Qualité au sens général (un trait descriptif); et cela en fait un problème dès qu'on commence à étudier le système, au sens d'objet à étudier....Lensman a écrit :Heu... c'est plutôt une qualité du système, plutôt qu'un problème.silramil a écrit :En fait, il n'est pas nécessaire "d'écouter". Il suffit d'un bon moteur de recherche et de puissance de calcul.
Le problème de Facebook n'est pas le caractère privé ou non, c'est la possibilité de lier des gens à des choses qu'ils ont dites ou faites, d'ici à l'éternité. Mais comme on dit, tant qu'on n'a rien à se reprocher...
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bormandg
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"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Exact. Mais ne pas prendre le terme "problème" au sens péjoratif qu'on lui donne souvent, bien sûr...bormandg a écrit :Qualité au sens général (un trait descriptif); et cela en fait un problème dès qu'on commence à étudier le système, au sens d'objet à étudier....Lensman a écrit :Heu... c'est plutôt une qualité du système, plutôt qu'un problème.silramil a écrit :En fait, il n'est pas nécessaire "d'écouter". Il suffit d'un bon moteur de recherche et de puissance de calcul.
Le problème de Facebook n'est pas le caractère privé ou non, c'est la possibilité de lier des gens à des choses qu'ils ont dites ou faites, d'ici à l'éternité. Mais comme on dit, tant qu'on n'a rien à se reprocher...
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Soslan
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J'écoute le dernier teaser d'album Soundlcloud de Soror Dolorosa, sans parvenir, fort logiquement, à retrouver l'émotion d'il y a deux jours, quand je découvrais ce rock gothique lancinant en méditant sur la douleur douceâtre d'un béguin sans réciprocité, ce qui m'a plongé dans une mélancolie tout aussi douceâtre et poignante comme j'aime tellement en ressentir.
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'Tain, mais est-ce que je grandirai un jour ?
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"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
http://karelia.over-blog.com/
Et pour ne pas faire que ma propre promo :
http://musardises.moonfruit.fr/
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j'aime bien leur façons de réinvestir leurs profits : http://worldofwarplanes.eu/fr/blog/main
(accessoirement , il y a des historiens heureux :
)
(accessoirement , il y a des historiens heureux :
, il a du se croire au paradis , là ... et la partie ou il explique que le taux de change dépend de l'état des billets est assez ...J’ai commencé à travailler pour Wargaming en janvier 2012, avec pour seule directive de foncer et, pour citer notre PDG Victor Kislyi, « se faire plaisir ». Je suis historien de formation, c’est pourquoi j’ai décidé de me concentrer sur la préservation historique, la restauration des véhicules de la Seconde Guerre mondiale, et les projets éducatifs avec les musées de la Seconde Guerre mondiale.
)Allez ! Ce soir, salle Pleyel (Paris), sous la direction de Valery Gergiev (souvent mal rasé, mais je ne peux pas lui lancer la pierre...):
Dimitri Chostakovitch
Symphonie n° 1
Symphonie n° 2
Concerto pour piano n°2
Symphonie n° 15
Programme aussi dense que fabuleux (il est bien rare d'entendre en vrai, sous nos climats, les Symphonies 2 et 3 de Chosta...)
La 15, la dernière du compositeur, est quelque chose qui décontenance, tellement c'est touchant. Mais bon ! Voilà qui lessivera sans peine les (rares) fausses notes de ma journée bien parisienne!
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Dimitri Chostakovitch
Symphonie n° 1
Symphonie n° 2
Concerto pour piano n°2
Symphonie n° 15
Programme aussi dense que fabuleux (il est bien rare d'entendre en vrai, sous nos climats, les Symphonies 2 et 3 de Chosta...)
La 15, la dernière du compositeur, est quelque chose qui décontenance, tellement c'est touchant. Mais bon ! Voilà qui lessivera sans peine les (rares) fausses notes de ma journée bien parisienne!
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Gérard Klein
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Ça facilitera le Jugement Dernier.silramil a écrit :En fait, il n'est pas nécessaire "d'écouter". Il suffit d'un bon moteur de recherche et de puissance de calcul.
Le problème de Facebook n'est pas le caractère privé ou non, c'est la possibilité de lier des gens à des choses qu'ils ont dites ou faites, d'ici à l'éternité. Mais comme on dit, tant qu'on n'a rien à se reprocher...
Mon immortalité est provisoire.
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bormandg
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Faciliter? Obliger les anges greffiers à lire tous les messages de Fessebouc EN PLUS DE LA SURVEILLANCE déjà programmée, c'est une simplification?Gérard Klein a écrit :Ça facilitera le Jugement Dernier.silramil a écrit :En fait, il n'est pas nécessaire "d'écouter". Il suffit d'un bon moteur de recherche et de puissance de calcul.
Le problème de Facebook n'est pas le caractère privé ou non, c'est la possibilité de lier des gens à des choses qu'ils ont dites ou faites, d'ici à l'éternité. Mais comme on dit, tant qu'on n'a rien à se reprocher...
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Une salle Playel pleine à craquer (j’ai plusieurs fois entendu parler russe, la communauté s’était donné rendez-vous pour fêter le fils du pays, à la tête de son orchestre Mariinsky de Saint-Pétersbourg) , des caméras et des microphones partout : autour, au-dessus et au milieu de l’orchestre, un type dans un coin, au fond, qui parle dans un micro… le concert était donc soigneusement enregistré, filmé, et destiné à être diffusé (en direct, peut-être ?) sur une chaîne télé.
Autant pour moi, comtrairement au bruit que j’aime faire courir, Valery Gergiev était rasé de près (à 5 rangées du podium, en plein milieu, je n’ai pu que le constater…).
1e et 2e Symphonies de Chostakovitch, en première partie. J’attendais beaucoup de la 2e, œuvre assez courte, mais avec chœurs, très rarement exécutée sous nos climats. Elle s’enchaine assez bien avec la 1e : Chosta me donne l’impression d’être un peu sous l’influence de Scriabine, mais un Scriabine ayant le sens de l’humour et où pointe (déjà !) un soupçon d’auto-dérision… Mais il ne faut pas exagérer, l’enthousiasme est sincère, et les sirènes (!!!) qui précèdent l’entrée des chœurs (et feront une réapparition finale) ne sont pas là pour faire sourire l’auditoire. On est dans l’enthousiasme de la société soviétique qui se construit : tous les espoirs, et ils sont immenses, sont encore permis. Direction féline de Gergiev, qui utilise les chœurs non comme une masse distincte de l’orchestre, mais en tant qu’instruments comme les autres. C’est bien ce que souhaitait Chosta, mais encore faut-il arriver à mettre ça en place ! Exaltant !
Après l’entracte, le 2e Concerto pour piano de Chostakovitch. Là, je m’attendais à un peu de détente, après les décoiffantes œuvres introductives. Pensez-vous ! Je ne connaissais pas du tout le pianiste (pas mon point fort, la reconnaissance des solistes… j’ai honte…). Il s’appelle Denis Matsuev, et il fait figure de colosse comparé Gergiev (qui ne doit pas être très grand, mais tout de même !). Eh bien, je n’ai pas eu le temps de me recoiffer, et j’ai eu l’impression de ne pas respirer pendant l’exécution de ce tourbillon ! Gergiev sautait sur place (en faisant trembler le piano, je jure que c’est vrai, je l’ai vu !) et Matsuev fonçait comme un furieux dans cette partition dont il a donné une interprétation hystérique mais parfaitement maitrisée (oui, ça semble assez contradictoire…) qui aurait certainement enchanté Chosta, toujours un peu exalté quand il s’attaque au piano. Public en délire, un bis (un truc connu de Rachmaninov dont bien sûr le titre m’échappe) où Matsuev a démontré (pour les grands distraits qui ne s’en étaient pas rendu compte) son art de passer de la force à la douceur (comme il caresse les touches avec une infinie délicatesse, après les avoir matraquées !). On a du mal à laisser partir le bon géant, mais la 15e attend…
C’était le plat de résistance. J’ai encore les sons de ce triangle dans la tête… la fin de la symphonie sonne comme une pensée qui se délite, comme un esprit qui s’efface, comme la fin. La vraie. On entendait un cœur encore battre au bout de la terrifiante 4e. Là, le silence se fait doucement, le néant s’installe. Ces moments de silence (quand doit on considérer que la symphonie est terminée ?) étaient écrasants, le public était tétanisé.
Ce soir, il m’a semblé qu’il n’y avait pas d’autre Art que la Musique. Bah ! ça me passera… hum, peut-être pas si vite…
Oncle Joe
Autant pour moi, comtrairement au bruit que j’aime faire courir, Valery Gergiev était rasé de près (à 5 rangées du podium, en plein milieu, je n’ai pu que le constater…).
1e et 2e Symphonies de Chostakovitch, en première partie. J’attendais beaucoup de la 2e, œuvre assez courte, mais avec chœurs, très rarement exécutée sous nos climats. Elle s’enchaine assez bien avec la 1e : Chosta me donne l’impression d’être un peu sous l’influence de Scriabine, mais un Scriabine ayant le sens de l’humour et où pointe (déjà !) un soupçon d’auto-dérision… Mais il ne faut pas exagérer, l’enthousiasme est sincère, et les sirènes (!!!) qui précèdent l’entrée des chœurs (et feront une réapparition finale) ne sont pas là pour faire sourire l’auditoire. On est dans l’enthousiasme de la société soviétique qui se construit : tous les espoirs, et ils sont immenses, sont encore permis. Direction féline de Gergiev, qui utilise les chœurs non comme une masse distincte de l’orchestre, mais en tant qu’instruments comme les autres. C’est bien ce que souhaitait Chosta, mais encore faut-il arriver à mettre ça en place ! Exaltant !
Après l’entracte, le 2e Concerto pour piano de Chostakovitch. Là, je m’attendais à un peu de détente, après les décoiffantes œuvres introductives. Pensez-vous ! Je ne connaissais pas du tout le pianiste (pas mon point fort, la reconnaissance des solistes… j’ai honte…). Il s’appelle Denis Matsuev, et il fait figure de colosse comparé Gergiev (qui ne doit pas être très grand, mais tout de même !). Eh bien, je n’ai pas eu le temps de me recoiffer, et j’ai eu l’impression de ne pas respirer pendant l’exécution de ce tourbillon ! Gergiev sautait sur place (en faisant trembler le piano, je jure que c’est vrai, je l’ai vu !) et Matsuev fonçait comme un furieux dans cette partition dont il a donné une interprétation hystérique mais parfaitement maitrisée (oui, ça semble assez contradictoire…) qui aurait certainement enchanté Chosta, toujours un peu exalté quand il s’attaque au piano. Public en délire, un bis (un truc connu de Rachmaninov dont bien sûr le titre m’échappe) où Matsuev a démontré (pour les grands distraits qui ne s’en étaient pas rendu compte) son art de passer de la force à la douceur (comme il caresse les touches avec une infinie délicatesse, après les avoir matraquées !). On a du mal à laisser partir le bon géant, mais la 15e attend…
C’était le plat de résistance. J’ai encore les sons de ce triangle dans la tête… la fin de la symphonie sonne comme une pensée qui se délite, comme un esprit qui s’efface, comme la fin. La vraie. On entendait un cœur encore battre au bout de la terrifiante 4e. Là, le silence se fait doucement, le néant s’installe. Ces moments de silence (quand doit on considérer que la symphonie est terminée ?) étaient écrasants, le public était tétanisé.
Ce soir, il m’a semblé qu’il n’y avait pas d’autre Art que la Musique. Bah ! ça me passera… hum, peut-être pas si vite…
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dracosolis
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Deuxième jour de suite de RTT impromptu pour cause de gamine fiévreuse... J'adore. 
"Oph n'est pas un lézard, mais elle présente d'autres atouts."
– Laurent Whale & Jean Millemann
eul' crédit photo !
– Laurent Whale & Jean Millemann
eul' crédit photo !
Il me semblait aussi que ce Matsuev avait quelque chose de tigresque, comme on dit dans les Tontons, malgré son faux air d'ours kodiak. Avec Gergiev, ça fait une belle paire de tueurs!Papageno a écrit :Merci pour ce compte-rendu enthousiasme.
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Gergiev, c'est Gergiev. Point. Dire ça, c'est déjà tout dire,
Denis Matsuev est l'un des plus grand pianiste de notre époque - Je l'ai déjà entendu (Dans Rachmaninov par exemple - Prelude No. 5 entre autre), mais aussi dans Haydn, dans Liszt.
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