Claude Vorilhon est aussi connu sous le nom de Rael, dangereux gourou et illuminé.bormandg a écrit :Bilan de la journée, des Puces et des Quais: un livre comique, Géniocratie, de Claude Vorilhon.
3615 Nos lifes à nous
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- Soslan
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Couché à 6 heures du matin, je n'ai tout simplement pas entendu mon réveil, ce qui 'ma fait manquer un rendez-vous non seulement chez le médecin, mais avec ma mère dans le centre de Lille pour déjeuner. En guise réveil, j'ai donc eu un coup de fil à midi d'une mère déjà sur place.
Du coup ça sera mercredi midi, cette fois il ne faut plus que je fasse de nuit blanche.
Ceci dit, quand bien même ma mère a fait le trajet pour rien, le fils indigne que je suis se dit que ça a un avantage : réveillé à neuf heures pour le médecin, jamais je n'aurais fait la séquence de rêve qui précédait le réveil, le genre de perle dont je me délecte en ces années de vache maigre onirique.
Un vrai rêve d'aventure inhabituellement cohérent où un jeune couple tout ce qu'il y a de plus ordinaire était invité à rejoindre les Dieux. Il suffisait pour cela d'accéder à un simple pont d'autoroute, qui était mine de rien la première marche d'un monde invisible suspendu très près du sol.
Tout un jeu de piste commençait le long de ce pont qui par un glissement onirique avait pris l'aspect d'un rempart médiéval le long duquel s'étalait un véritable souk. Il s'agissait de chercher des indices, parmi lesquels le motif d'un crâne et une tour (la tour était probablement, comme le supposait le couple, la récompense ultime, c'est à dire le chemin d'accès au monde d'en haut) et des messagers des Dieux venaient à l'occasion les aider.
C'est cette aventure qui a été interrompu par le coup de fil de ma mère, mais je n'en ressens pas de regret ; il y avait certes un cliffhanger, mais je ne pense pas que j'en aurais su davantage, le rêve perdait déjà peu à peu sa cohérence en digressant sur l'idée de ce monde aérien étrange dans l'actuel manuscrit de roman qui l'a inspiré (le monde aérien extrêmement proche mais invisible était en fait un motif récurrent dans mes rêves de gosses et d'ados, et il revient dans mes rêves par l'intermédiaire du manuscrit).
Du coup ça sera mercredi midi, cette fois il ne faut plus que je fasse de nuit blanche.
Ceci dit, quand bien même ma mère a fait le trajet pour rien, le fils indigne que je suis se dit que ça a un avantage : réveillé à neuf heures pour le médecin, jamais je n'aurais fait la séquence de rêve qui précédait le réveil, le genre de perle dont je me délecte en ces années de vache maigre onirique.
Un vrai rêve d'aventure inhabituellement cohérent où un jeune couple tout ce qu'il y a de plus ordinaire était invité à rejoindre les Dieux. Il suffisait pour cela d'accéder à un simple pont d'autoroute, qui était mine de rien la première marche d'un monde invisible suspendu très près du sol.
Tout un jeu de piste commençait le long de ce pont qui par un glissement onirique avait pris l'aspect d'un rempart médiéval le long duquel s'étalait un véritable souk. Il s'agissait de chercher des indices, parmi lesquels le motif d'un crâne et une tour (la tour était probablement, comme le supposait le couple, la récompense ultime, c'est à dire le chemin d'accès au monde d'en haut) et des messagers des Dieux venaient à l'occasion les aider.
C'est cette aventure qui a été interrompu par le coup de fil de ma mère, mais je n'en ressens pas de regret ; il y avait certes un cliffhanger, mais je ne pense pas que j'en aurais su davantage, le rêve perdait déjà peu à peu sa cohérence en digressant sur l'idée de ce monde aérien étrange dans l'actuel manuscrit de roman qui l'a inspiré (le monde aérien extrêmement proche mais invisible était en fait un motif récurrent dans mes rêves de gosses et d'ados, et il revient dans mes rêves par l'intermédiaire du manuscrit).
Modifié en dernier par Soslan le lun. août 08, 2011 3:44 pm, modifié 2 fois.
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L'autre jour j'en ai fait un eu très bizarre qui partait dans tous les sens. Ca commençait par l'installation d'une famille dans une maison. Un des membres qui finissait par se perdre dans les étages et qui finissait par atterrir chez des voisins affables. Changement de point de vue , je passe en vue subjective à ce moment là. En sortant dans la prairie qui se trouve devant la maison pour rejoindre la maison où nous venons d'aménager par l'extérieur cette fois ci je me fais agresser par de toutes petites grenouilles, je reconnais des sonneurs à ventre rouge, espèce dont le contact provoque des démangeaisons urticantes. Je dois donc battre en retraites.
J'ai interprété ce passage du rêve ainsi : dirigeant actuellement une anthologie je vais recevoir tout à fait à la fin tout un tas de textes venant des grenouilles de Cocyclics et j'aurais du mal à faire mon choix.
Ensuite ça a enchaîné sur une histoire de tueur en série, de fêtes dans le bayou (on était censé être aux US) et un des personnages de la famille avait la tête de David Boreanaz. Bon un gros délire.
J'ai interprété ce passage du rêve ainsi : dirigeant actuellement une anthologie je vais recevoir tout à fait à la fin tout un tas de textes venant des grenouilles de Cocyclics et j'aurais du mal à faire mon choix.
Ensuite ça a enchaîné sur une histoire de tueur en série, de fêtes dans le bayou (on était censé être aux US) et un des personnages de la famille avait la tête de David Boreanaz. Bon un gros délire.
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Merci... et santé !Oph a écrit :C'est du Groland, ça, non ?Sylvaner a écrit : "par ici, des juifs pendant la guerre, on en a donné, mais des coins à champignons, jamais !" *
* : un Caol Ila et des cahouettes à qui retrouvera l'origine de cette citation qui m'hilare tous les ans d'août à octobre...
Oph,
toujours pas en vacances


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"Il aura fallu des millions d'années à l'espèce humaine pour descendre des arbres et seulement dix de plus pour se mettre en vitrine." R. Powers
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Modifié en dernier par Soslan le mar. août 09, 2011 12:36 am, modifié 6 fois.
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Pourquoi crois tu que j'ai acheté le bouquin? Et que je l'ai classé dans les "élucubrations comiques"?Fabien Lyraud a écrit :Claude Vorilhon est aussi connu sous le nom de Rael, dangereux gourou et illuminé.bormandg a écrit :Bilan de la journée, des Puces et des Quais: un livre comique, Géniocratie, de Claude Vorilhon.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
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Donc il n'y avait pas de coquille, tu n'avais pas voulu écrire cosmique.bormandg a écrit :Pourquoi crois tu que j'ai acheté le bouquin? Et que je l'ai classé dans les "élucubrations comiques"?Fabien Lyraud a écrit :Claude Vorilhon est aussi connu sous le nom de Rael, dangereux gourou et illuminé.bormandg a écrit :Bilan de la journée, des Puces et des Quais: un livre comique, Géniocratie, de Claude Vorilhon.

Quoique Rael est sans doute un crétin cosmique....

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Ecrivons donc cômique, vu l'origine du ô...Fabien Lyraud a écrit : Donc il n'y avait pas de coquille, tu n'avais pas voulu écrire cosmique.![]()
Quoique Rael est sans doute un crétin cosmique....


"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Crétin ?Fabien Lyraud a écrit :Donc il n'y avait pas de coquille, tu n'avais pas voulu écrire cosmique.bormandg a écrit :Pourquoi crois tu que j'ai acheté le bouquin? Et que je l'ai classé dans les "élucubrations comiques"?Fabien Lyraud a écrit :Claude Vorilhon est aussi connu sous le nom de Rael, dangereux gourou et illuminé.bormandg a écrit :Bilan de la journée, des Puces et des Quais: un livre comique, Géniocratie, de Claude Vorilhon.![]()
Quoique Rael est sans doute un crétin cosmique....
Lui , je ne sais pas... mais ceux et celles qui l'ont suivi...
"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"
- dracosolis
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Ces rêves marqués par les activités de la veille peuvent être étonnants, mais parfois d'une désolante banalité: je me rappelle avoir rêvé cette nuit que je marchais dans Paris avec des amis... rien de plus que dans la vie éveillée...Fabien Lyraud a écrit : J'ai interprété ce passage du rêve ainsi : dirigeant actuellement une anthologie je vais recevoir tout à fait à la fin tout un tas de textes venant des grenouilles de Cocyclics et j'aurais du mal à faire mon choix.
Oncle Joe