3615 Nos lifes à nous

[bormandg]

Facebook s'y est mal pris avec moi, avec ses formulations à la c... quand j'ai enfin trouvé (et pas grâce à son ergonomie délirante !) comment il faut faire pour se déconnecter... je suis susceptible sur certains trucs... ce machin n'a pas besoin de ma clientèle, et il n'est pas près de me revoir !

bon je reviendrai à la charge plus tard^^

On peut voter ?
...

tu connais la différence entre un terroriste et moi ?

Elle est évidente:
e
donc tu es un logarithme naturel.

Au voleur! C'est moi qui porte le badge e aux conventions (je revendique d'être un fan transcendant.
Plus une grave faute de maths: e est la base des logarithmes, pas le résultat!

[Sylvaner]

Au voleur!

[Lensman]

Soleil magnifique, café, le matin dans sa perfection (bon, thé pour quelques-uns, soyons magnanime !)

Oncle Joe

[Fabien Lyraud]

Je reviens de la biennale de la peinture contemporaine avec comme d'habitude beaucoup de peintres du fantastiques dont certains qui sont connus dans notre petit milieu ( Michel Barthélémy ou Séverine Pineau). Un vrai régal pour les yeux.
C'est à St Léonard de Noblat en Haute Vienne.

[Lensman]

Deux brocantes parisiennes ce matin…
- 2 CDs classiques (Cantelli dirige des ouvertures de Wagner - dont mon obsessionnelle ouverture de Rienzi - et Toscanini dirige Berlioz: notamment Harold en Italie)
- le n°1 de Planète dans la tentative de relancer la revue fin 71, dans un grand format (il y a eu trois numéros seulement). Belle iconographie, une nouvelle fantastique de Langelaan, La sorcière du moulin, illustrée par Clayette (tout de même…). J'ai déjà les trois numéros, mais celui-là intéressera sûrement un ami.
- Schtroumpf/Les Cahiers de la BD n°37 et 42, consacrés à Jean-Michel Charlier et Druillet. L'iconographie du Druillet est étonnante, avec des photographies de l'artiste jeune homme.
- Science Fiction Art, illustrations Chris Foss, Introduction Brian Aldiss (1976), superbe album anglais grand format avec les compositions de Foss pleine page (presque un portfolio). J'ai rajeuni de 36 ans pour 10 euros !
- 10 BDs petits formats SF Big Boss, Main d'acier (j'adorais ça, gamin, et j'aime toujours…), etc.
- Et un livre sérieux: Comics: Anatomy of a Mass Medium, par Reinhold Reitberger & Wolfgang Fuchs (Londres, Studio Vista, 1972).Intéressamment (je n'ai pas envie d'écrire "De manière intéressante", et je n'arrive pas à trouver l'adverbe approprié en français), c'est un essai traduit de l'allemand: COMICS Anatomie eines Massenmediums (1971). La traduction du titre semble raisonnablement fidèle, et ce type d'essai ne devait pas être si courant à l'époque (et en Allemagne!).Il se présente comme un album souple grand format, avec une belle iconographie.

Vive Paris !

Oncle Joe

[bormandg]

La brocante où je suis allé manquait vraiment de SF sauf en BD: Caza (Scènes de la vie de banlieue, et ne me dites pas que ce n'est pas de la SF, Fantask (super-héros donc F), Fantôme du Bengale et Mandrake....
(il y en avait beaucoup d'autres, mais trop chers ou déjà possédés....)

[Eons]

[quote="bormandg"ou déjà possédés....[/quote]Diable !

[bormandg]

ou déjà possédés....

Diable !

On dit Diantre! si on respecte les prescriptions de l'abbé Cotton.

[Lensman]

ou déjà possédés....

Diable !

On dit Diantre! si on respecte les prescriptions de l'abbé Cotton.

Balance ! (blague uniquement compréhensible par les physiciens).

Oncle Joe

[bormandg]

ou déjà possédés....

Diable !

On dit Diantre! si on respecte les prescriptions de l'abbé Cotton.

Balance ! (blague uniquement compréhensible par les physiciens).

Oncle Joe

Mon pote Paulo l'interpréterait comme une insulte.

[Lensman]

Encore du soleil ce matin ! On est gâté ! Un peu de café et au travail!

Oncle Joe

[Soslan]

De retour de la projo, écourtée en ce qui me concerne, de Laurence Anyways de Xavier Dolan. Le thème m'intéressait mais la mise en scène branchouille formatée pour le festoche de Cannes (cette insupportable shaky cam !), m'a découragé au bout d'une heure, je n'aurais jamais tenu les 2h40 que dure le métrage. Dommage, Melvil Poupaud était convaincant et j'ai eu le temps de voir une ou deux séquences magnifiques (le regard des autres vu en caméra subjective par le personnage principal transsexuel, bien plus saisissant quand le motif se répète sans le kitsh volontaire -et insupportable aussi tout le long du film- qui l'accompagne au générique).

[Eons]

(cette insupportable shaky cam !)

Je ne comprends pas non plus cette mode, c'est en effet insupportable. En général, je lâche au bout d'1/4 d'heure maxi (et encore : si j'attends aussi longtemps, c'est juste dans l'espoir que ça va devenir "normal" rapidement, sinon c'est 3 mn, pas plus).

[Lensman]

J'ai aussi du mal avec cette manière de filmer, quand ça s'éternise…

Le matin est nettement moins ensoleillé qu'hier. Travail.

Oncle Joe

[Soslan]

(cette insupportable shaky cam !)

Je ne comprends pas non plus cette mode, c'est en effet insupportable. En général, je lâche au bout d'1/4 d'heure maxi (et encore : si j'attends aussi longtemps, c'est juste dans l'espoir que ça va devenir "normal" rapidement, sinon c'est 3 mn, pas plus).

J'arrive quand même à le tolérer dans certains cas particuliers, comme dans le cas des films de von Trier en me disant c'est l'un des fondateurs de cette méthode (et donc, ça ne m'a pas gêné dans Melancholia) ou dans C'est arrivé près de chez vous où ce procédé est inséparable de l'intrigue et du prétexte "faux documentaire", et est également précurseur.
C'est un peu comme un énième rocker qui casse sa guitare pour faire comme Cobain : c'était excitant il y a vingt ans, maintenant c'est tellement répété ad nauseam pour des raisons artistiques devenues fallacieuses (masquer ses carences de mises en scène sous prétexte de faire "auteur") aussi bien dans les films d'auteur branchouilles que dans les blockbuster décérébré, que la méthode a perdu tout impact autre qu'énervant.