
Pas de souci, Draco.
Evidemment qu'on ne choisit plus, de nos jours, entre la vie de la mère ou celle du bébé (ou dans de rares et dramatiques exceptions), et c'est tant mieux ! Mais je le rappelle, c'est une fiction. Et personne n'est dupe, à part peut-être des femmes dans des situations particulières qui n'avaient de toute façon pas besoin de Twilight pour vivre comme elles le font, par choix, par contrainte ou par ignorance (sisi, ça existe encore).
De toute façon, si c'est le devenir des jeunes filles qui lisent Twilight qui t'inquiète, alors dis toi que si elles redeviennent des Cosettes, alors ce ne sera pas la faute de ce livre car rien ne vaut l'accompagnement des enfants par le dialogue dans le développement de leur esprit et de l'apprentissage des codes sociaux, histoire d'être certain(es) qu'ils ne deviennent pas de futurs dictateurs (-trices), psychopathes, ou moux (molles) du cerveau, ou simplement macho ou son homologue féminin (moi, je suis pour l'équilibre et non la supériorité d'un sexe sur l'autre), et si ça n'est pas fait, alors, de toute manière, Twilight ou pas, ça serait arrivé.
Je pense simplement que vous accordez trop de crédit et de messages sous-jacent à une simple fiction de divertissement pour adolescents et jeunes adultes. Que ça soit écrit par une mormone ou non. De toute façon, quoi qu'elle ait écrit, elle aurait été critiquée rien que par son appartenance religieuse, je me trompe ? Lançons lui des pierres, bordel ! Et brulons-la, tiens. C'est la crise, faut trouver des sources d'énergies pour chauffer l'Elysée à moindre coût... (ouais, moi aussi je suis fatiguée)
Je vais te dire : l'esprit critique, ok, le mauvais esprit de temps en temps, ça passe, mais le mauvais esprit systématique, c'est dommage
