Embrassez qui vous voulez...
Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
Embrassez qui vous voulez...
... mais pas ce que vous voulez.
Salut,
Eh bien voilà: quand un guignol "peint" une toile entièrement blanche, et que quelqu'un d'un peu naïf s'avise d'y faire un bisou, ça coûte plus de 30000€ rien qu'en frais d'expertise pour la "restauration" (un bon coup d'éponge?).
http://www.liberation.fr/culture/283525.FR.php
Là, j'avoue que l'art est trop conceptueul pour moi. Il faut quand même être frappé pour payer une toile blanche 2 millions d'€...
A+
Patrice
Salut,
Eh bien voilà: quand un guignol "peint" une toile entièrement blanche, et que quelqu'un d'un peu naïf s'avise d'y faire un bisou, ça coûte plus de 30000€ rien qu'en frais d'expertise pour la "restauration" (un bon coup d'éponge?).
http://www.liberation.fr/culture/283525.FR.php
Là, j'avoue que l'art est trop conceptueul pour moi. Il faut quand même être frappé pour payer une toile blanche 2 millions d'€...
A+
Patrice
Oui mais c'est pas une raison pour la toucher* !
Y'a quelques années, un crétin de la dernière espèce se faisait vomir sur des toiles après avoir avalé des colorants de la couleur qu'il jugeait devoir s'adapter avec la toile ciblée. Selon ce dégénéré, c'était de sa part une forme de démarche artistique.
Cela dit, pour revenir à l'auteure de ce baiser illicite, je trouve qu'elle s'affiche beaucoup et me demande si elle en fait pas elle aussi une sorte de démarche conceptuelle aussi vide de sens (toujours à mon avis) que ne l'est (pour d'autres) le sujet de la toile abimée.
*Je ne suis pas un exemple à suivre car dans un passé presque lointain j'ai touché du doigt un Dali (dans un moment d'égarement et d'émerveillement). Mais c'est pas bien !
Y'a quelques années, un crétin de la dernière espèce se faisait vomir sur des toiles après avoir avalé des colorants de la couleur qu'il jugeait devoir s'adapter avec la toile ciblée. Selon ce dégénéré, c'était de sa part une forme de démarche artistique.
Cela dit, pour revenir à l'auteure de ce baiser illicite, je trouve qu'elle s'affiche beaucoup et me demande si elle en fait pas elle aussi une sorte de démarche conceptuelle aussi vide de sens (toujours à mon avis) que ne l'est (pour d'autres) le sujet de la toile abimée.
*Je ne suis pas un exemple à suivre car dans un passé presque lointain j'ai touché du doigt un Dali (dans un moment d'égarement et d'émerveillement). Mais c'est pas bien !