3615 Nos lifes à nous
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- Vladkergan
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Un exploit très rare que ce type d'atterrissage (réussi...) à la verticale d'une fusée! Scène pourtant commune en littérature, BD, et film de SF des années héroïques...
http://www.youtube.com/watch?v=Zz-NYeH- ... e=youtu.be
Oncle Joe
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Oncle Joe
- Soslan
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Petit déj' de gaufres du Nord au café et à la chicorée. Je mettrais bien les Blaireaux en bande sonore, histoire de faire cliché.
"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
http://karelia.over-blog.com/
Et pour ne pas faire que ma propre promo :
http://musardises.moonfruit.fr/
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- bormandg
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Deux apocalypses hier soir au Forum. D'abord, l'insupportable (c'et le deuxième film de Haneke que je m'inflige, et je ne suis pas assez masochiste pour réessayer une troisième fois) "Temps du loup" dont les personnages subissent presque passivement la cruauté du scénariste jusuq'à la non-fin. Puis l'invraisemblable périple trans-américain (de la Pennsylvanie à la Floride en passant par l'Orégon!) de La Route. A travers un pays presque désert et sans nourriture, mais ils survivent quand même et échappent de façon totalement impossible aux mauvaises rencontres. Seule horreur attendue et évitée: le discours religieux qui semble vraiment limité à un "Dieu nous a oubliés" (s'ils avaient en plus ajouté "Quelle chance", ils auraient bien fait).
Double dose de café pour me remettre.
Double dose de café pour me remettre.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
- Soslan
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Fini mes trois Lone Sloane : Les 6 voyages..., Delirirus, et le plus faible mais néanmoins intéressant Delirius 2 (où le graphisme relève la tête d'une façon hallucinante, des planches ratées du début à l'impressionnante série de pleines pages/doubles pages) .
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Tout à fait le même avis que toi: j'avais été un peu déçu quand Delirius était paru en feuilleton dans Pilote. Ensuite, ça rebondit. Druillet est inégal, mais quelle force!Soslan a écrit :Fini mes trois Lone Sloane : Les 6 voyages..., Delirirus, et le plus faible mais néanmoins intéressant Delirius 2 (où le graphisme relève la tête d'une façon hallucinante, des planches ratées du début à l'impressionnante série de pleines pages/doubles pages) .
Les 6 voyages restent pour moi un grand chef-d'oeuvre de la BD. Après, il y a des tas d'illustrations isolées de Druillet qui sont des trucs formidables.
Oncle Joe
- Soslan
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Hum, je crois qu'on ne parle pas de la même oeuvre, il me semble que Delirius 2 n'est pas paru dans Pilote, contrairement au premier du nom, qu'il est paru en ce début de décennie 2010 après plus de vingt ans de gestation entrecoupée d'épisodes douloureux.Lensman a écrit :Tout à fait le même avis que toi: j'avais été un peu déçu quand Delirius était paru en feuilleton dans Pilote. Ensuite, ça rebondit. Druillet est inégal, mais quelle force!Soslan a écrit :Fini mes trois Lone Sloane : Les 6 voyages..., Delirirus, et le plus faible mais néanmoins intéressant Delirius 2 (où le graphisme relève la tête d'une façon hallucinante, des planches ratées du début à l'impressionnante série de pleines pages/doubles pages) .
Les 6 voyages restent pour moi un grand chef-d'oeuvre de la BD. Après, il y a des tas d'illustrations isolées de Druillet qui sont des trucs formidables.
Oncle Joe
Là, je viens d'acheter et de lire les deux tomes qui me manquaient (il n'y en a bien que cinq, hors Salammbô ?), Gaïl et Chaos. A l'inverse de ce qui s'est passé pour Delirius 2, que je croyais le suite directe du feuilleton classique paru dans Pilote, là je m'étais figuré un peu absurdement, sans raison, qu'il s'agissait de tomes mineurs de la série. J'avais tort, bien sûr...quelle splendeur !
Pour mes futurs achats BD, quand les cieux pécuniaires seront plus clément, j'hésite encore à faire l'acquisition de la version remaniée de L'Ombre d'un Homme de Peeters et Schuiten (cycle des Cités Obscures). Quelqu'un aurait-il lu les deux versions et aurait-il un avis argumenté (zut, un troll) sur laquelle qu'elle est la mieux ?
"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
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Pour Lone Sloane il y en a un autre après Chaos avec Serge Lehman en co scénariste. Je n'ai jamais réussi à le trouver.
Bienvenu chez Pulp Factory :
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Le blog impertinent des littératures de l'imaginaire :
http://propos-iconoclastes.blogspot.com
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Personne ne parle d'Yragael , pourtant , pour ma Pomme , ça reste un des sommets de Philippe Druillet .
Tiens , en fiche d'Histoire des arts , avec mes 4èmes , j'ai fait une étude comparée d' Escher et d'une des planches de Délirius en leur montrant comment l'usage de la perspective cavalière avec faux point-de-fuite amenait une illusion d'optique , d'une part , et comment seule l'apesanteur pouvait rendre certains délires graphique possibles d'autre part .
Tiens , en fiche d'Histoire des arts , avec mes 4èmes , j'ai fait une étude comparée d' Escher et d'une des planches de Délirius en leur montrant comment l'usage de la perspective cavalière avec faux point-de-fuite amenait une illusion d'optique , d'une part , et comment seule l'apesanteur pouvait rendre certains délires graphique possibles d'autre part .
"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"
Oui, Yragael, j'ai plus ma tête... je vais réviser mon Druillet (au départ, il y avait ces illustration pour Elric le Nécromancien (Opta, Aventures Fantastiques), ern noir & blanc, sublimes).Hoêl a écrit :Personne ne parle d'Yragael , pourtant , pour ma Pomme , ça reste un des sommets de Philippe Druillet .
Tiens , en fiche d'Histoire des arts , avec mes 4èmes , j'ai fait une étude comparée d' Escher et d'une des planches de Délirius en leur montrant comment l'usage de la perspective cavalière avec faux point-de-fuite amenait une illusion d'optique , d'une part , et comment seule l'apesanteur pouvait rendre certains délires graphique possibles d'autre part .
Je me souviens aussi de ce joli pont sur les étoiles que l'on voit dans Les voyages et qui est un hommage à une légendaire gravure de Granville.
http://www.mizzenmast.fr/2010/11/collection-gravures/
Tiens, Soslan, il faut que tu te fasse offrir des albums de gravures de Granville...
Oncle Joe
Et c'est effectivement le matin, avec du ciel bleu, la trainée blanche d'un avion qui passe… beau spectacle à savourer avec du café! L'air est transparent.
Des tas de chose à faire (ranger), à préparer (passage rituel de l'année, c'est bientôt), à lire... et la quête de la documentation, bien sûr..
Oncle Joe
Des tas de chose à faire (ranger), à préparer (passage rituel de l'année, c'est bientôt), à lire... et la quête de la documentation, bien sûr..
Oncle Joe
Ce matin, une tribune de l'écrivain Michel Erman à propos de la publication de "Du côté de chez Swann". Il rappelle que Proust a soumis son manuscrit chez Fasquelle et Gallimard et que tous ceux qui l'ont lu l'ont refusé et l'ont éreinté. Michel Ruyters jugeant que le roman était mal écrit, et Henri Ghéon y voyait "une oeuvre de loisir, le contraire d'une oeuvre d'art".
Tant et si bien que c'est en proposant un compte d'auteur que Proust réussit à se faire publier chez Grasset, ce dernier n'ayant pas lu une ligne du manuscrit. Je copie la conclusion de l'article :
"Il y a cent ans, les lecteurs du monde de l'édition ont refusé Proust. Pire, ils l'ont éreinté. C'est Bernard Grasset, un éditeur plus attentif aux règles comptables qu'aux réputations germanopratines qui lui a donné sa chance. Sans l'avoir lu. Pour peu, on se prendrait à croire que dans le domaine de la littérature, les vices privés font bien les vertus publiques..."
Tant et si bien que c'est en proposant un compte d'auteur que Proust réussit à se faire publier chez Grasset, ce dernier n'ayant pas lu une ligne du manuscrit. Je copie la conclusion de l'article :
"Il y a cent ans, les lecteurs du monde de l'édition ont refusé Proust. Pire, ils l'ont éreinté. C'est Bernard Grasset, un éditeur plus attentif aux règles comptables qu'aux réputations germanopratines qui lui a donné sa chance. Sans l'avoir lu. Pour peu, on se prendrait à croire que dans le domaine de la littérature, les vices privés font bien les vertus publiques..."
"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
http://melkine.wordpress.com/
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D'un autre côte, à titre perso, je n'ai toujours pas lu Proust, à part des extraits à l'école... et l'envie ne me vient toujours pas. Patience ! il y aura sûrement un déclic...Erion a écrit :Ce matin, une tribune de l'écrivain Michel Erman à propos de la publication de "Du côté de chez Swann". Il rappelle que Proust a soumis son manuscrit chez Fasquelle et Gallimard et que tous ceux qui l'ont lu l'ont refusé et l'ont éreinté. Michel Ruyters jugeant que le roman était mal écrit, et Henri Ghéon y voyait "une oeuvre de loisir, le contraire d'une oeuvre d'art".
Tant et si bien que c'est en proposant un compte d'auteur que Proust réussit à se faire publier chez Grasset, ce dernier n'ayant pas lu une ligne du manuscrit. Je copie la conclusion de l'article :
"Il y a cent ans, les lecteurs du monde de l'édition ont refusé Proust. Pire, ils l'ont éreinté. C'est Bernard Grasset, un éditeur plus attentif aux règles comptables qu'aux réputations germanopratines qui lui a donné sa chance. Sans l'avoir lu. Pour peu, on se prendrait à croire que dans le domaine de la littérature, les vices privés font bien les vertus publiques..."
Oncle Joe
Pas grave, "la culture, c'est surfait. On peut s'en passer."
Cela dit, je n'ai lu la "Recherche" que l'été dernier...
Cela dit, je n'ai lu la "Recherche" que l'été dernier...
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg