Pourquoi faire ?dracosolis a écrit :moi ce que je vois c'est qu'on ne va même plus pouvoir simuler
L'orgasme feminin scientifiquement scanné ?
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- dracosolis
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Sybille a écrit :Pourquoi faire ?dracosolis a écrit :moi ce que je vois c'est qu'on ne va même plus pouvoir simuler
(enfin c'est la seule raison valide que je vois)
(perso, j'ai toujours eu du mal à me lever en disant "Bon, je m'ennuie là, ça t'embête si on mate une série plutôt?" * )
(mais je l'ai faite, hein?^^)
http://www.youtube.com/watch?v=61klageOn-4
bon je suis pas d'ac avec les explis de Georges^^
* équivalent de l'ancien "tu sais chéri, il va vraiment falloir penser à repeindre le plafond..."
- dracosolis
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tu es sûr que tu ne t'es pas gouré de thread, dear ?Gérard Klein a écrit :Deux chats dans mon bureau.
Un noir comme l'enfer. Loulou.
Un gris comme une souris (enfin gris pommelé). Pom POm
ET ils me prennent pour un groom et voudraient que je me tienne près de la porte pour les laisser entrer et sortir à volonté.
Non mais…
Ca me rappelle une très très vieille histoire mettant en scène une mouche sur une feuille au milieu d'un lac, une grenouille, un héron, un piaf sur un arbre et une chatte.
Pour la raconter, faut environ 15mn-30mn.
Pour la raconter, faut environ 15mn-30mn.
"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
http://melkine.wordpress.com/
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[DESPROGES]dracosolis a écrit :* équivalent de l'ancien "tu sais chéri, il va vraiment falloir penser à repeindre le plafond..."
Simone de Beauvoir quittant le lit de Sartre : "C'est pas qu'il se fait tard, mais je m'emmerde !"
[/DESPROGES]
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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Je la connaissais avec Elsa Triolet sortant du lit d'Eluard "C'est pas qu'il se fait tard, mais je m'emmerde" et sortant du lit d'Aragon "c'est pas que je m'emmerde, mais il se fait tard".MF a écrit :[DESPROGES]dracosolis a écrit :* équivalent de l'ancien "tu sais chéri, il va vraiment falloir penser à repeindre le plafond..."
Simone de Beauvoir quittant le lit de Sartre : "C'est pas qu'il se fait tard, mais je m'emmerde !"
[/DESPROGES]
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J'aurais dû citer mon homonyme dans mon message p.1dracosolis a écrit : http://www.youtube.com/watch?v=61klageOn-4
bon je suis pas d'ac avec les explis de Georges^^
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Bon aller, je me lâche... à 54 ans je peux raconter ce genre de chose, ça fait plus de dix ans il y a prescription... 
Attention Réservé aux adultes.
Je profite du sujet pour vous raconter l'unique trip d'acide de ma vie.
C'était il y a longtemps, je venais d'entrer aux arts décos...
Une amie, qui louait une chambre de bonne au sommet d'un immeuble parisien dans le dix neuvième avait récupéré deux trips d'acide, je crois sous forme de buvard ying yang, mais je n'en suis pas certain, ça pouvait être aussi des petites pyramides.
Bien que les occasions n'ont jamais manqué autour de moi, je n'en avais jamais encore pris, car quelques années plus tôt, un camarade de classe n'était, comme on dit, jamais "redescendu" et était suivi médicalement depuis.
Je savais que c'était une expérience cognitive exceptionnelle, et bien sur, on a eu la fausse bonne idée de se la réserver pour une nuit d'amour. En effet quoi de mieux que d'avoir un orgasme amplifié par un "trip" psychédélique ? ...nous disions nous.
On a mis un disque de Klaus Schulze, à moins que ce ne soit Pink Floyd, Tangerine Dream, ou Tubular Bells, et on a ingurgitées les précieuses molécules.
Au bout de plusieurs minutes, les papiers peints se sont mis à onduler...
Ce que nous ne savions pas, c'est que pendant un trip d'acide, le cerveau est en telle suractivité qu'il passe son temps à "voyager" d'une stimulation sensorielle ou cognitive à l'autre... je dirais qu'il métaphorise en permanence, provoquant une "matérialisation" esthésique hallucinatoire de ces métaphores.
Lors de la pénétration sexuelle, j'ai focalisé mon attention sur les sensations physiques associées, et la mon esprit a brutalement plongé : Il s'est répandu comme une vague électrique à la surface de ma peau, et, arrivé au niveau de l'interpénétration des organismes, il a poursuivi son chemin, remonté le long de "sa" colonne vertébrale fait une escale dans le coeur pour se délecter de la pulsation grave de ses battements...
J'avais totalement oublié que j'étais en train de faire l'amour, et je m'abîmais dans la contemplation extatique des flux de cellules circulant comme du vent le long de ses artères...tout en écoutant distinctement la conversation que tenaient deux personnes dans la rue six étages plus bas... de toute façon ce n'était pas grave, car ma compagne était elle aussi ailleurs, en train d'explorer ses propres méandres perceptuelles.
Le lendemain matin à 7h, je rentrais chez moi dans le treizième arrondissement au volant de ma 4L, persuadé que les effets du psychotrope étaient finis, lorsque tout d'un coup, à ma grande horreur, (car je savais que c'était une hallucination) toutes les automobiles autour de moi, coincées dans l'embouteillage matinal, se sont transformées en d'énormes scarabés métalliques, frottant leurs carapaces grinçantes les une contre les autres.
Heureusement, de temps en temps, le réel se superposait à l'hallucination, et le chauffeur en livré d'une immense Cadillac rose à ma droite, me rassurait en me disant : "Ce n'est pas grave, tout va bien se passer."
Miraculeusement, et je ne sais absolument pas comment ça a pu être possible, j'ai réussi à atteindre ma destination sans accident. Oui je sais, j'ai de la chance. La bonne attitude était de me garer et d'attendre de sortir de cet état de conscience modifié. Mais visiblement j'avais perdu la capacité d'être raisonnable.
C'est la seule fois où j'ai pris du LSD dans ma vie, l'effet est tellement puissant que je redoute de rester "coller" au prochain essai... d'ailleurs, comme je le dis souvent, je ne suis pas vraiment certain d'être redescendu, tellement ce monde de SF cyberpunk en grandeur réel dans lequel je vous côtoie, est improbable.
Quelques années plus tard, lors d'une émission de TV sur les Near Death Experiments, un neurobiologiste français, dont je n'ai hélas pas noté le nom à l'époque, a présenté en directe au public des scanners réalisés il me semble par RMN, de son propre cerveau sous LSD. (1)
Et il montrait en pointant du doigts la dominante rouge des aires cérébrales: l'acide lysergique avait comme effet d'activer simultanément la totalité du cerveau.
C'est la seule occasion où j'ai pu voir des scanners du cerveau sous LSD.
Un livre excellent sur le sujet est le livre Psychoactif, de Christian Vila, et Christian Chapiron
http://www.cultura.com/livre/sciences-h ... 745548.prd
(1) si quelqu'un se rappelle de cette émission, ou a des liens vers de l'imagerie cérébrale sous LSD, je suis preneur, car visiblement, malgré l'internet et le temps, ce type d'image n'existe pas en ligne...
Yann, NooPsychoActif.
Attention Réservé aux adultes.
Je profite du sujet pour vous raconter l'unique trip d'acide de ma vie.
C'était il y a longtemps, je venais d'entrer aux arts décos...
Une amie, qui louait une chambre de bonne au sommet d'un immeuble parisien dans le dix neuvième avait récupéré deux trips d'acide, je crois sous forme de buvard ying yang, mais je n'en suis pas certain, ça pouvait être aussi des petites pyramides.
Bien que les occasions n'ont jamais manqué autour de moi, je n'en avais jamais encore pris, car quelques années plus tôt, un camarade de classe n'était, comme on dit, jamais "redescendu" et était suivi médicalement depuis.
Je savais que c'était une expérience cognitive exceptionnelle, et bien sur, on a eu la fausse bonne idée de se la réserver pour une nuit d'amour. En effet quoi de mieux que d'avoir un orgasme amplifié par un "trip" psychédélique ? ...nous disions nous.
On a mis un disque de Klaus Schulze, à moins que ce ne soit Pink Floyd, Tangerine Dream, ou Tubular Bells, et on a ingurgitées les précieuses molécules.
Au bout de plusieurs minutes, les papiers peints se sont mis à onduler...
Ce que nous ne savions pas, c'est que pendant un trip d'acide, le cerveau est en telle suractivité qu'il passe son temps à "voyager" d'une stimulation sensorielle ou cognitive à l'autre... je dirais qu'il métaphorise en permanence, provoquant une "matérialisation" esthésique hallucinatoire de ces métaphores.
Lors de la pénétration sexuelle, j'ai focalisé mon attention sur les sensations physiques associées, et la mon esprit a brutalement plongé : Il s'est répandu comme une vague électrique à la surface de ma peau, et, arrivé au niveau de l'interpénétration des organismes, il a poursuivi son chemin, remonté le long de "sa" colonne vertébrale fait une escale dans le coeur pour se délecter de la pulsation grave de ses battements...
J'avais totalement oublié que j'étais en train de faire l'amour, et je m'abîmais dans la contemplation extatique des flux de cellules circulant comme du vent le long de ses artères...tout en écoutant distinctement la conversation que tenaient deux personnes dans la rue six étages plus bas... de toute façon ce n'était pas grave, car ma compagne était elle aussi ailleurs, en train d'explorer ses propres méandres perceptuelles.
Le lendemain matin à 7h, je rentrais chez moi dans le treizième arrondissement au volant de ma 4L, persuadé que les effets du psychotrope étaient finis, lorsque tout d'un coup, à ma grande horreur, (car je savais que c'était une hallucination) toutes les automobiles autour de moi, coincées dans l'embouteillage matinal, se sont transformées en d'énormes scarabés métalliques, frottant leurs carapaces grinçantes les une contre les autres.
Heureusement, de temps en temps, le réel se superposait à l'hallucination, et le chauffeur en livré d'une immense Cadillac rose à ma droite, me rassurait en me disant : "Ce n'est pas grave, tout va bien se passer."
Miraculeusement, et je ne sais absolument pas comment ça a pu être possible, j'ai réussi à atteindre ma destination sans accident. Oui je sais, j'ai de la chance. La bonne attitude était de me garer et d'attendre de sortir de cet état de conscience modifié. Mais visiblement j'avais perdu la capacité d'être raisonnable.
C'est la seule fois où j'ai pris du LSD dans ma vie, l'effet est tellement puissant que je redoute de rester "coller" au prochain essai... d'ailleurs, comme je le dis souvent, je ne suis pas vraiment certain d'être redescendu, tellement ce monde de SF cyberpunk en grandeur réel dans lequel je vous côtoie, est improbable.
Quelques années plus tard, lors d'une émission de TV sur les Near Death Experiments, un neurobiologiste français, dont je n'ai hélas pas noté le nom à l'époque, a présenté en directe au public des scanners réalisés il me semble par RMN, de son propre cerveau sous LSD. (1)
Et il montrait en pointant du doigts la dominante rouge des aires cérébrales: l'acide lysergique avait comme effet d'activer simultanément la totalité du cerveau.
C'est la seule occasion où j'ai pu voir des scanners du cerveau sous LSD.
Un livre excellent sur le sujet est le livre Psychoactif, de Christian Vila, et Christian Chapiron
http://www.cultura.com/livre/sciences-h ... 745548.prd
(1) si quelqu'un se rappelle de cette émission, ou a des liens vers de l'imagerie cérébrale sous LSD, je suis preneur, car visiblement, malgré l'internet et le temps, ce type d'image n'existe pas en ligne...
Yann, NooPsychoActif.
- dracosolis
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- Enregistré le : mar. févr. 07, 2006 8:08 pm
- Contact :
ahemSybille a écrit :*n'a pas compris ce qu'a dit Draco et se dit que c'est une preuve qu'elle est aussi un peu sa mère puisqu'elle ne comprend jamais Mère Dragon...*
je vais essayer d'éclairer ta lanterne
la seule raison valide que je vois pour simuler est de faire plaisir au monsieur avec qui on baise.
Pour deux raisons toutes connes :
a) le plaisir de l'autre est érotique. Ce qui implique que le monsieur croyant que tu "montes aux nues" y montera d'autant plus lui-même* (et puis si ça se trouve du coup, ça peut revenir chez toi en cours de route aussi, on sait jamais)
b) ne pas le vexer pour une broutille tout simplement (enfin, si c'est un état d'ennui passager et surtout survenu en cours de route)**
* Ce qui a pour conséquence immédiate que la période d'ennui se raccourcira d'autant également, et ce n'est pas à négliger.
* parce que sinon, si pas passager mais systématique, la configuration ennuyeuse risque de se reproduire (hum) et ça c'est une TRÈS mauvaise idée.
N.B. : Ce qui prouve avant tout que les hommes (moi compris , hein , s'agit pas de donner des leçons en la matière...) sont avant tout préoccuppés par l'image de la sexualité .dracosolis a écrit :ahemSybille a écrit :*n'a pas compris ce qu'a dit Draco et se dit que c'est une preuve qu'elle est aussi un peu sa mère puisqu'elle ne comprend jamais Mère Dragon...*
je vais essayer d'éclairer ta lanterne
la seule raison valide que je vois pour simuler est de faire plaisir au monsieur avec qui on baise.
Pour deux raisons toutes connes :
a) le plaisir de l'autre est érotique. Ce qui implique que le monsieur croyant que tu "montes aux nues" y montera d'autant plus lui-même* (et puis si ça se trouve du coup, ça peut revenir chez toi en cours de route aussi, on sait jamais)
b) ne pas le vexer pour une broutille tout simplement (enfin, si c'est un état d'ennui passager et surtout survenu en cours de route)**
* Ce qui a pour conséquence immédiate que la période d'ennui se raccourcira d'autant également, et ce n'est pas à négliger.
* parce que sinon, si pas passager mais systématique, la configuration ennuyeuse risque de se reproduire (hum) et ça c'est une TRÈS mauvaise idée.
C'est un sujet intéressant et qui (pour autant que je l'aie bien compris) me semble récurrent dans les Posts de Yann , le parallélisme entre une réalité et un imaginaire sexuels .
J'ai l'impression (forcément subjective et partielle) que , sur ce point , la féminité et la masculinité ne fonctionnent pas toujouirs de concert...
Mais de mon point-de-vue étroit , la différence , c'est l'essence des rapports humains .
Bon , je parle un peu dans le vague , là , alors je vais essayer d'éclaircir mon propos : Il me semble que , dans la fantasmagorie sexuelle , chez les hommes , le visuel prenne une place prépondérante , alors que , chez les femmes , cela ne semble pas si évident (au sens propre !)...
Me trompé-je ?
"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"
- dracosolis
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tsss tss
les filles moins visuelles...
encore une excuse des messieurs pour pas se faire jolis aux plumes
(et ailleurs)
ben en fait je sais pas si tu te trompes
je ne suis pas LES filles et certainement pas un mec^^
ce que je sais c'est c'est que j'aime les messieurs propres, jolis, qui sentent bon, qui prennent soin d'eux* et dont le plaisir est également évident
(donc je suis visuelle et nasale^^ au moins)
*CAD une douche récente** et pas noyés sous le Men for Men
** et j'entends par récente moins de trois heures
les filles moins visuelles...
encore une excuse des messieurs pour pas se faire jolis aux plumes
ben en fait je sais pas si tu te trompes
je ne suis pas LES filles et certainement pas un mec^^
ce que je sais c'est c'est que j'aime les messieurs propres, jolis, qui sentent bon, qui prennent soin d'eux* et dont le plaisir est également évident
(donc je suis visuelle et nasale^^ au moins)
*CAD une douche récente** et pas noyés sous le Men for Men
** et j'entends par récente moins de trois heures
heu... tu confondrais pas la première vitesse cosmique et la vitesse de libération ?dracosolis a écrit :a) le plaisir de l'autre est érotique. Ce qui implique que le monsieur croyant que tu "montes aux nues" y montera d'autant plus lui-même*
....
* Ce qui a pour conséquence immédiate que la période d'ennui se raccourcira d'autant également, et ce n'est pas à négliger.
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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tu penses que j'ai mesuré la vitesse de phase, en fait ?MF a écrit :heu... tu confondrais pas la première vitesse cosmique et la vitesse de libération ?dracosolis a écrit :a) le plaisir de l'autre est érotique. Ce qui implique que le monsieur croyant que tu "montes aux nues" y montera d'autant plus lui-même*
....
* Ce qui a pour conséquence immédiate que la période d'ennui se raccourcira d'autant également, et ce n'est pas à négliger.
merde faut que je refasse l'expérience...
(non je ne cherche pas un volontaire pour m'ennuyer)