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Du gris que l'on prend dans ses doigtsLensman a écrit :Un peu gris ce matin.
Dans l'intérêt de la vérité historique -- et si ma mémoire ne me trahit pas -- la collection "Superlight" (3e mouture de la collection "Futurama" des Presses de la Cité) fut lancée en même temps que les cigarettes portant le même nom, le tout étant une synergie publicitaire jeune, moderne et dynamique bien de son époque (lointaine).Papageno a écrit :Non, non, pour "Futurama", c'est pas "gitanes", mais "SuperLights" ou "Philip Morris"(à moins que ce soit la même chose - je n'y connais rien en clops, moi). "Superlights" était même écrit en gros sur la couverture alors que 'Futurama' était repoussé tout en bas, en tout petit
Sur les "Fleuve noir" c'était bien des Gitanes (et contrairement à ce que j'ai dit plus haut - avec Filtre)
PS: Tout ça, c'est quand même de la plus haute importance, n'est-ce pas - la Métaphysique n'a qu'a bien se tenir.
j'ai acheté des lucky strike bio, hierMF a écrit :Du gris que l'on prend dans ses doigtsLensman a écrit :Un peu gris ce matin.
Et qu'on roule
C'est fort, c'est âcre comme du bois
Ça vous saoule
C'est bon et ça vous laisse un goût
Presque louche
De sang, d'amour et de dégoût
Dans la bouche
c'était une modeste pierre apportée à l'édifice de mégots pieusement construit par Florent et Papageno...
bio est un mauvais alibidracosolis a écrit :j'ai acheté des lucky strike bio, hier
si
Il y a longtemps, il y avait la Bibliothèque Huilor, qui servait de pub à la fameuse marque d'huile. Je dois avoir un ou deux volumes quelques part.JDB a écrit :Dans l'intérêt de la vérité historique -- et si ma mémoire ne me trahit pas -- la collection "Superlight" (3e mouture de la collection "Futurama" des Presses de la Cité) fut lancée en même temps que les cigarettes portant le même nom, le tout étant une synergie publicitaire jeune, moderne et dynamique bien de son époque (lointaine).Papageno a écrit :Non, non, pour "Futurama", c'est pas "gitanes", mais "SuperLights" ou "Philip Morris"(à moins que ce soit la même chose - je n'y connais rien en clops, moi). "Superlights" était même écrit en gros sur la couverture alors que 'Futurama' était repoussé tout en bas, en tout petit
Sur les "Fleuve noir" c'était bien des Gitanes (et contrairement à ce que j'ai dit plus haut - avec Filtre)
PS: Tout ça, c'est quand même de la plus haute importance, n'est-ce pas - la Métaphysique n'a qu'a bien se tenir.
Toujours si ma mémoire est bonne, Norman Spinrad, auteur du premier volume de la collection, ne fut pas amusé.
En ce qui concerne le Fleuve Noir "Anticipation", je viens de vérifier sur mes étagères : certains volumes étaient affublés d'une pub pour les Gauloises en 4e de couverture. Il n'y avait donc pas que les Gitanes.
Et pour continuer un peu plus loin dans le registre de la quadrisection capillaire, cette mode de la pub pour nicotine était directement importée des USA : j'ai possédé (et possède peut-être encore, mais là faudrait que je passe des heures à fouiller) des paperbacks contenant un encart inséré dans la reliure en papier plus fort, sur lequel figurait une pub pour clopes.
JDB
il fume pas Norman ?Papageno a écrit :Pauvre Norman !Norman Spinrad, auteur du premier volume de la collection, ne fut pas amusé.
Peut-être à t'il préféré, la couverture de la réédition des Solariens chez Euridiif, dans la collection PlayBoy!
Lensman a écrit :Il y a longtemps, il y avait la Bibliothèque Huilor, qui servait de pub à la fameuse marque d'huile. Je dois avoir un ou deux volumes quelques part.
http://www.bdfi.net/forums/viewtopic.php?id=294
Oncle Joe
De nos jours, 1 litre d'huile = 1,50 €, 1 livre, même mince… nettement plus.Vous avez droit à un ouvrage complet chaque fois que vous achetez un litre d'Huilor.
Ou la part de la fabrication dans le prix de vente du livre qui est négligeable?Eons a écrit :Lensman a écrit :Il y a longtemps, il y avait la Bibliothèque Huilor, qui servait de pub à la fameuse marque d'huile. Je dois avoir un ou deux volumes quelques part.
http://www.bdfi.net/forums/viewtopic.php?id=294
Oncle JoeDe nos jours, 1 litre d'huile = 1,50 €, 1 livre, même mince… nettement plus.Vous avez droit à un ouvrage complet chaque fois que vous achetez un litre d'Huilor.
Alors, est-ce l'huile qui était beaucoup plus cher ou les livres qui étaient bien meilleur marché à fabriquer ?
Une vielle question... mais jusqu'à la révolution du livre numérique (en cours), en effet, ce n'est pas la fabrication qui était très importante dans un livre. L'effort le plus grand qu'il faut fournir, c'est faire connaître et diffuser le livre.bormandg a écrit :Ou la part de la fabrication dans le prix de vente du livre qui est négligeable?Eons a écrit :Lensman a écrit :Il y a longtemps, il y avait la Bibliothèque Huilor, qui servait de pub à la fameuse marque d'huile. Je dois avoir un ou deux volumes quelques part.
http://www.bdfi.net/forums/viewtopic.php?id=294
Oncle JoeDe nos jours, 1 litre d'huile = 1,50 €, 1 livre, même mince… nettement plus.Vous avez droit à un ouvrage complet chaque fois que vous achetez un litre d'Huilor.
Alors, est-ce l'huile qui était beaucoup plus cher ou les livres qui étaient bien meilleur marché à fabriquer ?
Le livre figurait peut-être juste dans le budget Pub, ce qui n'est pas la même démarche que l'édition pure et simple.Eons a écrit : Alors, est-ce l'huile qui était beaucoup plus cher ou les livres qui étaient bien meilleur marché à fabriquer ?
Que peut bien en penser Lagardère ou Hersant ?Mors Ultima Ratio a écrit :Le livre figurait peut-être juste dans le budget Pub, ce qui n'est pas la même démarche que l'édition pure et simple.Eons a écrit : Alors, est-ce l'huile qui était beaucoup plus cher ou les livres qui étaient bien meilleur marché à fabriquer ?
