Amazon propose l'exclusivité aux auteurs.
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Amazon propose l'exclusivité aux auteurs.
Amazon veut proposer l'exclusivité aux auteurs sur leurs nouveaux titres...
A lire, l'article d'Actualitté.
Extrait :
"En échange d'une indemnisation encore floue, l'auteur indépendant accepte donc de proposer durant 90 jours son livre, uniquement sur Amazon. Et il doit alors obligatoirement les retirer de tout autre ebookstore concurrent. Pour l'heure, le cybermarchand a constitué un fond de 500.000 $ mais il s'élèvera à 6 millions $ fin 2012. Des chiffres séduisants, alléchants, même, mais qui cachent à peine la volonté hégémonique du marchand. "
A lire, l'article d'Actualitté.
Extrait :
"En échange d'une indemnisation encore floue, l'auteur indépendant accepte donc de proposer durant 90 jours son livre, uniquement sur Amazon. Et il doit alors obligatoirement les retirer de tout autre ebookstore concurrent. Pour l'heure, le cybermarchand a constitué un fond de 500.000 $ mais il s'élèvera à 6 millions $ fin 2012. Des chiffres séduisants, alléchants, même, mais qui cachent à peine la volonté hégémonique du marchand. "
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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- dracosolis
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Non, draco.
Cette clause d'exclusivité concerne le programme de prêt. Amazon essaie de mettre en place une solution pour le prêt de livres numériques. Mais ce prêt n'est pas à partir de la totalité de l'offre d'Amazon, mais sur un nombre restreint d'oeuvres. On peut emprunter un ouvrage (pour une somme forfaitaire) le rendre, en emprunter un autre, etc. Autant qu'on veut.
Ca n'a rien à voir avec la vente de livres numériques.
Cette clause d'exclusivité concerne le programme de prêt. Amazon essaie de mettre en place une solution pour le prêt de livres numériques. Mais ce prêt n'est pas à partir de la totalité de l'offre d'Amazon, mais sur un nombre restreint d'oeuvres. On peut emprunter un ouvrage (pour une somme forfaitaire) le rendre, en emprunter un autre, etc. Autant qu'on veut.
Ca n'a rien à voir avec la vente de livres numériques.
"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
http://melkine.wordpress.com/
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- dracosolis
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ah j'ai mal lu tu dis?Erion a écrit :Non, draco.
Cette clause d'exclusivité concerne le programme de prêt. Amazon essaie de mettre en place une solution pour le prêt de livres numériques. Mais ce prêt n'est pas à partir de la totalité de l'offre d'Amazon, mais sur un nombre restreint d'oeuvres. On peut emprunter un ouvrage (pour une somme forfaitaire) le rendre, en emprunter un autre, etc. Autant qu'on veut.
Ca n'a rien à voir avec la vente de livres numériques.
je re
- dracosolis
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Alors, après avoir réfléchi un temps, je suis partagé sur le résultat.
En gros, Amazon essaie de trouver un moyen de créer une solution pour le prêt de livre numérique. Ce que l'article suggère, c'est qu'ils veulent investir pour mettre en avant les titres qui participeront à ce programme de prêt.
Après, j'imagine que l'objectif est de favoriser la plateforme Kindle quand l'ouvrage aura fini sa période de 90j de prêt et sera de nouveau en vente.
Du coup, on peut comprendre qu'Amazon ne souhaite pas que la publicité pour ces titres (et, détail qui a son importance, ce programme de prêt est gratuit, contrairement à ce que j'ai dit dans le message précédent. Par conséquent, les lecteurs ne paieront rien à Amazon) servent en fait à vendre les ouvrages sur d'autres plateformes.
Alors certes, il s'agit d'expérimentation et il faut être attentif à l'investissement réel d'Amazon pour la promotion des auteurs, mais c'est complexe.
En gros, Amazon essaie de trouver un moyen de créer une solution pour le prêt de livre numérique. Ce que l'article suggère, c'est qu'ils veulent investir pour mettre en avant les titres qui participeront à ce programme de prêt.
Après, j'imagine que l'objectif est de favoriser la plateforme Kindle quand l'ouvrage aura fini sa période de 90j de prêt et sera de nouveau en vente.
Du coup, on peut comprendre qu'Amazon ne souhaite pas que la publicité pour ces titres (et, détail qui a son importance, ce programme de prêt est gratuit, contrairement à ce que j'ai dit dans le message précédent. Par conséquent, les lecteurs ne paieront rien à Amazon) servent en fait à vendre les ouvrages sur d'autres plateformes.
Alors certes, il s'agit d'expérimentation et il faut être attentif à l'investissement réel d'Amazon pour la promotion des auteurs, mais c'est complexe.
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