Je trouve que c'est trop huitième degré. Il ne faut pas oublier les vieux croutons moisis qui votent à l'Eurovision.
Et puis franchemen, qu'est-ce qu'on en a à foutre d'être défendu à ça.
Ça me rappelle d'ailleurs un super épisode de Father Ted, où ils l'envoient défendre l'Irlande à l'Eurovision pour perdre, parce qu'ils en ont marre de gagner, ça leur coûte une blinde à chaque fois, et ils passent pour un pays de sous-développés qui ne produit que de la variète de merde.
La play-list du moment.
Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
1) Parce que les contre chants sont faciles à choper dans cet air là.
2) parce que prendre une bouse et en faire un bijou, ça a quelque chose de fondamentalement jouissif...
Non ?
J'adore...
Ah vous dirai-je maman, version Adam et par la sublime Sumi Jo, pour me reveiller un peu, non de bleu !
2) parce que prendre une bouse et en faire un bijou, ça a quelque chose de fondamentalement jouissif...
Non ?
J'adore...
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"Ils ne sont grands que parce que vous êtes à genoux"
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Eric
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I'm the Antipop, le nouvel album de Björn Berge.
Le gars est un sémillant scandinave à la carrure de hockeyeur, et qu'on imaginerait plus volontiers lead guitar dans une formation de black metal, et mangeant des cœurs de chatons au petit déjeuner. Sauf que non en fait. Le gars est un champion du dobro (vous savez ces guitares à résonateurs, comme celle qui est est sur la pochette du Money Fo Nothing des infâmes Dire Straits). Et quand on sait à quel point il est difficile de sortir un son d'un engin pareil, ce n'est pas rien. Son truc c'est de reprendre tout seul, genre country blues, des morceaux de Black Sabbath, RHCP, Primus, RATM, Led Zep. Et ça le fait vraiment très bien. Et puis ça joue... pour de vrai... c'est autre chose que Jack Johnson.
C'est sur le label Dixie Frog, qui montre que, lorsqu'ils ne ramènent pas de la corn belt des groupes de rednecks élevés à la Miller et qui font dans le blues rock de roadhouse du samedi soir qui sert de bande son au viol de chèvres subséquent, ils sont encore capables de dénicher des petites perles.
Le gars est un sémillant scandinave à la carrure de hockeyeur, et qu'on imaginerait plus volontiers lead guitar dans une formation de black metal, et mangeant des cœurs de chatons au petit déjeuner. Sauf que non en fait. Le gars est un champion du dobro (vous savez ces guitares à résonateurs, comme celle qui est est sur la pochette du Money Fo Nothing des infâmes Dire Straits). Et quand on sait à quel point il est difficile de sortir un son d'un engin pareil, ce n'est pas rien. Son truc c'est de reprendre tout seul, genre country blues, des morceaux de Black Sabbath, RHCP, Primus, RATM, Led Zep. Et ça le fait vraiment très bien. Et puis ça joue... pour de vrai... c'est autre chose que Jack Johnson.
C'est sur le label Dixie Frog, qui montre que, lorsqu'ils ne ramènent pas de la corn belt des groupes de rednecks élevés à la Miller et qui font dans le blues rock de roadhouse du samedi soir qui sert de bande son au viol de chèvres subséquent, ils sont encore capables de dénicher des petites perles.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
Eric, raconte nous tes séjours linguistiques aux US... Tu as l'air d'en garder un bon souvenir on dirait!Eric a écrit :C'est sur le label Dixie Frog, qui montre que, lorsqu'ils ne ramènent pas de la corn belt des groupes de rednecks élevés à la Miller et qui font dans le blues rock de roadhouse du samedi soir qui sert de bande son au viol de chèvres subséquent, ils sont encore capables de dénicher des petites perles.
L'intégrale d'Infectious Grooves. Quand je pense que Roberto est allé se prostituer chez Metallica... Bouhouhouhou ouin c'est vraiment trop injuste!!! 