Ce qui est d'ailleurs tout à fait son droit.
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- bormandg
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Apparemment Draco n'aime pas Gilbert Bécaud. 
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"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
- Eons
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Comme la prochaine convention est à Semoy (sans "s"), tout va bien.dracosolis a écrit :tu mourras à Semoys pour çaEons a écrit :C'est une blague A Debats… et à deux balles.bormandg a écrit :Tante Jeanne
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
- dracosolis
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Eons, je te l'ai dit mille fois, la nettiquette demande qu'on foute la paix aux copains au motif de l'orthographe et des fautes de frappeEons a écrit :Comme la prochaine convention est à Semoy (sans "s"), tout va bien.dracosolis a écrit :tu mourras à Semoys pour çaEons a écrit :C'est une blague A Debats… et à deux balles.bormandg a écrit :Tante Jeanne
un jour, ça rentrera
peut-être
Et est-ce que ce bon principe s'appliquerait au lecteur ?dracosolis a écrit :Le propos c'est de prendre des gants en cas de proximité obligatoire et de ne pas venir souffleter direct quelqu'un qui ne vous a rien fait de pire que d'écrire un truc qui ne vous a pas plu.
Non ! rayez lecteur et remplacer le par acheteur (1).
Parce que faut quand même pas oublier que quand j'ai sorti quelques oboles qui permettent à l'éditeur, au diffuseur, au distributeur, à l'éventuel agent, et accessoirement au libraire et anecdotiquement à l'auteur, de vivre, j'aimerai bien ne pas être pris pour une truffe.
Au même titre que je revendique le droit de faire un scandale dans le magasin, puis chez le producteur, lorsque je trouve une souris grise (2) dans une boite de haricots vert ou, plus rarement de gastéropodes, j'exige de pouvoir insulter en public tous les participants d'une chaîne du livre qui m'aurait conduit à devoir m'infliger, involontairement, la lecture d'une daube, voire d'une bouse. C'est déjà bien beau que je ne demande pas des indemnités préjudicielles...
(1) oui, je sais : je dis des gros mots et je profère des insanités ; mais c'est Sil' qui a commencé en placardant des bisounours partout !
(2) même pas trempée dans l'huile
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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Faudrait voir aussi à relativiser le préjudice, hein.
Je rappelle ces sages paroles, que je cite en signature sur un autre forum :
«Faire un mauvais film, c'est quand même beaucoup moins grave que d'attaquer une vieille.»
[ Daniel Prévost ] - Extrait du magazine Ciné Live - Mai 2001
Et j'ajoute : ça vaut aussi pour les mauvais livres.
Je rappelle ces sages paroles, que je cite en signature sur un autre forum :
«Faire un mauvais film, c'est quand même beaucoup moins grave que d'attaquer une vieille.»
[ Daniel Prévost ] - Extrait du magazine Ciné Live - Mai 2001
Et j'ajoute : ça vaut aussi pour les mauvais livres.
"Oph n'est pas un lézard, mais elle présente d'autres atouts."
– Laurent Whale & Jean Millemann
eul' crédit photo !
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- dracosolis
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c'est une bonne question, je ne te remercie pas de me l'avoir posée.MF a écrit :Et est-ce que ce bon principe s'appliquerait au lecteur ?dracosolis a écrit :Le propos c'est de prendre des gants en cas de proximité obligatoire et de ne pas venir souffleter direct quelqu'un qui ne vous a rien fait de pire que d'écrire un truc qui ne vous a pas plu.
Non ! rayez lecteur et remplacer le par acheteur (1).
mais en fait, je crois que la réponse est oui.
Il y a quelque chose de pervers dedans comme s'il y avait obligation de résultat, obligation de plaire, comme si on avait une recette applicable à l'art et des standards de résultats de type hôtellerie.
En fait je ne crois pas que ce soit valide (il faudrait y réfléchir plus longuement qu'un jour de grève)
je me souviens qu'une fois, jadis, quand je n'écrivais que des lettres d'amour mal branlées, je suis allée voir Yal et je l'ai engueulé pour Cybione.
j'ai eu du bol, il ne m'a pas torchée d'une claque qu'honnêtement je crois que je méritais.
Parce que voilà :
le contenu de Cybione était apparent partout, j'avais lu le 4 de couv, j'avais lu les premières pages, le contrat était clair et de fait je n'en ai pas tenu compte, j'ai voulu que Yal reste aux Standards que JE lui avais arbitrairement fixé dans mes cases de lectrice.
et ça ce n'est pas légitime.
et en admettant qu'un lecteur me fasse simplement le coup cybione ici (parce que toute la question c'est ICI, pas dans le reste du monde), j'aimerai qu'il reste poli tout en comprenant fondamentalement sa déception, tout en me disant qu'il aurait dû s'en rendre compte avant d'acheter et que je ne suis pas responsable capitalement de son acte d'achat erroné, perso j'ai fait honnêtement mon taf, on peut ne pas aimer, le dire mais pas m'accuser de front de malhonnèteté, justement.
Ou le faire ailleurs
Modifié en dernier par dracosolis le mar. sept. 27, 2011 2:30 pm, modifié 1 fois.
tu dis ça uniquement parce que tu ne connais pas ma grand-mère...Oph a écrit :Faudrait voir aussi à relativiser le préjudice, hein.
Je rappelle ces sages paroles, que je cite en signature sur un autre forum :
«Faire un mauvais film, c'est quand même beaucoup moins grave que d'attaquer une vieille.»
[ Daniel Prévost ] - Extrait du magazine Ciné Live - Mai 2001
Et j'ajoute : ça vaut aussi pour les mauvais livres.
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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- bormandg
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Nous sommes en train de mélanger plusieurs choses.
D'une part il y a des RECENSIONS qui sont supposées aider le lecteur EVENTUEL à savoir s'IL va acheter et lire un livre. Elles doivent apporter des informations sur ce que contient le livre, éventuellement sur l'opinion qu'à le critique sur son contenu. Il est normal qu'elles ne contiennent ni jugement péremptoire non étayé, ni attaque ad hominem.
D'autre part il y a, dans certaines revues littéraires ou certains blogs, des CRITIQUES dans lesquelles le critique, s'adressant à des lecteurs qui connaissent le livre, à d'autres critiques, et à l'auteur, dit tout ce qu'il pense du livre. De préférence de façon étayée.
Et il y a aussi plusieurs sortes de lecteurs des critiques.
D'abord les lecteurs éventuels qui ne peuvent pas tout lire et tout acheter et qui demandent au critique-RECENSEUR de leur indiquer quels livres sont susceptibles de l'intéreser.
Ensuite tous ceux qui ont déjà lu le livre et qui veulent savoir si le critique y a trouvé les mêmes qualités ou défauts qu'eux.
Enfin tous ceux qui veulent construire ou confirmer la vision qu'ils ont de la littérature et y inclure un livre qu'ils n'ont pas encore lu.
Etc, j'en oublie....
Alors prétendre définir UNE façon d'écrire une critique ou UNE rfaçon de la lire est totalement irréaliste.
D'une part il y a des RECENSIONS qui sont supposées aider le lecteur EVENTUEL à savoir s'IL va acheter et lire un livre. Elles doivent apporter des informations sur ce que contient le livre, éventuellement sur l'opinion qu'à le critique sur son contenu. Il est normal qu'elles ne contiennent ni jugement péremptoire non étayé, ni attaque ad hominem.
D'autre part il y a, dans certaines revues littéraires ou certains blogs, des CRITIQUES dans lesquelles le critique, s'adressant à des lecteurs qui connaissent le livre, à d'autres critiques, et à l'auteur, dit tout ce qu'il pense du livre. De préférence de façon étayée.
Et il y a aussi plusieurs sortes de lecteurs des critiques.
D'abord les lecteurs éventuels qui ne peuvent pas tout lire et tout acheter et qui demandent au critique-RECENSEUR de leur indiquer quels livres sont susceptibles de l'intéreser.
Ensuite tous ceux qui ont déjà lu le livre et qui veulent savoir si le critique y a trouvé les mêmes qualités ou défauts qu'eux.
Enfin tous ceux qui veulent construire ou confirmer la vision qu'ils ont de la littérature et y inclure un livre qu'ils n'ont pas encore lu.
Etc, j'en oublie....
Alors prétendre définir UNE façon d'écrire une critique ou UNE rfaçon de la lire est totalement irréaliste.
Modifié en dernier par bormandg le mar. sept. 27, 2011 2:40 pm, modifié 1 fois.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
tu as, volontairement, omis les seuls mots importants (1) de mon post "devoir m'infliger, involontairement, la lecture d'une daube, voire d'une bouse."dracosolis a écrit :c'est une bonne question, je ne te remercie pas de me l'avoir posée.MF a écrit :Et est-ce que ce bon principe s'appliquerait au lecteur ?dracosolis a écrit :Le propos c'est de prendre des gants en cas de proximité obligatoire et de ne pas venir souffleter direct quelqu'un qui ne vous a rien fait de pire que d'écrire un truc qui ne vous a pas plu.
Non ! rayez lecteur et remplacer le par acheteur (1).
mais en fait, je crois que la réponse est oui.
Il y a quelque chose de pervers dedans comme s'il y avait obligation de résultat, obligation de plaire, comme si on avait une recette applicable à l'art et des standards de résultats de type hôtellerie.
En fait je ne crois pas que ce soit valide (il faudrait y réfléchir plus longuement qu'un jour de grève)
je me souviens qu'une fois, jadis, quand je n'écrivais que des lettres d'amour mal branlées, je suis allée voir Yal et je l'ai engueulé pour Cybione.
j'ai eu du bol, il ne m'a pas torchée d'une claque qu'honnêtement je crois que je méritais.
Parce que voilà :
le contenu de Cybione était apparent partout, j'avais lu le 4 de couv, j'avais lu les premières pages, le contrat était clair et de fait je n'en ai pas tenu compte, j'ai voulu que Yal reste aux Standards que JE lui avais arbitrairement fixé dans mes cases de lectrice.
et ça ce n'est pas légitime.
et en admettant qu'un lecteur me fasse simplement le coup cybione ici (parce que toute la question c'est ICI, pas dans le reste du monde), j'aimerai qu'il reste poli tout en comprenant fondamentalement sa déception, tout en me disant qu'il aurait dû s'en rendre compte avant d'acheter et que je ne suis pas responsable capitalement de son acte d'achat erroné, perso j'ai fait honnêtement mon taf, on peut ne pas aimer, le dire mais pas m'accuser de front de malhonnèteté, justement.
Ou le faire ailleurs
Toutefois, tu as raison, sous les réserves que toi-même définis : "le contenu de Cybione était apparent partout, j'avais lu le 4 de couv, j'avais lu les premières pages, le contrat était clair et de fait je n'en ai pas tenu compte, j'ai voulu que Yal reste aux Standards que JE lui avais arbitrairement fixé dans mes cases de lectrice"
(1) et encore...
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
- bormandg
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De toute manière ils sont totalement irresponsables.... alors...silramil a écrit :Il dit qu'il voit pas le rapport... faudrait pas rendre les bisounours responsables de tout non plusMF a écrit :(1) oui, je sais : je dis des gros mots et je profère des insanités ; mais c'est Sil' qui a commencé en placardant des bisounours partout !
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Qu'entends-tu par "direct" ? Si tu veux dire qu'il faut réfléchir à deux foisdracosolis a écrit : Le propos c'est de prendre des gants en cas de proximité obligatoire
et de ne pas venir souffleter direct quelqu'un qui ne vous a rien fait de
pire que d'écrire un truc qui ne vous a pas plu.
avant d'écrire quelque chose qui peut blesser, ou simplement choquer,
nous sommes entièrement d'accord. Ca marche d'ailleurs dans les deux
sens : l'auteur offusqué devrait aussi prendre le temps de décompresser
avant de surréagir à chaud.
En revanche lorsque, tout bien pesé, on estime toujours utile de faire
valoir son point de vue, même négatif et potentiellement blessant, autant
être direct : l'hypocrisie ne fait qu'envenimer les choses, à mon sens.
Il n'y a ni recette, ni obligation de résultat ou de plaire, mais il peut ydracosolis a écrit :en fait, je crois que la réponse est oui.MF a écrit :Et est-ce que ce bon principe s'appliquerait (...) à l'acheteur ?
Il y a quelque chose de pervers dedans comme s'il y avait obligation de
résultat, obligation de plaire, comme si on avait une recette applicable à
l'art et des standards de résultats de type hôtellerie.
avoir une obligation de moyens. Publier dans une collection SF, en
revendiquer l'étiquette, c'est accepter d'être confronté aux standards
du genre — même s'il peut y en avoir autant que d'acheteurs de cette
étiquette. C'est encore plus vrai dans une collection jeunesse.
- Eons
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Ben quoi ? La Semoys est une rivière belgo-ardennaise…dracosolis a écrit :Eons, je te l'ai dit mille fois, la nettiquette demande qu'on foute la paix aux copains au motif de l'orthographe et des fautes de frappeEons a écrit :Comme la prochaine convention est à Semoy (sans "s"), tout va bien.dracosolis a écrit :tu mourras à Semoys pour çaEons a écrit :C'est une blague A Debats… et à deux balles.bormandg a écrit :Tante Jeanne
un jour, ça rentrera
peut-être
http://www.notrefamille.com/cartes-post ... etail.html
En plus, cette nétiquette, tu ne la revendiques que quand ça t'arrange. Cf. ma coquille "alogorithme".
Disons un partout et cessons là.
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
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IL PEUT: Ce qui veut dire que nous tournons depuis 15 pages sur des confusions entre cas particuliers signalés et cas général supposé, et nous cherchons une LOI ULTIME qui s'appliquerait à TOUTES les critiques, comme si chacune ne présentait pas un cas particulier.caliban a écrit : Il n'y a ni recette, ni obligation de résultat ou de plaire, mais il peut y
avoir une obligation de moyens.
A part les remarques sur certaines outrances, le reste de ce fil est bourré de généralisations abusives faites ou préparées.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Que voilà encore un débat qu'il est intéressant...MF a écrit : [...]
Parce que faut quand même pas oublier que quand j'ai sorti quelques oboles qui permettent à l'éditeur, au diffuseur, au distributeur, à l'éventuel agent, et accessoirement au libraire et anecdotiquement à l'auteur, de vivre, j'aimerai bien ne pas être pris pour une truffe.
Au même titre que je revendique le droit de faire un scandale dans le magasin, puis chez le producteur, lorsque je trouve une souris grise (2) dans une boite de haricots vert ou, plus rarement de gastéropodes, j'exige de pouvoir insulter en public tous les participants d'une chaîne du livre qui m'aurait conduit à devoir m'infliger, involontairement, la lecture d'une daube, voire d'une bouse. C'est déjà bien beau que je ne demande pas des indemnités préjudicielles...
Quelle est l'assurance qualité implicitement vendue avec un livre ? a quel point l'exposition au contenu du livre est-elle, pour le lecteur et de la part de l'auteur, sans garantie et "à ses risques et périls" ?
Au plan strictement réglementaire, bien sûr, la réponse est aucune et totalement, respectivement - l'engagement est, en gros, limité à la présence d'un certain nombre de pages imprimées, organisées dans l'ordre.
En termes d'engagement moral, est-ce différent ? qui prend implicitement l'engagement qu'un roman publié chez, au hasard, FolioSF (qui a réédité pas mal de choses ces dernières années) a donc vocation de plaire au lecteur de SF ? Est-ce l'auteur, l'éditeur, le libraire, personne ?
Je me souviens d'une tribune de Neil Gaiman, déplorant l'attitude de certains fans qui harcelaient GRR Martin sous prétexte qu'il n'écrivait pas assez vite la suite de son histoire. D'après Gaiman, le seul engagement que prend l'auteur c'est d'avoir livré le meilleur récitqu'il pouvait écrire à un moment donné - pas que ça plaira, ni que la suite sera écrite en tant et en heure, ni rien d'autre.
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"Il aura fallu des millions d'années à l'espèce humaine pour descendre des arbres et seulement dix de plus pour se mettre en vitrine." R. Powers
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