c'est des démarcheurs à domicile machistesPontiac a écrit :En quelques phrases : que sont les Démarchistes, dans le cycle des Inhibiteurs de Reynolds ?
3615 Nos lifes à nous
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Sur le coup j'ai lu "les baffes suivront"... ce qui m'a paru un peu excessif.Aldaran a écrit :Si tu as de la chance, tes baffles survivront... Je ne l'ai pas eu, moi.Sylvaner a écrit :Aujourd'hui, c'était le premier anniversaire de ma fille de 4 ans.
C'est marrant aujourd'hui, mais j'imagine que dans 12 ans elle va nous saccager la maison avec une fiesta de 40 personnes...
Quoique en fait, ça dépend à quel point tu tenais à tes baffles...

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"Il aura fallu des millions d'années à l'espèce humaine pour descendre des arbres et seulement dix de plus pour se mettre en vitrine." R. Powers
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- Soslan
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Rêve un brin mégalo cette nuit, où grâce à de mystérieux pouvoirs je faisais surgir de terre une gigantesque bibliothèque, un immense bâtiment de vieille pierre contenant des millions de livres, mais dont aucun n'était classé, donnant du fil à retordre à d'immenses équipes de bibliothécaire dans lesquelles je me coulais plus discrètement et modestement (je me chargeais notamment, sans surprise, d'un rayon mythologie, en établissant le classement par pays et continents de ma bibli personnelle, bien entendu totalement fantaisiste dans une bibli publique normale).
Malgré cette image de labeur assez gentille et édulcorée (surtout face à la tâche impossible que ce serait dans la réalité), l’émersion du bâtiment était visiblement une occasion festive, de nombreuses activités s'y déroulait, dont un concert de The Gathering avec la grande Anneke (comment qu'j'ai viré la nouvelle chanteuse de mon rêve moi, et pourtant je l'apprécie aussi), pour lequel un ami et moi attendions que se termine une rencontre avec les fans qui, dans ce monde onirique, s'appelait un fanor.
Malgré cette image de labeur assez gentille et édulcorée (surtout face à la tâche impossible que ce serait dans la réalité), l’émersion du bâtiment était visiblement une occasion festive, de nombreuses activités s'y déroulait, dont un concert de The Gathering avec la grande Anneke (comment qu'j'ai viré la nouvelle chanteuse de mon rêve moi, et pourtant je l'apprécie aussi), pour lequel un ami et moi attendions que se termine une rencontre avec les fans qui, dans ce monde onirique, s'appelait un fanor.
"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
http://karelia.over-blog.com/
Et pour ne pas faire que ma propre promo :
http://musardises.moonfruit.fr/
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- Soslan
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Je reviens de Lille où je suis allé réserver aux Quatre Chemins l'omnibus du Cycle de Mars de Burroughs ainsi qu'Armagedon Ragg.
En passant par une rue à laquelle je suis habitué, j'ai remarqué pour la première fois qu'un restaurant japonais s'appelait le Yamato...Oncle Joe, si tu passe à Lille un jour.
En passant par une rue à laquelle je suis habitué, j'ai remarqué pour la première fois qu'un restaurant japonais s'appelait le Yamato...Oncle Joe, si tu passe à Lille un jour.
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Tiens, à propos de rêve, j'en ai fait un amusant la nuit dernière, où j'achetais des livres rares à... Jacques Bergier!
Au moment de payer, je me rends compte que j'ai oublié mon chéquier. Alors, Bergier sort un chéquier à l'air un peu usé, sur lequel il ne reste qu'un chèque, et c'est un chéquier à mon nom... Je trouve ça un peu étonnant, mais sans plus (je parle de mon attitude dans le rêve...).
Oncle Joe
Au moment de payer, je me rends compte que j'ai oublié mon chéquier. Alors, Bergier sort un chéquier à l'air un peu usé, sur lequel il ne reste qu'un chèque, et c'est un chéquier à mon nom... Je trouve ça un peu étonnant, mais sans plus (je parle de mon attitude dans le rêve...).
Oncle Joe
Alors en fait, à chaque fois que j'assiste à une manifestation poétique :
- j'ai l'impression d'avoir la sensibilité d'un bloc de granit ;
- je constate amusé que l'auteur d'expérience indique subtilement au public la fin de son poème, parce que sinon, on ne devinerait pas ;
- la faune est rigolote, on voit rarement des sexagénaires propres sur eux côtoyer des punks odorants ;
- je me dis que le vers libre, quand même, ça ne bat pas l'alexandrin.
- j'ai l'impression d'avoir la sensibilité d'un bloc de granit ;
- je constate amusé que l'auteur d'expérience indique subtilement au public la fin de son poème, parce que sinon, on ne devinerait pas ;
- la faune est rigolote, on voit rarement des sexagénaires propres sur eux côtoyer des punks odorants ;
- je me dis que le vers libre, quand même, ça ne bat pas l'alexandrin.
- dracosolis
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l'alexandrinOmnibus a écrit :;
- je me dis que le vers libre, quand même, ça ne bat pas l'alexandrin.
Et aussi, rien n'est plus efficace qu'un sonnet (sauf peut-être, parfois, une autre forme fixe de longueur similaire).Omnibus a écrit : - je me dis que le vers libre, quand même, ça ne bat pas l'alexandrin.
"Oph n'est pas un lézard, mais elle présente d'autres atouts."
– Laurent Whale & Jean Millemann
eul' crédit photo !
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C'est assez transparent : tu sais quelle est ta dette envers Bergier, mais tu sais aussi que tout ce que tu as fait, c'était pour lui.Lensman a écrit :Tiens, à propos de rêve, j'en ai fait un amusant la nuit dernière, où j'achetais des livres rares à... Jacques Bergier!
Au moment de payer, je me rends compte que j'ai oublié mon chéquier. Alors, Bergier sort un chéquier à l'air un peu usé, sur lequel il ne reste qu'un chèque, et c'est un chéquier à mon nom... Je trouve ça un peu étonnant, mais sans plus (je parle de mon attitude dans le rêve...).
Oncle Joe
Ce dont on ne peut parler, il faut le faire.
- dracosolis
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