Si j'avais les moyens de me payer tout ça, je m'estimerais riche.crazy guide a écrit :Quand on était un riche industriel en 1955 on pouvait se permettre d'avoir : plusieurs voitures, une résidence secondaire à la campagne ou à la mer, partir en vacances 2 ou 3 fois par an. etc.
Science et metaphysique ?
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Eons
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Oui pour moi, même aujourd'hui, c'est être riche.Eons a écrit :Si j'avais les moyens de me payer tout ça, je m'estimerais riche.crazy guide a écrit :Quand on était un riche industriel en 1955 on pouvait se permettre d'avoir : plusieurs voitures, une résidence secondaire à la campagne ou à la mer, partir en vacances 2 ou 3 fois par an. etc.
Je crois que ça n'a rien à voir avec l'âge. Tu choisis juste de creuser dans moins de directions à la fois et celle de la musique est passée à la trappe. Mais si tu continuais de le faire dans ce domaine, tu trouverais des trucs qui te plairaient dans les dix dernières années. Même dans la denière, tiens. Voire dans le mois qui vient de passer.dracosolis a écrit :par exemple, je ne sais pas, j'ignore, je suis sourde à tout ce qui a été fait en musique depuis dix ans (sauf morceaux uniques de temps en temps)
je suis sûre que le jour où il me faudra un technicien pour installer ma prochaine bécane n'est pas si loin...
on vieillit on se sclérose
(quoique ma folle de mère a un i-phone et joue avec comme une gamine : apprentissage du mois, le sms, j'en reçois du genre "test un deux un deux", c'est fun)
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Eons
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Question musique, je dirais qu'il sort toujours autant de bonnes œuvres que jadis, mais qu'elles sont beaucoup plus noyées dans la masse des trucs médiocres qu'avant, d'où une impression de raréfaction qui n'est en fait que relative.
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Pas tout à fait d'accord.Eons a écrit :Question musique, je dirais qu'il sort toujours autant de bonnes œuvres que jadis, mais qu'elles sont beaucoup plus noyées dans la masse des trucs médiocres qu'avant, d'où une impression de raréfaction qui n'est en fait que relative.
Il y a plus de tout, "bon" comme "mauvais". Mais l'accessibilité ayant décuplé, les trucs susceptibles de nous plaire sont beaucoup plus nombreux. Ceux qui se laissent "noyer" par des trucs qu'ils considèrent médiocres ne doivent s'en prendre qu'à eux-mêmes.
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bormandg
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Attends, y'a une grosse différence entre l'enthousiasme que pouvait provoquer un bon truc dans la pauvreté d'autrefois et le plaisir temporaire que provoquera un truc bon dans l'abondance actuelle. Et puis, autrefois, il était beaucoup plus facile d'ignorer les trucs médiocres, on ne les subissait pas à longueur de journée sur radios, haut parleurs des magasins, et siources diverses de vacarme ambiant. Que tu l'admettes ou non, ne pas se laisser noyer demande un effort assez conséquent.Aldaran a écrit :Pas tout à fait d'accord.Eons a écrit :Question musique, je dirais qu'il sort toujours autant de bonnes œuvres que jadis, mais qu'elles sont beaucoup plus noyées dans la masse des trucs médiocres qu'avant, d'où une impression de raréfaction qui n'est en fait que relative.
Il y a plus de tout, "bon" comme "mauvais". Mais l'accessibilité ayant décuplé, les trucs susceptibles de nous plaire sont beaucoup plus nombreux. Ceux qui se laissent "noyer" par des trucs qu'ils considèrent médiocres ne doivent s'en prendre qu'à eux-mêmes.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
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bormandg
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Où j'ai dit que c'était mieux?Nébal a écrit :C'était mieux avant (bis).
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Non. Ne pas allumer la radio ne demande aucun effort. Choisir son programme télé non plus. Quant à la musique du supermarché, certes, elle est bien présente. Mais ne vas pas me faire croire que tu l'écoutes plus que les conversations des autres clients ou celle du trafic routier. Ce n'est pas de la musique, c'est une pollution sonore.bormandg a écrit :Attends, y'a une grosse différence entre l'enthousiasme que pouvait provoquer un bon truc dans la pauvreté d'autrefois et le plaisir temporaire que provoquera un truc bon dans l'abondance actuelle. Et puis, autrefois, il était beaucoup plus facile d'ignorer les trucs médiocres, on ne les subissait pas à longueur de journée sur radios, haut parleurs des magasins, et siources diverses de vacarme ambiant. Que tu l'admettes ou non, ne pas se laisser noyer demande un effort assez conséquent.Aldaran a écrit :Pas tout à fait d'accord.Eons a écrit :Question musique, je dirais qu'il sort toujours autant de bonnes œuvres que jadis, mais qu'elles sont beaucoup plus noyées dans la masse des trucs médiocres qu'avant, d'où une impression de raréfaction qui n'est en fait que relative.
Il y a plus de tout, "bon" comme "mauvais". Mais l'accessibilité ayant décuplé, les trucs susceptibles de nous plaire sont beaucoup plus nombreux. Ceux qui se laissent "noyer" par des trucs qu'ils considèrent médiocres ne doivent s'en prendre qu'à eux-mêmes.
Faut pas tout mélanger. Là on parlait de musique (EDIT : ce qui n'a rien à voir avec le fil, d'ailleurs, mais je me contrôle difficilement quand ce mot est prononcé ou écrit... Pardon.)
