Quoi? La traduction était pas bonne?silramil a écrit :...
C'était pénis?
Rome, Unique Objet de son ressentiment
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Je suppose qu'il ne devait pas exister de faux-monnayeurs à ces époques?Gérard Klein a écrit :
Il y avait des changeurs partout, en particulier sur les marchés, qui, avec leur petite balance et leur pierre de touche, évaluaient une pièce en fonction de son poids et de sa composition estimée moyennant une contribution non négligeable. Il existe des études nombreuses et importantes sur le sujet, évidemment lié à celui de la naissance et de l'histoire des banques.
Les changeurs n'ont plus eu alors de rôle qu'à l'international.
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bormandg
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C'est bien parce qu'il en existait que les changeurs avaient du travail. surtout quand les emetteurs officiels de monnaie jouaient au faux monnayeur en changeant le poids et la qualité de leurs pièces. Comme certains rois de France...Lensman a écrit :Je suppose qu'il ne devait pas exister de faux-monnayeurs à ces époques?Gérard Klein a écrit :
Il y avait des changeurs partout, en particulier sur les marchés, qui, avec leur petite balance et leur pierre de touche, évaluaient une pièce en fonction de son poids et de sa composition estimée moyennant une contribution non négligeable. Il existe des études nombreuses et importantes sur le sujet, évidemment lié à celui de la naissance et de l'histoire des banques.
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"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Je me pose surtout la question à propos des faussaires "non officiels" et au sein d'une monnaie donnée (le change n'intervenant pas).bormandg a écrit :C'est bien parce qu'il en existait que les changeurs avaient du travail. surtout quand les emetteurs officiels de monnaie jouaient au faux monnayeur en changeant le poids et la qualité de leurs pièces. Comme certains rois de France...Lensman a écrit :Je suppose qu'il ne devait pas exister de faux-monnayeurs à ces époques?Gérard Klein a écrit :
Il y avait des changeurs partout, en particulier sur les marchés, qui, avec leur petite balance et leur pierre de touche, évaluaient une pièce en fonction de son poids et de sa composition estimée moyennant une contribution non négligeable. Il existe des études nombreuses et importantes sur le sujet, évidemment lié à celui de la naissance et de l'histoire des banques.
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Mais quelle question te poses-tu? Si la pièce avait le bon poids du bon métal, peu importait d'où elle venait; le faussaire était n'importe qui trichait sur le métal ou sur le poids (en grattant la pièce pour récupérer un peu d('or par exemple)...Lensman a écrit :Je me pose surtout la question à propos des faussaires "non officiels" et au sein d'une monnaie donnée (le change n'intervenant pas).bormandg a écrit :C'est bien parce qu'il en existait que les changeurs avaient du travail. surtout quand les emetteurs officiels de monnaie jouaient au faux monnayeur en changeant le poids et la qualité de leurs pièces. Comme certains rois de France...Lensman a écrit :Je suppose qu'il ne devait pas exister de faux-monnayeurs à ces époques?Gérard Klein a écrit :
Il y avait des changeurs partout, en particulier sur les marchés, qui, avec leur petite balance et leur pierre de touche, évaluaient une pièce en fonction de son poids et de sa composition estimée moyennant une contribution non négligeable. Il existe des études nombreuses et importantes sur le sujet, évidemment lié à celui de la naissance et de l'histoire des banques.
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ce qu'il y a c'est que tu n'es pas sensible à la poésie gallo romainesilramil a écrit :Disons que ce n'est pas ce genre de passage qui m'a fait apprécier la série. pas choqué, ni rien, mais aucun intérêt à mes yeux.Anne a écrit :Quoi? La traduction était pas bonne?silramil a écrit :...
C'était pénis?
Je me demande si l'activité de faux monnayeur était connue dans l'Antiquité romaine, qui la pratiquait, si on a des traces anciennes de problêmes de ce type, etc.bormandg a écrit : Mais quelle question te poses-tu? Si la pièce avait le bon poids du bon métal, peu importait d'où elle venait; le faussaire était n'importe qui trichait sur le métal ou sur le poids (en grattant la pièce pour récupérer un peu d('or par exemple)...
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Ah moi, si. Le cul a participé à l'intérêt.silramil a écrit :Disons que ce n'est pas ce genre de passage qui m'a fait apprécier la série. pas choqué, ni rien, mais aucun intérêt à mes yeux.Anne a écrit :Quoi? La traduction était pas bonne?silramil a écrit :...
C'était pénis?
Sinon, pour apporter ma modeste contribution, et pas sur la fausse monnaie, bien que je suive avec intérêt l'échange, apprenant des choses, la seule chose qui m'a vraiment chagrinée dans la série, c'est le personnage de Brutus qui passe pour un mou opportuniste et pistonné, quand il était en fait un idéaliste vite manipulé. Et sa mort par pugilat informel et qui n'avait pour but que d'entacher son image, alors qu'il me semble - il me semble...- qu'il s'est suicidé, selon la tradition...
Pour le reste, je crois qu'une amie archéologue m'avait dit qu'il y avait un vrai problème avec l'aménagement des rues présenté dans la série et aussi l'argent, effectivement.
Mais c'était une vraie bonne série, la petite histoire (avec l'excellent Titus Pullo) permettant d'en faire une série populaire et de comprendre aussi la partie politique.
Si seulement Marc Antoine n'avait pas répété "fuck" comme un gros épicier americano-italien tous les deux mots, ça aurait même été parfait...
Le cul, oui.Anne a écrit :Ah moi, si. Le cul a participé à l'intérêt.silramil a écrit :Disons que ce n'est pas ce genre de passage qui m'a fait apprécier la série. pas choqué, ni rien, mais aucun intérêt à mes yeux.Anne a écrit :Quoi? La traduction était pas bonne?silramil a écrit :...
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Présenter les femmes romaines du 1er siècle avant comme les débauchées du 1er siècle après, moins. Et quand je dis les débauchées, je pense "la caricature de débauchée, à la Messaline, imposée par le péplum italien après avoir été reprise à la littérature sensationnaliste, depuis Suétone".
D'une manière générale, ce personnage de la mère d'Octave est ridicule.
Et c'est une série qui a été présentée comme d'une grande précision historique.Sinon, pour apporter ma modeste contribution, et pas sur la fausse monnaie, bien que je suive avec intérêt l'échange, apprenant des choses, la seule chose qui m'a vraiment chagrinée dans la série, c'est le personnage de Brutus qui passe pour un mou opportuniste et pistonné, quand il était en fait un idéaliste vite manipulé. Et sa mort par pugilat informel et qui n'avait pour but que d'entacher son image, alors qu'il me semble - il me semble...- qu'il s'est suicidé, selon la tradition...
Personnellement, j'ai été scandalisé par la présentation de Caton. Cette série est honteusement pro-César (et je suis moi-même césarien), en salissant la mémoire de ses adversaires. Je ne sais pas s'il y a un message inconscient ou si c'est la simple conséquence d'une vision artistique, pour rendre l'histoire plus intéressante, mais dans tous les cas, ça me paraît indéfendable comme série historique.
Ce dont on ne peut parler, il faut le faire.
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bormandg
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On ne parlait sans doute pas de "faux monnayeur", mais quiconque grattait du métal d'une pièce pour en fabriquer plus en assurait l'activité. Ou quiconque fabriquait des pièces en métal doré...Lensman a écrit :Je me demande si l'activité de faux monnayeur était connue dans l'Antiquité romaine, qui la pratiquait, si on a des traces anciennes de problêmes de ce type, etc.bormandg a écrit : Mais quelle question te poses-tu? Si la pièce avait le bon poids du bon métal, peu importait d'où elle venait; le faussaire était n'importe qui trichait sur le métal ou sur le poids (en grattant la pièce pour récupérer un peu d('or par exemple)...
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Tu as entendu parler d'Archimède? Tu te rappelles pour quelle question il a pris son bain?
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