Kurt STEINER - Ortog et les ténèbres
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Eh ben...
Je voulais juste signaler que j'avais relu les Ortog depuis ma dernière intervention, et que trouvé-je ici... ? Bon, j'ai plus trop envie de partager mon ressenti, voire même le peu d'analyse dont je suis capable sur ce bouquin.
Bon, vais essayer de me procurer Le Disque rayé pour voir, jamais lu celui-là.
Je voulais juste signaler que j'avais relu les Ortog depuis ma dernière intervention, et que trouvé-je ici... ? Bon, j'ai plus trop envie de partager mon ressenti, voire même le peu d'analyse dont je suis capable sur ce bouquin.
Bon, vais essayer de me procurer Le Disque rayé pour voir, jamais lu celui-là.
Toi, tu as lu les critiques ciné de Bayon.MF a écrit : et que, comme il faut s'y attendre dans ces cas, la forme prend le pas sur le fond et que moi, pauvre lecteur, je ne sais plus que penser, n'ayant accès à aucun élément vérifiable
Quand tu finis la critique, tu ne sais pas de quoi parlait le film, ni s'il y avait un film d'ailleurs, ni de quoi causait la critique, ni même s'il y avait une critique.
Mais une fois qu'on a admis que le critique ne parlait pas du film, ni ne faisait une critique, ça se laisse lire.
"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
http://melkine.wordpress.com/
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je te l'accorde et ses critiques musicales ne sont pas forcément plus pertinentes (enfin, n'étaient puisqu'il y a longtemps que je ne le lis plus)Erion a écrit :Toi, tu as lu les critiques ciné de Bayon.MF a écrit :et que, comme il faut s'y attendre dans ces cas, la forme prend le pas sur le fond et que moi, pauvre lecteur, je ne sais plus que penser, n'ayant accès à aucun élément vérifiable
Quand tu finis la critique, tu ne sais pas de quoi parlait le film, ni s'il y avait un film d'ailleurs, ni de quoi causait la critique, ni même s'il y avait une critique.
Mais une fois qu'on a admis que le critique ne parlait pas du film, ni ne faisait une critique, ça se laisse lire.
c'est bien pour cela que j'avais mis des guillemets autour de critique
une (vaine) tentative de circonscrire le sinistre
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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Dommage, ça aurait été intéressant!justi a écrit :Eh ben...
Je voulais juste signaler que j'avais relu les Ortog depuis ma dernière intervention, et que trouvé-je ici... ? Bon, j'ai plus trop envie de partager mon ressenti, voire même le peu d'analyse dont je suis capable sur ce bouquin.
Bon, vais essayer de me procurer Le Disque rayé pour voir, jamais lu celui-là.
Bonne lecture!
Ce dont on ne peut parler, il faut le faire.
- Eons
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Dois-je en appeler à la modération pour attaque ad hominem ou juste estimer qu'ayant eu 6 enfants, j'ai simplement affaire à un jaloux ?kibu a écrit :Pas de danger que ça arrive avec les tiens de bijoux... de familleJ'ai donc eu le nez creux en m'empressant de copier/coller ce petit bijou d'humour

Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
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En attendant la suite qui viendra à son heure et qui fera retour au sujet central de ce fil (mais il fallait bien l'introduire avec des considérations méthodologiques), je constate que je suis le Giordano Bruno de ce site.
Je signale à tout lecteur intéressé que j'ai publié trois posts sur ce fil, tous modérés, c'est à dire interdits d'accès, ce qui semble indiquer que le modérateur a autant de sens de l'humour que feu Béria. Ne disposant d'aucun autre tribune et à moins que le Cafard ne m'offre comme à Thémistocle d'après M. Fenouillard, l'asile de la perfide Albion, j'espère que des copies de ce qui devient un samizdat circuleront sur le net.
Pour la suite, soyez vigilants et pour n'en pas manquer une miette, actionnez votre copié collé.
(Et dites moi par mp quand Jérome dort.)
Je signale à tout lecteur intéressé que j'ai publié trois posts sur ce fil, tous modérés, c'est à dire interdits d'accès, ce qui semble indiquer que le modérateur a autant de sens de l'humour que feu Béria. Ne disposant d'aucun autre tribune et à moins que le Cafard ne m'offre comme à Thémistocle d'après M. Fenouillard, l'asile de la perfide Albion, j'espère que des copies de ce qui devient un samizdat circuleront sur le net.
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Mon immortalité est provisoire.
Je crois que j'ai le même avis que MF. A moins que je ne sois d'accord avec Joe. C'est flou...MF a écrit :c'est marrant, mais j'aimais bien la distinction de régime ontologique que fait Simon Bréan dans un autre filLensman a écrit :Certaines critiques de maîtres sont écrites comme des œuvres littéraires, que l'on peut prendre telles qu'elles et que l'on peut lire pratiquement sans connaître, voire à la limite s'intéresser aux, œuvres qui sont critiquées. Les exemples sont nombreux (les savoureuses critiques musicales de Debussy portant souvent sur des œuvres qui ne sont plus du tout (mais du tout de chez du tout) jouées aujourd'hui). Je classerais pas mal de critiques signées Philippe Curval dans ce genre, qui peuvent être savourées sans rien savoir (et en ne sachant jamais rien d'autre) des œuvres critiquées.jerome a écrit :Est-ce la différence entre un blog, un site ou un journal par exemple ? Eric a souvent expliqué que pour lui une critique était une forme de fiction...
Evidemment, pour moi, les écrivains (car il faut que ce soient des écrivains) qui font cela, je les juge en tant... qu' écrivains, et même lorsqu'ils me déplaisent fortement dans leurs appréciations, je les… apprécie. Même s'ils peuvent donner dans la vacherie, voire l'insulte. Mais ce sont des écrivains, cela change tout.
celle qui permet d'éviter cette confusion parfois faite entre production critique et production littéraire, conduisant certains "critiques" à croire qu'ils écrivent une fiction lorsqu'ils décrivent une fiction
le pire advenant lorsqu'ils imaginent disposer de plus de talent que l'auteur de la fiction qu'ils "critiquent" et se plaisent à parodier ou pasticher le style utilisé par l'auteur de l'ouvrage qu'ils analysent
et que, comme il faut s'y attendre dans ces cas, la forme prend le pas sur le fond et que moi, pauvre lecteur, je ne sais plus que penser, n'ayant accès à aucun élément vérifiable
contrairement à toi, Joe, le fait que certains soient écri vains ne changent rien à mes yeux
au contraire
Je lis certaines critiques uniquement pour leur "style". Dans ce cas, la plupart du temps, ce dernier cache mal un manque d'analyse et, sorti du plaisir de lire la critique pour elle-même (donc pour son style), je n'en retire rien au sujet du bouquin dont elle était sensée parler.
Mais si je préfère les critiques au ton neutre (même s'il ne l'est jamais) et qui parlent des bouquins, je dois avouer que j'aime aussi celles qui se mettent en scène, qui font le pitre, qui fusillent ou vitupèrent sans en parler réellement. Je fais juste la part des choses.
En revanche, que la critique soit écrite par un écrivain ou un illustre inconnu ou quelqu'un se situant entre les deux n'a aucune importance à mes yeux. Seul ce qui est dit en a une.
Vu que Nébal attend aussi la suite, suffira de lui transmettre et de signaler ici qu'elle s'y trouve.Gérard Klein a écrit :En attendant la suite qui viendra à son heure et qui fera retour au sujet central de ce fil (mais il fallait bien l'introduire avec des considérations méthodologiques), je constate que je suis le Giordano Bruno de ce site.
Je signale à tout lecteur intéressé que j'ai publié trois posts sur ce fil, tous modérés, c'est à dire interdits d'accès, ce qui semble indiquer que le modérateur a autant de sens de l'humour que feu Béria. Ne disposant d'aucun autre tribune et à moins que le Cafard ne m'offre comme à Thémistocle d'après M. Fenouillard, l'asile de la perfide Albion, j'espère que des copies de ce qui devient un samizdat circuleront sur le net.
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Effectivement, ce voyage à Prague a peut-être permis à John Dee ou à son secrétaire d'y vendre cher le manuscrit Voynich, mais ce n'est tout de même pas en Angleterre que Bruno a été brûlé vif. Du moins dans le continuum que je fréquente habituellement.XavierMauméjean a écrit :Gérard Klein a écrit : <je constate que je suis le Giordano Bruno de ce site
En 1583, il valait mieux aller d'Angleterre à Prague comme John Dee, plutôt que de Prague en Angleterre comme G. Bruno.
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Dans ton continuum, l'affaire qui devait mener Bruno au bûcher commence précisément suite à cet échange.Gérard Klein a écrit :Effectivement, ce voyage à Prague a peut-être permis à John Dee ou à son secrétaire d'y vendre cher le manuscrit Voynich, mais ce n'est tout de même pas en Angleterre que Bruno a été brûlé vif. Du moins dans le continuum que je fréquente habituellement.XavierMauméjean a écrit :Gérard Klein a écrit : <je constate que je suis le Giordano Bruno de ce site
En 1583, il valait mieux aller d'Angleterre à Prague comme John Dee, plutôt que de Prague en Angleterre comme G. Bruno.
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Jamais.Soleil vert a écrit :A une condition : retirez Bénabar de votre projet d'antho poétique.et à moins que le Cafard ne m'offre comme à Thémistocle d'après M. Fenouillard, l'asile de la perfide Albion,
Ce n'est pas que je sois fondu de Bénabar.
C'est une question de principe. Je ne cèderai devant aucun censeur.
Et d'ailleurs, je n'avais aucun projet d'antho poétique mais vous me donnez une idée…
Mon immortalité est provisoire.
Y'a des gens qui ont pris la peine de faire un dessert. La moindre des choses c’est de rester pour le manger. Y en a marre de se comporter comme des sagouins avec tout le monde sous prétexte qu’on a des responsabilités.
*hésite*
Ah, non, merde, c'est pas ça.
Y'a des gens qui pensent que les critiques, ça sert à orienter leurs achats/leurs futures lectures.
Mais ce sont des gens pragmatiques.
Y'a peut-être des critiques qui sont des oeuvres d'art à elles toutes seules, mais, franchement, dans un monde où on n'a même pas le temps de lire tous les romans, nouvelles, nano-nouvelles, etc. qui ont été écrits...
Bref, même si une lecture est toujours subjective, c'est bien qu'elle reste factuelle, même si personnelle : me suis éclatée/me suis ennuyée/lisez, c'est de la bonne...
Y'a des blogs qui sont des oeuvres, un peu comme un roman-journal où l'auteur se met en scène et part allègrement dans la fiction.
Mais, ça, ce sont des oeuvres d'écrivains.
*hésite*
Ah, non, merde, c'est pas ça.
Y'a des gens qui pensent que les critiques, ça sert à orienter leurs achats/leurs futures lectures.
Mais ce sont des gens pragmatiques.
Y'a peut-être des critiques qui sont des oeuvres d'art à elles toutes seules, mais, franchement, dans un monde où on n'a même pas le temps de lire tous les romans, nouvelles, nano-nouvelles, etc. qui ont été écrits...
Bref, même si une lecture est toujours subjective, c'est bien qu'elle reste factuelle, même si personnelle : me suis éclatée/me suis ennuyée/lisez, c'est de la bonne...
Y'a des blogs qui sont des oeuvres, un peu comme un roman-journal où l'auteur se met en scène et part allègrement dans la fiction.
Mais, ça, ce sont des oeuvres d'écrivains.