Nouvelle bande-annonce de Prometheus
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Lisore
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Bon, Studio Cinélive n'a pas aimé (attention aux spoilers).
Le coup des origines ET de l'Humanité m'avait déjà un poil refroidie, mais à la lecture de cette opinion (partiale, certes), j'ai un peu peur.
Un amateur de SF ciné veut-il bien se dévouer comme éclaireur ?
Le coup des origines ET de l'Humanité m'avait déjà un poil refroidie, mais à la lecture de cette opinion (partiale, certes), j'ai un peu peur.
Un amateur de SF ciné veut-il bien se dévouer comme éclaireur ?
...!
J'avoue ne nullement me placer comme "fan d'Alien", dans mon attente vis à vis de ce nouveau film ( même si j'aprécie beaucoup Alien), mais comme amateur de SF qui aimerait voir, un jour, un space op un peu intellectuel (sic) au cinéma. Il me semblait que ce réalisateur pourrait être l'homme de la situation... J'avoue que, après la lecture de ce compte rendu détaillé, je suis inquiet... très inquiet...
Une ou deux critiques désabusées de plus, et je ne nourirai plus la moindre illusion, ce qui fait qu'aussi bien, j'aurai une bonne surprise en voyant le film !
Oncle Joe
Une ou deux critiques désabusées de plus, et je ne nourirai plus la moindre illusion, ce qui fait qu'aussi bien, j'aurai une bonne surprise en voyant le film !
Oncle Joe
Je crois que l'auteur attendait ce film comme étant une vraie préquelle. Mais c'est un univers originale. Et il y a quand même pas mal d'action et d'angoisses. La fin est ouverte. C'est quand même pas mal. On ne s'ennuie jamais.Lisore a écrit :Bon, Studio Cinélive n'a pas aimé (attention aux spoilers).
Le coup des origines ET de l'Humanité m'avait déjà un poil refroidie, mais à la lecture de cette opinion (partiale, certes), j'ai un peu peur.
Un amateur de SF ciné veut-il bien se dévouer comme éclaireur ?
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bormandg
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Si vous arrivez à charger la page sans le pop-up, la critique de Libération est pour le moins équilibrée et sans avis définitif (lue sur papier).
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Je ne sais pas ce que c'est qu'un "pop-up" dans ce contexte (pour moi, c'est un livre d'enfant avec des pages faites de découpages qui se déplient quand on ouvre... c'est dire) !
En revanche, j'ai accès à la critique en cliquant, effectivement! Intéressant, dans la mesure où c'est encore une critique mi figue, mi raisin... tout n'est pas perdu, et rien n'est complètement gagné : c'est peut-être bon !
Oncle Joe
En revanche, j'ai accès à la critique en cliquant, effectivement! Intéressant, dans la mesure où c'est encore une critique mi figue, mi raisin... tout n'est pas perdu, et rien n'est complètement gagné : c'est peut-être bon !
Oncle Joe
Histoire de s'amuser.
Le Prometheus atterrit à proximité d'un groupe de structures manifestement artificielles (Nasca hype ++). A peine démoulés de leur cuve, les explorateurs se ruent à l'intérieur de la plus proche sans prendre aucune précaution. Décor de ruines cyclopéennes, mais les installations fonctionnent encore (Martin le robot a potassé le mode d'emploi pendant le voyage). Ils découvrent des cadavres E-T, chourent une tête étonnement bien conservée pendant que Martin escamote un récipient contenant un liquide mutagène.
De retour au vaisseau à cause d'une tempête mégamaousse, la tête est ressuscitée. Pas de bol, elle éclate à cause du mutagène qui l'avait contaminée. Tout cela fleure bon l'apprenti sorcier tué par son ADM (impression confirmée par la suite). Qu'à cela ne tienne, Martin - le fourbe - teste le mutagène sur un membre de l'équipe, le mari de l'héroïne. Il se transforme en truc méchant, mais avant d'être devenu un remède contre l'amour, il a eu le temps de pondre dans le ventre de son épouse avec son bip ! un bébé alien. (Je passe les détails). Martin tente de la mettre en hibernation, elle se sauve, bondit dans un auto-médic, se fait faire une césarienne à vif (le bougre pousse vite dans son ventre), accouche d'un poulpe, se fait agrafer et part faire un footing dans le couloir en criant.
Entretemps, le big boss, celui qui a financé l'expédition, a été réveillé. Il est vieux, mourant et souhaite rencontrer un E-T, histoire de voir s'il peut lui refiler l'immortalité. ça tombe bien, Martin vient d'en découvrir un faisant dodo dans son vaisseau. Hop ! L'héroïne (qui a arrêté de crier et de courir), le vieux, Martin et deux sbires vont réveiller l'E-T pour The first contact. Pas de bol, le maousse est pas content, il arrache la tête à Martin, massacre le vieux et sa fine équipe, sauf l'héroïne qui repart en criant avec ses agrafes. Puis, il démarre son vaisseau, les soutes pleines de poison qui tue, direction la Terre.
L'héroïne qui désormais saute et court, averti le Prometheus de la menace - c'est la fin du monde ! Le capitaine, conformément à la longue tradition oubliée par le Costa Concordia, n'abandonne pas le navire. Il se kamikaze sur l'astronef E-T. Boum ! Le truc - un machin énorme genre croissant - retombe comme par hasard sur l'héroïne et la fifille du vieux qui meurt écrasée comme une merde.
Heureusement, le Prometheus a éjecté sa capsule de secours. L'héroïne a cours d'oxygène - normal, à force de courir, sauter et crier, aïe mes agrafes - se dit qu'elle va pouvoir rentrer sur Terre avec plein de trucs à raconter. Pas de chance, son bébé l'alien poulpeux l'attend dans l'auto-médic. Il a grossi et il est pas content. Mais l'E-T qui n'est pas mort dans le crash, surgit avec l'intention de lui faire la peau. Elle ouvre la porte à l'alien qui chie dans le ventre de l'E-T un neuf. (pfff ! Faut que je souffle).
Là-dessus, la tête de Martin l'appelle en lui disant qu'il y a d'autres vaisseaux E-T et qu'il est le seul à pouvoir les piloter. Je vous dépose où madame ? Pas chez moi, chez les E-T parce que je souhaite savoir pourquoi ils veulent nous exterminer après nous avoir créé. To be continued...
(Pfff ! Tout ce voyage pour avoir la réponse à cette question alors qu'il suffit de regarder Plus belle la vie pour comprendre)
Le Prometheus atterrit à proximité d'un groupe de structures manifestement artificielles (Nasca hype ++). A peine démoulés de leur cuve, les explorateurs se ruent à l'intérieur de la plus proche sans prendre aucune précaution. Décor de ruines cyclopéennes, mais les installations fonctionnent encore (Martin le robot a potassé le mode d'emploi pendant le voyage). Ils découvrent des cadavres E-T, chourent une tête étonnement bien conservée pendant que Martin escamote un récipient contenant un liquide mutagène.
De retour au vaisseau à cause d'une tempête mégamaousse, la tête est ressuscitée. Pas de bol, elle éclate à cause du mutagène qui l'avait contaminée. Tout cela fleure bon l'apprenti sorcier tué par son ADM (impression confirmée par la suite). Qu'à cela ne tienne, Martin - le fourbe - teste le mutagène sur un membre de l'équipe, le mari de l'héroïne. Il se transforme en truc méchant, mais avant d'être devenu un remède contre l'amour, il a eu le temps de pondre dans le ventre de son épouse avec son bip ! un bébé alien. (Je passe les détails). Martin tente de la mettre en hibernation, elle se sauve, bondit dans un auto-médic, se fait faire une césarienne à vif (le bougre pousse vite dans son ventre), accouche d'un poulpe, se fait agrafer et part faire un footing dans le couloir en criant.
Entretemps, le big boss, celui qui a financé l'expédition, a été réveillé. Il est vieux, mourant et souhaite rencontrer un E-T, histoire de voir s'il peut lui refiler l'immortalité. ça tombe bien, Martin vient d'en découvrir un faisant dodo dans son vaisseau. Hop ! L'héroïne (qui a arrêté de crier et de courir), le vieux, Martin et deux sbires vont réveiller l'E-T pour The first contact. Pas de bol, le maousse est pas content, il arrache la tête à Martin, massacre le vieux et sa fine équipe, sauf l'héroïne qui repart en criant avec ses agrafes. Puis, il démarre son vaisseau, les soutes pleines de poison qui tue, direction la Terre.
L'héroïne qui désormais saute et court, averti le Prometheus de la menace - c'est la fin du monde ! Le capitaine, conformément à la longue tradition oubliée par le Costa Concordia, n'abandonne pas le navire. Il se kamikaze sur l'astronef E-T. Boum ! Le truc - un machin énorme genre croissant - retombe comme par hasard sur l'héroïne et la fifille du vieux qui meurt écrasée comme une merde.
Heureusement, le Prometheus a éjecté sa capsule de secours. L'héroïne a cours d'oxygène - normal, à force de courir, sauter et crier, aïe mes agrafes - se dit qu'elle va pouvoir rentrer sur Terre avec plein de trucs à raconter. Pas de chance, son bébé l'alien poulpeux l'attend dans l'auto-médic. Il a grossi et il est pas content. Mais l'E-T qui n'est pas mort dans le crash, surgit avec l'intention de lui faire la peau. Elle ouvre la porte à l'alien qui chie dans le ventre de l'E-T un neuf. (pfff ! Faut que je souffle).
Là-dessus, la tête de Martin l'appelle en lui disant qu'il y a d'autres vaisseaux E-T et qu'il est le seul à pouvoir les piloter. Je vous dépose où madame ? Pas chez moi, chez les E-T parce que je souhaite savoir pourquoi ils veulent nous exterminer après nous avoir créé. To be continued...
(Pfff ! Tout ce voyage pour avoir la réponse à cette question alors qu'il suffit de regarder Plus belle la vie pour comprendre)
Modifié en dernier par kibu le jeu. mai 31, 2012 1:25 pm, modifié 1 fois.
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bormandg
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Je comprends qu'un journaliste parle de "grande SF": dans sa bouche cela veut dire "grande stupidité". On s'en serait douté. 
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."