lucide ?" s'est invariablement vu répondre "c'est privé [souriard]". Avec le fait d'affronter ses peurs et celui de s'exercer dans son travail, la concrétisation des fantasmes est l'une des trois merveilles que nous promettent les gourous susmentionnés, même si de façon circonspecte il nous rappellent que le but est de s'en débarrasser et non de se vautrer dans la licence.
Donc, je ne pensait qu'à passer le rêve en aimable compagnie, et j'en serais pour mes frais de mâle primaire.
Au début, cela se passe bien : pour faire venir une demoiselle, il me suffit de rentrer plusieurs fois dans la cuisine et d'en sortir pour revenir dans le salon. Au bout de deux ou trois aller-retour, (pas de jeux de mots vaseux, je vous prie) je suis attendu (air de free-jazz cheap pour film érotique cheap aussi).
Déjà je sens que je vais avoir du mal à maintenir ce rêve à flot, à le rendre immersif : le scénario d'Inception, où les décors oniriques doivent être conçus par une Architecte très douée, artiste-peintre à la ville, me semble plus que jamais crédible.
La suite ressemble à une punition du machisme d'un démiurge ordinaire : en fait de rendez-vous galant, je me retrouve face à une tierce personne, une psychologue laquelle j'essaye d'exposer ma situation de rêveur lucide, pendant que l'aimable demoiselle se fiche gentiment de moi, puis lorsque nous nous retrouvons enfin seul et que j'entreprend de lui prendre la main, je la sens m'infliger une douleur en frottant très fort ma main du poing.
Je comprend que je n'ai plus qu'à me réveiller, penaud, et à retenir la leçon : même dans le monde du rêve, il faut savoir être courtois avec les dames, car là aussi elles ont du répondant.
J'espère faire d'autres rêves lucides à l'avenir, mais pas du tout pour des motivations coquines : quand on a le tempérament imaginatif, il y a des milliers de choses plus intéressantes à faire que de jouer les Don Juan du pauvre. Pour le coup, je me retrouve en plein sense of wonder : un monde entier s'ouvre à nous depuis les prémisses du psychédélisme, et peut-être un jour marcherait-je sur les traces d'Henri Michaux.
En attendant, dans le cadre de la thema rêve, l'Hybride propose demain soir, après la projo de L'été dernier à Marienbad, une soirée d'échanges d'expérience autour du rêve, et j'espère qu'elle amènera assez de mondes motivés pour avoir lieu. Je ne savais pas trop quoi apporter (beaucoup trop de choses à raconter, en fait, souvent trop personnelles à cause de leur récupération en manuscrits) mais là il faut absolument que j'arrive à placer cette histoire.
"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
http://karelia.over-blog.com/
Et pour ne pas faire que ma propre promo :
http://musardises.moonfruit.fr/
http://karelia.over-blog.com/
Et pour ne pas faire que ma propre promo :
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- Soslan
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De retour de l'Auberge Epsagnole à l'Hybride...non, pas une projo du film de Klapish, mais le principe convivial consistant à apporter chacun un plat pour le partager.
J'en attendais beaucoup pour ma vie sociale, mais j'en fut pour ma naïveté. Non seulement j'étais le seul clampin à ramener quelque chose (tout en ayant pas prévu qu'il aurait fallu des couverts, je n'ai certes pas assuré sur le coup), non seulement les gens commençaient à manger dans leur coin en commandant au bar, mais je n'ai jamais vu une soirée attirer si peu de monde dans ce cinéma.
J'ai fini par jeter le contenus de mes deux gamelles dans une poubelle en toute discrétion (vu que mon but n'était pas de me montrer en spectacle mais de m'alléger avant de rentrer, je ne me voyais pas trimballer de la bouffe dans le métro).
Par contre, après cette débâcle, la fin de la soirée offrait un contraste surprenante : la socialisation que je n'avais pas trouvé à l'Hybride, j'en rencontrai une forme plus inattendue, condamnée à ne pas avoir de suite, mais qui constitue néanmoins une jolie tranche de vie. Dans le bus qui me ramenait chez moi, j'entamais ainsi un dialogue difficile, mais où je m'appliquais avec bonne volonté, avec une vietnamienne arrivée en France il y a moins de quatre mois pour s'installer chez son mari, dans ma ville, et qui parlait encore très mal le français.
Le côté presque effrayant, c'est que cette socialisation inattendue a eu un précédent dans le métro, avec un homme un peu marginal qui avait envie de parler, ce qui était moins réciproque pour le coup, mais a posteriori c'est troublant.
Tout ça donne envie de croire au signes du destin (le mien serait-il de vivre dans le monde des marges dont parlait mon avant-dernière logorrhée sur ce fil il y a une semaine ?).
Sauf que pour un sci fiste rationaliste, la meilleure explication des signe du destin, c'est que nous sommes dans une réalité dickienne.
Horreur glauque.
Je préfère croire au hasard.
J'en attendais beaucoup pour ma vie sociale, mais j'en fut pour ma naïveté. Non seulement j'étais le seul clampin à ramener quelque chose (tout en ayant pas prévu qu'il aurait fallu des couverts, je n'ai certes pas assuré sur le coup), non seulement les gens commençaient à manger dans leur coin en commandant au bar, mais je n'ai jamais vu une soirée attirer si peu de monde dans ce cinéma.
J'ai fini par jeter le contenus de mes deux gamelles dans une poubelle en toute discrétion (vu que mon but n'était pas de me montrer en spectacle mais de m'alléger avant de rentrer, je ne me voyais pas trimballer de la bouffe dans le métro).
Par contre, après cette débâcle, la fin de la soirée offrait un contraste surprenante : la socialisation que je n'avais pas trouvé à l'Hybride, j'en rencontrai une forme plus inattendue, condamnée à ne pas avoir de suite, mais qui constitue néanmoins une jolie tranche de vie. Dans le bus qui me ramenait chez moi, j'entamais ainsi un dialogue difficile, mais où je m'appliquais avec bonne volonté, avec une vietnamienne arrivée en France il y a moins de quatre mois pour s'installer chez son mari, dans ma ville, et qui parlait encore très mal le français.
Le côté presque effrayant, c'est que cette socialisation inattendue a eu un précédent dans le métro, avec un homme un peu marginal qui avait envie de parler, ce qui était moins réciproque pour le coup, mais a posteriori c'est troublant.
Tout ça donne envie de croire au signes du destin (le mien serait-il de vivre dans le monde des marges dont parlait mon avant-dernière logorrhée sur ce fil il y a une semaine ?).
Sauf que pour un sci fiste rationaliste, la meilleure explication des signe du destin, c'est que nous sommes dans une réalité dickienne.
Horreur glauque.
Je préfère croire au hasard.
"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
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Mouahahahahaha !!!!! Enfin Maître du Monde !!!!!Hoêl a écrit :En plus , ils avancent masqués !J'apprends que les concombres sont empoisonnés... c'est pas bien, ça, MF !
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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Une trouvaille sympa aux Puces: une édition de 1822 (Auguste Delalain, Paris) de Entretiens sur la pluralité des mondes de Fontenelle. On ne peut pas dire que ce soit un texte rare, ni que l'édition soit si ancienne que cela, comparée à la date de première parution de cet essai fameux, mais enfin, ce volume joliment relié est orné d'une planche montrant le système solaire, avec une planète nommée Herschell, autrement dit: Uranus. Rien que pour ça, pour 10 euros, c'est beau !
Oncle Joe
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Tu me bats.Lensman a écrit :Une trouvaille sympa aux Puces: une édition de 1822 (Auguste Delalain, Paris) de Entretiens sur la pluralité des mondes de Fontenelle. On ne peut pas dire que ce soit un texte rare, ni que l'édition soit si ancienne que cela, comparée à la date de première parution de cet essai fameux, mais enfin, ce volume joliment relié est orné d'une planche montrant le système solaire, avec une planète nommée Herschell, autrement dit: Uranus. Rien que pour ça, pour 10 euros, c'est beau !
Oncle Joe
Moi, j'ai celle de la Librairie des Bibliophiles, 338 rue Saint-Honoré, de 1883. Mais outre qu'en deux volumes d'œuvres choisies de Fontenelle j'ai droit en plus, à d'autres textes dont un éloge de Monsieur de Vauban, et à une préface de J. -F. Thénard, Professeur au Lycée de Versailles. (Tu devrais retrouver sa trace dans ces lieux que tu hantes.)
Mais je suis preneur de l'édition avec carte du système solaire. Des fois que je me perde.
Mon immortalité est provisoire.