Robert Laffont va faire de la BD en septembre
Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
-
- Administrateur - Site Admin
- Messages : 14744
- Enregistré le : jeu. déc. 15, 2005 4:12 pm
- Localisation : Chambéry
Robert Laffont va faire de la BD en septembre
Les éditions Robert Laffont devraient se lancer dans la bande dessinée en septembre prochain.
Au programme une vingtaine de titres avec des morceaux de SF dedans.
Marya Smirnoff sera à la direction.
Parmi les auteurs Jean Dufaux et Paolo Serpieri signeront une série de science-fiction dans une Venise futuriste et intemporelle ; Xavier Dorison et Enrique Breccia signeront également un album de SF.
Affaire à suivre...
Au programme une vingtaine de titres avec des morceaux de SF dedans.
Marya Smirnoff sera à la direction.
Parmi les auteurs Jean Dufaux et Paolo Serpieri signeront une série de science-fiction dans une Venise futuriste et intemporelle ; Xavier Dorison et Enrique Breccia signeront également un album de SF.
Affaire à suivre...
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
-
- Administrateur - Site Admin
- Messages : 14744
- Enregistré le : jeu. déc. 15, 2005 4:12 pm
- Localisation : Chambéry
On a le programme de Robert Laffont (piqué sur le site de Fantasy.fr)
Septembre :
Les Enfers, de Jean Dufaux et Paolo Serpieri (SF)
Malgret, de Pierre Veys et Christophe Alvès (Humour/Polar)
Octobre :
Les sentinelles : les moissons d’acier, de Xavier Dorison et Enrique Breccia (SF)
L’ombre du temps, de Paolo Grella et Roberto Dal Pra (aventure)
Novembre :
Moonflet, de Rodolphe et Dominique Hé (aventure)
Korto Maltose, de Pierre Veys et Torti (humour).
Septembre :
Les Enfers, de Jean Dufaux et Paolo Serpieri (SF)
Malgret, de Pierre Veys et Christophe Alvès (Humour/Polar)
Octobre :
Les sentinelles : les moissons d’acier, de Xavier Dorison et Enrique Breccia (SF)
L’ombre du temps, de Paolo Grella et Roberto Dal Pra (aventure)
Novembre :
Moonflet, de Rodolphe et Dominique Hé (aventure)
Korto Maltose, de Pierre Veys et Torti (humour).
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
-
- Administrateur - Site Admin
- Messages : 14744
- Enregistré le : jeu. déc. 15, 2005 4:12 pm
- Localisation : Chambéry
Les bandes annonces
Le site de Robert Laffont a mis en ligne des bandes annonces de ces premières BD :
Septembre :
Les Enfers, de Jean Dufaux et Paolo Serpieri (SF)
La Bande Annonce :
http://www.laffont.fr/lesenfers.htm
Entre traque infernale et machinations machiavéliques, Saria parviendra-t-elle à protéger son héritage ?
À Venise, en l’an 27 de l’ère dominitienne, le palais Asanti est plongé dans une demi-pénombre. Saria est au chevet du prince, son père. Réunissant ses dernières forces, celui-ci lui confie une petite boîte joliment ouvragée, surmontée d’une tête de démon. La fillette est surprise par ce qu’elle y découvre… Trois clés : une rouge, une noire et une blanche. "...Saria, seule l’une d’entre elles ouvre la porte de l’Ange, celle qui mène au pouvoir suprême !! Des rois, des tyrans ravageraient des continents pour s’en emparer. Éloigne-toi d’ici au plus vite !" Orlando, fidèle serviteur du prince Ansanti, s’enfuit avec l’enfant à travers les couloirs tortueux du palais. Une barque va les mener loin de la cité et de ses dangers.
Des années plus tard, âgée de dix-huit ans, notre héroïne, surnommée La Luna par le peuple de Venise, va se trouver confrontée au frère du défunt, le doge, ainsi qu’à l’ange Galadriel, tous deux à la recherche des clés…
Cette première collaboration entre deux géants – l’un, maître incontesté de la science-fiction, l’autre, scénariste européen le plus remarqué – nous fait découvrir une Venise futuriste et décadente et va nous conduire… aux Enfers.
Malgret, de Pierre Veys et Christophe Alvès (Humour/Polar)
La Bande annonce : http://www.laffont.fr/malgret.htm
Attentat au tracteur, ex-fiancée hystérique, fantôme importun, adjoints calamiteux... Découvrez les catastrophiques aventures du commissaire Malgret !
Le 36, quai des Orfèvres, bâtiment mythique de la police judiciaire, abrite en son sein le commissaire Malgret. À la suite de la destruction d’une importante preuve dans une affaire de meurtre, il décide de se mettre au vert. Malheureusement pour lui, sa femme a choisi la destination… qui n’est autre que Saint-Pouacre, village natal du commissaire, que celui-ci évite depuis de nombreuses années. Là-bas, il sera confronté aux affaires criminelles les plus spectaculaires, les plus mystérieuses, et surtout les plus folles. Et dans le pays de Voltaire, où l’incompétence est élevée au rang de discipline olympique, le pauvre commissaire se voit encombré d’adjoints tous plus improbables les uns que les autres…
Avec un dessin dans la pure tradition de la ligne claire et un scénario désopilant : tous les ingrédients sont réunis pour faire de Malgret, en cette année 2007 dédiée à Maigret, l’un des nouveaux héros de la bande dessinée française.
Octobre :
Les sentinelles : les moissons d’acier, de Xavier Dorison et Enrique Breccia (SF)
http://www.laffont.fr/sentinelles.htm
Parce qu´il fallait dépasser les capacités humaines, la science les a fabriqués : les Sentinelles.
En 1911, lors de l’intervention française au Maroc, une section secrète de l’armée, la division "Sentinelles", teste sa nouvelle arme : Taillefer, un soldat sur lequel ont été greffés des membres métalliques. Insensible aux balles, déchirant les barbelés comme du papier, le soldat d’acier semble indestructible… Jusqu’à ce qu’il s’arrête net au beau milieu du combat. Ses batteries sont à plat !
En 1914, inspiré par les travaux de Pierre et Marie Curie, Gabriel Feraud, jeune scientifique, conçoit la pile au radium. Le colonel Mirreau entrevoit alors les potentialités d’une telle énergie sur ses Taillefer… Mais Feraud, antimilitariste, refuse… La guerre est déclarée, Feraud mobilisé. Le 8 août 1914, il est fauché par un obus allemand et amputé de tous ses membres. Transporté à l’hôpital, Mirreau lui fait une proposition : donner la pile au radium au docteur Kropp, le "créateur" des Sentinelles, et devenir le nouveau Taillefer…
Sur fond de réalité historique, cet album de "rétro science-fiction" aux couleurs modernes et acides donne naissance, pour la première fois, à un super-héros français : Taillefer.
L’ombre du temps, de Paolo Grella et Roberto Dal Pra (aventure)
La bande annonce
http://www.laffont.fr/ombredutemps.htm
L’invasion violente du Tibet dans les années 1950 par les troupes de la république populaire de Chine tient lieu de toile de fond dans ce premier volume.
Lors de l’un de ses voyages à Lhassa, Egon Bauer, professeur d’anthropologie et passionné de culture tibétaine, tombe sur un manuscrit qui pourrait révolutionner l’interprétation des Saintes Écritures : Jésus-Christ, appelé Yus Asaf, serait resté au Tibet de l’âge de dix-sept à trente ans !!
N’ayant plus de nouvelles de son père, Elen Bauer, accompagnée du détective Kevin McBride, décide d’entreprendre le voyage jusqu’au monastère où Egon séjournait… avant que les Chinois n’y mettent le feu.
Dal Pra’ et Grella nous entraînent, au-delà de la fiction, au cœur d’une thèse subversive, qui demeure, aujourd’hui encore, non élucidée… En 1887, Nicolas Notovitch, correspondant de guerre russe, prétendit en effet avoir découvert à Lhassa des textes anciens en langue pali, relatant des épisodes la vie de Jésus au Tibet… Sans adhérer ni prendre parti, Dal Pra’ et Grella, inspirés par cette thèse, nous offrent une aventure haletante, où mythe et histoire se confondent en une extraordinaire enquête.
Novembre :
Moonflet, de Rodolphe et Dominique Hé (aventure)
La Bande Annonce : http://www.laffont.fr/moonfleet.htm
Korto Maltose, de Pierre Veys et Torti (humour).
La Bande Annonce : http://www.laffont.fr/korto.htm
Septembre :
Les Enfers, de Jean Dufaux et Paolo Serpieri (SF)
La Bande Annonce :
http://www.laffont.fr/lesenfers.htm
Entre traque infernale et machinations machiavéliques, Saria parviendra-t-elle à protéger son héritage ?
À Venise, en l’an 27 de l’ère dominitienne, le palais Asanti est plongé dans une demi-pénombre. Saria est au chevet du prince, son père. Réunissant ses dernières forces, celui-ci lui confie une petite boîte joliment ouvragée, surmontée d’une tête de démon. La fillette est surprise par ce qu’elle y découvre… Trois clés : une rouge, une noire et une blanche. "...Saria, seule l’une d’entre elles ouvre la porte de l’Ange, celle qui mène au pouvoir suprême !! Des rois, des tyrans ravageraient des continents pour s’en emparer. Éloigne-toi d’ici au plus vite !" Orlando, fidèle serviteur du prince Ansanti, s’enfuit avec l’enfant à travers les couloirs tortueux du palais. Une barque va les mener loin de la cité et de ses dangers.
Des années plus tard, âgée de dix-huit ans, notre héroïne, surnommée La Luna par le peuple de Venise, va se trouver confrontée au frère du défunt, le doge, ainsi qu’à l’ange Galadriel, tous deux à la recherche des clés…
Cette première collaboration entre deux géants – l’un, maître incontesté de la science-fiction, l’autre, scénariste européen le plus remarqué – nous fait découvrir une Venise futuriste et décadente et va nous conduire… aux Enfers.
Malgret, de Pierre Veys et Christophe Alvès (Humour/Polar)
La Bande annonce : http://www.laffont.fr/malgret.htm
Attentat au tracteur, ex-fiancée hystérique, fantôme importun, adjoints calamiteux... Découvrez les catastrophiques aventures du commissaire Malgret !
Le 36, quai des Orfèvres, bâtiment mythique de la police judiciaire, abrite en son sein le commissaire Malgret. À la suite de la destruction d’une importante preuve dans une affaire de meurtre, il décide de se mettre au vert. Malheureusement pour lui, sa femme a choisi la destination… qui n’est autre que Saint-Pouacre, village natal du commissaire, que celui-ci évite depuis de nombreuses années. Là-bas, il sera confronté aux affaires criminelles les plus spectaculaires, les plus mystérieuses, et surtout les plus folles. Et dans le pays de Voltaire, où l’incompétence est élevée au rang de discipline olympique, le pauvre commissaire se voit encombré d’adjoints tous plus improbables les uns que les autres…
Avec un dessin dans la pure tradition de la ligne claire et un scénario désopilant : tous les ingrédients sont réunis pour faire de Malgret, en cette année 2007 dédiée à Maigret, l’un des nouveaux héros de la bande dessinée française.
Octobre :
Les sentinelles : les moissons d’acier, de Xavier Dorison et Enrique Breccia (SF)
http://www.laffont.fr/sentinelles.htm
Parce qu´il fallait dépasser les capacités humaines, la science les a fabriqués : les Sentinelles.
En 1911, lors de l’intervention française au Maroc, une section secrète de l’armée, la division "Sentinelles", teste sa nouvelle arme : Taillefer, un soldat sur lequel ont été greffés des membres métalliques. Insensible aux balles, déchirant les barbelés comme du papier, le soldat d’acier semble indestructible… Jusqu’à ce qu’il s’arrête net au beau milieu du combat. Ses batteries sont à plat !
En 1914, inspiré par les travaux de Pierre et Marie Curie, Gabriel Feraud, jeune scientifique, conçoit la pile au radium. Le colonel Mirreau entrevoit alors les potentialités d’une telle énergie sur ses Taillefer… Mais Feraud, antimilitariste, refuse… La guerre est déclarée, Feraud mobilisé. Le 8 août 1914, il est fauché par un obus allemand et amputé de tous ses membres. Transporté à l’hôpital, Mirreau lui fait une proposition : donner la pile au radium au docteur Kropp, le "créateur" des Sentinelles, et devenir le nouveau Taillefer…
Sur fond de réalité historique, cet album de "rétro science-fiction" aux couleurs modernes et acides donne naissance, pour la première fois, à un super-héros français : Taillefer.
L’ombre du temps, de Paolo Grella et Roberto Dal Pra (aventure)
La bande annonce
http://www.laffont.fr/ombredutemps.htm
L’invasion violente du Tibet dans les années 1950 par les troupes de la république populaire de Chine tient lieu de toile de fond dans ce premier volume.
Lors de l’un de ses voyages à Lhassa, Egon Bauer, professeur d’anthropologie et passionné de culture tibétaine, tombe sur un manuscrit qui pourrait révolutionner l’interprétation des Saintes Écritures : Jésus-Christ, appelé Yus Asaf, serait resté au Tibet de l’âge de dix-sept à trente ans !!
N’ayant plus de nouvelles de son père, Elen Bauer, accompagnée du détective Kevin McBride, décide d’entreprendre le voyage jusqu’au monastère où Egon séjournait… avant que les Chinois n’y mettent le feu.
Dal Pra’ et Grella nous entraînent, au-delà de la fiction, au cœur d’une thèse subversive, qui demeure, aujourd’hui encore, non élucidée… En 1887, Nicolas Notovitch, correspondant de guerre russe, prétendit en effet avoir découvert à Lhassa des textes anciens en langue pali, relatant des épisodes la vie de Jésus au Tibet… Sans adhérer ni prendre parti, Dal Pra’ et Grella, inspirés par cette thèse, nous offrent une aventure haletante, où mythe et histoire se confondent en une extraordinaire enquête.
Novembre :
Moonflet, de Rodolphe et Dominique Hé (aventure)
La Bande Annonce : http://www.laffont.fr/moonfleet.htm
Korto Maltose, de Pierre Veys et Torti (humour).
La Bande Annonce : http://www.laffont.fr/korto.htm
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
-
- Administrateur - Site Admin
- Messages : 14744
- Enregistré le : jeu. déc. 15, 2005 4:12 pm
- Localisation : Chambéry
Et pour être complet, je signale une interview de Jean Dufaux sur le site ActuaBD. Il signe Les Enfers avec Serpieri chez Laffont.
voici un extrait :
"On retrouve dans Les Enfers plusieurs thématiques récurrentes dans votre œuvre : les liens du sang, la soif de pouvoir… mais aussi les thèmes de prédilection de Paolo Serpieri : l’oppression exercée par l’Église, par un pouvoir dictatorial, la dégénérescence d’une société… Comment vos univers se sont-ils rencontrés, et qu’est-ce que cette rencontre vous a apporté ?
Jean Dufaux : D’abord, il faut une rencontre : dans un métier où l’écriture est d’abord une écriture de collaboration, et où elle passe par l’image, il est essentiel de sentir l’imaginaire de la personne en face de vous. Parfois ça fonctionne, parfois non, et ça n’a rien à voir avec le talent : quelqu’un peut avoir un talent énorme, et vous ne sentez pas d’accroche. Il y avait beaucoup de choses que j’appréciais graphiquement dans Druuna, le personnage me semblait intéressant, mais je n’avais pas de projet tout prêt pour autant. Je n’ai rien dans les tiroirs, et quand je rencontre un dessinateur, ça doit être pour moi un terrain vierge. Je vais le rencontrer, l’écouter, voir si nous pouvons trouver un terrain d’entente – dans tous les sens du terme : géographique, politique, graphique… Quand ça fonctionne bien, et qu’on a affaire à un vrai professionnel, ça peut aller très vite.
Avec Serpieri, ce qui tombait très bien pour moi, c’est que l’Italie est un pays pour lequel j’ai une grande tendresse, sur lequel j’ai déjà beaucoup travaillé par le passé, en particulier avec la série Giacomo C. chez Glénat. Donc je me suis retrouvé très vite en terrain d’entente sur une ville dont on ne finira jamais de parler, de même qu’il est bon d’y retourner maintes fois. Il s’agissait de Venise, de raconter d’autres choses sur Venise : un autre univers, un univers de dégénérescence qui me correspondait et correspondait parfaitement à Serpieri. Donc c’était un terrain d’entente parfait.
L’autre terrain sur lequel il fallait discuter dès le départ, c’est la place de la sensualité et de l’érotisme dans l’histoire, parce que je ne voulais surtout pas faire du Druuna, et c’était également le but de Serpieri : on s’est bien entendu là aussi."
http://www.actuabd.com/spip.php?article5582
voici un extrait :
"On retrouve dans Les Enfers plusieurs thématiques récurrentes dans votre œuvre : les liens du sang, la soif de pouvoir… mais aussi les thèmes de prédilection de Paolo Serpieri : l’oppression exercée par l’Église, par un pouvoir dictatorial, la dégénérescence d’une société… Comment vos univers se sont-ils rencontrés, et qu’est-ce que cette rencontre vous a apporté ?
Jean Dufaux : D’abord, il faut une rencontre : dans un métier où l’écriture est d’abord une écriture de collaboration, et où elle passe par l’image, il est essentiel de sentir l’imaginaire de la personne en face de vous. Parfois ça fonctionne, parfois non, et ça n’a rien à voir avec le talent : quelqu’un peut avoir un talent énorme, et vous ne sentez pas d’accroche. Il y avait beaucoup de choses que j’appréciais graphiquement dans Druuna, le personnage me semblait intéressant, mais je n’avais pas de projet tout prêt pour autant. Je n’ai rien dans les tiroirs, et quand je rencontre un dessinateur, ça doit être pour moi un terrain vierge. Je vais le rencontrer, l’écouter, voir si nous pouvons trouver un terrain d’entente – dans tous les sens du terme : géographique, politique, graphique… Quand ça fonctionne bien, et qu’on a affaire à un vrai professionnel, ça peut aller très vite.
Avec Serpieri, ce qui tombait très bien pour moi, c’est que l’Italie est un pays pour lequel j’ai une grande tendresse, sur lequel j’ai déjà beaucoup travaillé par le passé, en particulier avec la série Giacomo C. chez Glénat. Donc je me suis retrouvé très vite en terrain d’entente sur une ville dont on ne finira jamais de parler, de même qu’il est bon d’y retourner maintes fois. Il s’agissait de Venise, de raconter d’autres choses sur Venise : un autre univers, un univers de dégénérescence qui me correspondait et correspondait parfaitement à Serpieri. Donc c’était un terrain d’entente parfait.
L’autre terrain sur lequel il fallait discuter dès le départ, c’est la place de la sensualité et de l’érotisme dans l’histoire, parce que je ne voulais surtout pas faire du Druuna, et c’était également le but de Serpieri : on s’est bien entendu là aussi."
http://www.actuabd.com/spip.php?article5582
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
-
- Administrateur - Site Admin
- Messages : 14744
- Enregistré le : jeu. déc. 15, 2005 4:12 pm
- Localisation : Chambéry
Un article du Monde sur la collection BD de Robert Laffont
Le monde a consacré un article à la collection Robert Laffont. On y apprend que le budget est de 600 000 euros et que le premier album, Les Enfers, sorti le 6 septembre est tiré à 50 000 exemplaires. L'éditeur compte publier une douzaine de titres par an.
L'article : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 566,0.html
L'article : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 566,0.html
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
- Roland C. Wagner
- Messages : 3588
- Enregistré le : jeu. mars 23, 2006 11:47 am