je suis étonné (et il n'y a pas de sarcasme)Sylvaner a écrit :Pour ma part, je suis sensible à l'argument d'Erion, autour duquel je tournais sans le trouver : finalement less is more, et un livre "augmenté" pourrait aboutir à la même frustration qu'un jeu vidéo avec les cheat codes activés : même si on décide de ne pas s'en servir, la tentation de le faire juste une fois ou deux serait forte et pourrait gâcher le plaisir.
je n'ai jamais parlé de "livre augmenté" au sens que tu lui donnes ou qu'Erion a développé (i.e. un livre offrant au lecteur d'autres expériences offertes par l'auteur ou par tout autre créateur)
j'ai uniquement (relisez moi) parlé de "livre numérique" pour lequel l'éditeur pourrait profiter du support pour embarquer des services, dont des éléments d'offres mettant en avant les autres œuvres de l'auteur ou d'autres œuvres de son catalogue
Jean-Claude a raison : Apple ou Google ou Amazon ne vont pas offrir ce type de service puisque ce ne sont pas des éditeurs (au sens classique et franco-français du terme) mais uniquement des gestionnaires de flux (le risque du virus étant un faux problème alors que celui du lien sur la concurrence en est un vrai)
mais, si les éditeurs sont persuadés qu'ils n'ont rien besoin d'offrir de mieux que les 3 précités, ils ont forcément raison...