Et éventuellement servant de façades à des distributeurs ? Ce qui reviendrait à ce que tu disais du libraire qui deviendrait un vendeur / finalisateur de ventes et prenant un pourcentage sur chaque vente ?fboutet a écrit :Je crois plus quant à moi à l'émergence de sites/newsletters informant les lecteurs des sorties éditoriales.
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Re: Le prix du livre
Merci d'avoir répondu pile poil, Jean-Claude. C'est pratique d'avoir plusieurs cerveaux quand on fait deux mille trucs à la fois (en l’occurrence, je m'amusais à travailler, étonnant non ?). Quant à se refaire... à nos âges ? Pfff. Je refuse de mourir de mon vivant, ou alors juste à la fin.Jean-Claude Dunyach a écrit :Toutes ces questions sont au coeur de notre projet.../...bormandg a écrit :Ou pour poser autrement la question: est-il POSSIBLE de payer correctement auteurs et contributeurs de la chaine dans les conditions actuelles de prétendue baisse des prix, ou cette baisse est-elle automatiquement basée sur l'exploitation des créateurs? Auquel cas la création de la coop est indispensable pour la survie des auteurs...ansset a écrit :la création de ta coop va permettre une autre redistribution des gains, juste au sein de ta coop. Espères-tu un effet boule de neige ? Est-ce que le prix de l'ouvrage numérique va être pour autant significativement réduit par rapport à un équivalent papier ?
Je vous poutoune, (et j'en profite pour faire un coucou à Yal... On s'est encore lancé dans un machin excitant et infaisable, hein ? On ne changera décidément jamais...)
Re: Le prix du livre
Les géants sont comme nous, ils n'ont aucune idée de ce que sera le marché dans 5 ans, 2 ans et même 6 mois. Comme nous, ils réfléchissent, ils testent, ils ajustent. Aux Imaginales, Stéphane Marsan a annoncé qu'en un an, Amazon avait accepté de diminuer le prix de sa prestation comme plateforme commerciale pour la vente de livres numériques de moitié. Les autres ont commencé à suivre le mouvement.Luigi Brosse a écrit :Par contre je lisais je sais plus où dernièrement que la majeure partie des ebooks achetés l'étaient directement depuis le terminal (kindle ou ipad en résumé), ce qui veut donc dire passer par le ''store'' des géants. Qui ne prendront sans doute pas 15%
Comment comptez-vous les faire plier ?
Il est logique que la majorité des ebooks soient achetés directement depuis le terminal et ce sera de plus en plus le cas avec les tablettes équipées de fonction téléphonie et Internet, mais plus il y aura d'offres alternatives, plus les modes d'achat différeront. Aujourd'hui, en France, nous manquons d'ouvrages numériques, de liseuses ou de tablettes, de plateformes de vente, bref de tout ce qui est indispensable à une économie du livre numérique... ça ne durera pas.
Re: Le prix du livre
Il y a d'autres aspects comme la place que prennent les bouquins (ce n'est pas Yal qui va me contredire avec ses 12.000 bouquins). Imagine que tu doives déménager? Il est plus facile d'emmener sa liseuse que 12.000 bouquins papier. Pour ma part, si je dois acheter un jour une liseuse, je pense que je revendrai une grande partie de mes bouquins papier (ce qui fera plaisir à mon épouse) pour ne garder que mes préférés.Luigi Brosse a écrit :Cela sera-t-il suffisant pour que le lecteur lise / achète plus ? Est-ce vraiment le prix du livre (numérique ou physique) qui freine les ventes ? Ne serait-ce pas plutôt une question de temps disponible pour la lecture ? (Lecture VS jeux-vidéos, internet, sport, ce que vous voulez en gros).Jean-Claude Dunyach a écrit :Le passage au livre numérique est une chance pour le lecteur, car il doit lui permettre d'accéder facilement à beaucoup plus d'oeuvres que par le passé. Ces oeuvres doivent être le moins cher possible - beaucoup moins que la version papier - et facilement accessibles (pas de DRM, ça c'est évident, mais aussi une offre discriminée, enrichie de métadonnées, pour orienter de notre mieux chaque livre vers ses lecteurs potentiels)
Comme je vois les choses, la lecture reste un loisir qui coute peu cher (comparativement à la musique ou au cinéma - je ne mentionne pas le piratage). Avec de nombreux moyens pour que cela coute encore moins cher (bibliothèques, échanges, occaz...). Une offre numérique agressive va-t-elle vraiment doper les ventes globales (physiques + numériques) ?
C'était un premier axe. Le second c'est la répartition des revenus dans la chaine du livre.
Je suis d'accord pour dire qu'il y a sans doute moyen de faire autrement avec le numérique (tout simplement car le libraire disparait ou devient assimilé à celui qui vend / distribue) ce qui devrait permettre de réduire la marge de certains pour augmenter celles des autres (auteurs par exemple) ou de réduire le prix total. Tout dépend du business plan évoqué. Et j'attends sa présentation avec grand intérêt.
Par contre je lisais je sais plus où dernièrement que la majeure partie des ebooks achetés l'étaient directement depuis le terminal (kindle ou ipad en résumé), ce qui veut donc dire passer par le ''store'' des géants. Qui ne prendront sans doute pas 15%
Comment comptez-vous les faire plier ?
Auteurs préférés: Vance, Zelazny, Herbert, Asimov, Cook(Glen), Erikson, Gemmel, Eddings, Beam Piper
Si tu veux déplacer une montagne, commence par la première pierre.
Confucius
Le blog uchronique de Daidin: http://daidin.wordpress.com/
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Bonjour O Grand Maître,
J'ai une petite question à poser. (Si elle a déjà été posée, je m'en excuse, j'ai parcouru le sujet en travers.)
N'est-il pas un peu dangereux d'avoir annoncé d'ors et déjà un prix de vente très bas, avec un très gros pourcentage pour les auteurs, sans avoir fini le business plan ?
En effet, si un certain nombre de maillon de la chaine papier disparaissent, d'autres maillons vont apparaître. Par exemple, l'hébergement et le maintien en condition opérationnelle (sécurité*, fonctionnement normal, mise en place, etc...) de l'infrastructure qui hébergera le site de vente et le stockage des ebooks, le % que vous prendra l'agent qui vous permettra de faire des paiements en ligne, etc.
Bref, l'ensemble des coûts réels du livre numérique ont-ils bien été pris en compte ? Avec au final, le risque de devoir vendre plus cher qu'initialement prévu.
J'ai sous les yeux les factures mensuelles d'une de vos futurs "concurrents" déjà en place, et quand je vois ce qu'il paye pour ce qu'il a (et il s'en tire à bon compte), je me demande comment vous pourrez financer quelque chose ne serait-ce que basique.
Je pense que vous souhaitez sortir du modèle hyper-capitaliste actuel pour en faire un nouveau, mais...
J'ai une petite question à poser. (Si elle a déjà été posée, je m'en excuse, j'ai parcouru le sujet en travers.)
N'est-il pas un peu dangereux d'avoir annoncé d'ors et déjà un prix de vente très bas, avec un très gros pourcentage pour les auteurs, sans avoir fini le business plan ?
En effet, si un certain nombre de maillon de la chaine papier disparaissent, d'autres maillons vont apparaître. Par exemple, l'hébergement et le maintien en condition opérationnelle (sécurité*, fonctionnement normal, mise en place, etc...) de l'infrastructure qui hébergera le site de vente et le stockage des ebooks, le % que vous prendra l'agent qui vous permettra de faire des paiements en ligne, etc.
Bref, l'ensemble des coûts réels du livre numérique ont-ils bien été pris en compte ? Avec au final, le risque de devoir vendre plus cher qu'initialement prévu.
J'ai sous les yeux les factures mensuelles d'une de vos futurs "concurrents" déjà en place, et quand je vois ce qu'il paye pour ce qu'il a (et il s'en tire à bon compte), je me demande comment vous pourrez financer quelque chose ne serait-ce que basique.
Je pense que vous souhaitez sortir du modèle hyper-capitaliste actuel pour en faire un nouveau, mais...
Re: Le prix du livre
On peut aussi penser à une rémunération modeste via les sites de bloggeurs(là je pense à un maximum de 5% ou pourquoi pas à des livres gratuits pour le bloggeur) . Avec un bouton qui redirigerait vers les sites de ventes. Si l'article sur le blog a convaincu, l'acheteur, pourquoi ne pas rémunérer même modestement le bloggeur. Bien sur, il y a un risque que certains ne mettent que des articles dithyrambiques mais je pense que la sélection se ferait naturellement. Si vous êtes déçu par le bouquin recommandé, vous ne reviendrez sans doute plus sur ce site.Ayerdhal a écrit :Les géants sont comme nous, ils n'ont aucune idée de ce que sera le marché dans 5 ans, 2 ans et même 6 mois. Comme nous, ils réfléchissent, ils testent, ils ajustent. Aux Imaginales, Stéphane Marsan a annoncé qu'en un an, Amazon avait accepté de diminuer le prix de sa prestation comme plateforme commerciale pour la vente de livres numériques de moitié. Les autres ont commencé à suivre le mouvement.Luigi Brosse a écrit :Par contre je lisais je sais plus où dernièrement que la majeure partie des ebooks achetés l'étaient directement depuis le terminal (kindle ou ipad en résumé), ce qui veut donc dire passer par le ''store'' des géants. Qui ne prendront sans doute pas 15%
Comment comptez-vous les faire plier ?
Il est logique que la majorité des ebooks soient achetés directement depuis le terminal et ce sera de plus en plus le cas avec les tablettes équipées de fonction téléphonie et Internet, mais plus il y aura d'offres alternatives, plus les modes d'achat différeront. Aujourd'hui, en France, nous manquons d'ouvrages numériques, de liseuses ou de tablettes, de plateformes de vente, bref de tout ce qui est indispensable à une économie du livre numérique... ça ne durera pas.
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Salut,
On parle beaucoup de commerce, là, mais peu d'écriture finalement.
Yal, tu t'es fait connaître par des space op franchement sympa et politiquement atypiques. Mais ces derniers temps, c'est plutôt loin des grands espaces.
Est-ce fini pour toi, la SF des futurs lointains?
Sinon, l'autre truc qui t'a aussi fait connaître, c'est ça:

Peux-tu revenir un peu sur cette expérience. Et de nos jours, est-ce que tu le referais?
A+
Patrice
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Yal, tu t'es fait connaître par des space op franchement sympa et politiquement atypiques. Mais ces derniers temps, c'est plutôt loin des grands espaces.
Est-ce fini pour toi, la SF des futurs lointains?
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Je dois avouer que le seul roman de Yal que j'ai lu (il y a longtemps), c'était "chronique d'un rêve enclavé. Je n'avais pas trop apprécié le côté "condamné d'avance" et c'est peut-être ce qui ne m'a pas poussé à lire d'autres ouvrages de Yal.
Quel autre bouquin recommanderiez-vous?
Quel autre bouquin recommanderiez-vous?
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Dans l'interview que tu as accordé à Richard Comballot, tu parles d'une discussion avec Serge Lehman débouchant sur Genèses et Escale sur l'Horizon. Tu peux nous raconter l'épisode s'il te plait ?Patrice a écrit :Salut,
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Yal, tu t'es fait connaître par des space op franchement sympa et politiquement atypiques. Mais ces derniers temps, c'est plutôt loin des grands espaces.
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Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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Notre problème n'est pas de bâtir un business plan sur la base d'objectifs "ambitieux", mais de le faire sans données fiables à plus de trois ou six mois ou, plus exactement, avec des données qui ne cessent d'évoluer (à une vitesse hallucinante) depuis que nous observons le marché du livre numérique. La question est : combien de fois devrons-nous ajuster notre modèle dans les deux années qui arrivent ?Kettch a écrit :N'est-il pas un peu dangereux d'avoir annoncé d'ors et déjà un prix de vente très bas, avec un très gros pourcentage pour les auteurs, sans avoir fini le business plan ?
Autant que possible, mais, une fois encore, combien de temps ces coûts seront-ils valables ? Et comment se modulera réellement la toile ? Et comment interféreront, parmi ces nouveaux acteurs, ceux qui ne sont aujourd'hui quantifiés dans aucune économie ?Kettch a écrit :En effet, si un certain nombre de maillon de la chaine papier disparaissent, d'autres maillons vont apparaître.../... l'ensemble des coûts réels du livre numérique ont-ils bien été pris en compte ?
A quel terme ?Kettch a écrit :je me demande comment vous pourrez financer quelque chose ne serait-ce que basique.
Merci de nous ramener la tête dans l'espace, Patrice. C'est encore là qu'on est le moins terre à terre.Patrice a écrit :On parle beaucoup de commerce, là, mais peu d'écriture finalement.
Yal, tu t'es fait connaître par des space op franchement sympa et politiquement atypiques. Mais ces derniers temps, c'est plutôt loin des grands espaces. Est-ce fini pour toi, la SF des futurs lointains?
J'ai encore deux trucs qui urgent sur le gaz, dont au moins un est de la speculative, mais plusieurs space-op ne font rien qu'à me titiller les neurones. Des projets qui maturent depuis longtemps. Un de ces quatre, juste après avoir bouclé un bouquin, quand j'ouvrirai un nouveau dossier, l'un d'eux s'imposera.
Genèses, sacrée histoire née de discussions avec Serge Lehman sur l'importance de faire connaître ce qui se passait en SF francophone au début des 90, prolongée par l'enthousiasme de Marion Mazauric et soutenue par Jacques Sadoul... belle aventure qui a pulvérisé nos espérances (les ventes ont été telles qu'elles ont dépassé les à-valoir et que J'ai Lu a dû verser des droits aux auteurs, ce qui, à ma connaissance est unique en matière d'antho de genre) et qui a permis à Serge d'initier une série d'antho au Fleuve avec Escales sur l'horizon. D'autres ont suivi sous la houlette de Jean-Claude Dunyach puis de Sylvie Denis. Alors les anthologies à thème se sont mises à pulluler et les chiffres de vente à s'étioler. Bref.Patrice a écrit :Sinon, l'autre truc qui t'a aussi fait connaître, c'est ça:
Peux-tu revenir un peu sur cette expérience. Et de nos jours, est-ce que tu le referais?
En concocterais-je une aujourd'hui ? Peut-être, mais pas sous cette forme. Je lancerais plutôt une série d'antho de novellas autour d'une bible pas trop contraignante. Genre 20 auteurs en cinq tomes pour un space-op éclaté. Bon, en fait, j'y pense depuis longtemps. Reste à le faire dans un contexte qui ne soit pas casse-gueule.
Comme ce n'est pas à moi de répondre, je compte sur vous, les copains...PhilVh a écrit :Je dois avouer que le seul roman de Yal que j'ai lu (il y a longtemps), c'était "chronique d'un rêve enclavé. Je n'avais pas trop apprécié le côté "condamné d'avance" et c'est peut-être ce qui ne m'a pas poussé à lire d'autres ouvrages de Yal.
Quel autre bouquin recommanderiez-vous?
C'est toi la tête de gondole aujourd'hui, alors je donne juste l'équation de base :Ayerdhal a écrit :C'est inénarrable, mais si Serge se sent...
Yal + Lem en 1994
+
table en terrasse du côté de Jussieu
+
Deux bières s'il vous plaît
+
– Dis donc, j'en ai un peu marre de tous ces critiques qui trouvent super la sf quand elle est publiée sans étiquette.
– Ouais.
– Mais qui refusent d'ouvrir un bouquin dès qu'il est étiqueté.
– Connards.
– Ce qu'on devrait faire, c'est une antho qui rassemble tout le monde.
– Ouais, tout le monde pareil !
– Bon, ben on va la faire.
– D'accord. Qui la fait ?
– Et chez qui ?
– Ben, toi, puisque t'es chez J'ai Lu.
– C'est réglé. On fête ça ?
+
Deux autres bières s'il vous plaît.
+
Auteurs étiquetés font le boulot.
+
Auteurs non-étiquetés ne font pas le boulot sauf un.
+
Titre = Génèses chez J'ai Lu
+
Fleuve Noir = pas contents / rivaux / nous aussi on veut = "Lem, tu ferais pas une antho française en grand format ?"
+
Coup de fil secret Lem / Yal hiver 96 = "Tout-se-passe-selon-le-plan"
+
Coup de fil officiel de Sadoul à Lem = "J'apprends que tu fais une antho aussi mais c'est trop tard mon jeune ami, tu vas te planter, dans l'histoire de la SFF, il ne peut y avoir qu'un bouquin comme ça par génération et tous les imitateurs se plantent, c'est prouvé."
+
Ha ha ha rétrospectif
+
Titre = Escales sur l'horizon au Fleuve Noir
+
Ventes inespérées des deux = Fleuve en demande d'autres à Lem = "Et si on faisait un annuel et que l'anthologiste change chaque année, hein ? Et si attaquait le fantastique et la fantasy ?"
+
Coup de fil secret Yal / Lem hiver 98 = "Le-plan-est-accompli"
– Tu reprends quelque chose pour fêter ça ?