Un inédit de Philip K Dick

[Daylon]

D'ailleurs, il a fallu que je te signale les bourdes que tu avais commises dans ta critique des Futurs Mystères.

Te lire m'avait épuisé.
Et j'ai sauté des pages, pourtant.

C'était rigolo d'empêcher que tu passes pour un bouffon.

Sauf que j'ai la sale manie de bien assumer mes erreurs.
D'ailleurs, si ça intéresse des gens, j'ai commis une vraie cagade de l'espace sur la chronique du premier Fiction (seconde édition, hein, j'étais pas né, avant). J'ai pris un essai pour une nouvelle. Mais j'étais bourré, faut dire, quand j'ai écris ça.
Et c'est toujours en ligne. Là, je passe pour un bouffon, Roland.
Nuance.


Oui, sinon, je suis désolé, je suis un sale salarié et j'ai un peu pris de distance avec les forums. Désolé de ne pas avoir creusé les arcanes du net pour retrouver tous tes messages, ma pause ne dure qu'une heure par jour.
Il aurait fallu éplucher Culture SF, le Cafard et certainement d'autres endroits où je n'ai jamais foutu les pieds pour retrouver tous tes posts.


Ah et tu as commis un faux sens en parlant de France et d'intelligence.

Hop.


Et K.Dick, à part ça ?

[Virprudens]

Dans les faits, appartenir à ce que toi et moi appelons le fandom n'est certes pas dévalorisant. Par contre, que d'aucuns suggèrent que tu appartiens à ce que d'aucuns nomment ainsi peut mettre en colère.
.

'tain, je bitte vraiment que dalle ...
je préfère encore quand on parle de Nietzsche ou Deleuze, je bitte rien non plus, mais au moins je sais pourquoi.

[Roland C. Wagner]

D'ailleurs, il a fallu que je te signale les bourdes que tu avais commises dans ta critique des Futurs Mystères.

Te lire m'avait épuisé.
Et j'ai sauté des pages, pourtant.

Je ne pensais pas que le système scolaire était dans un tel état. Ça fout la trouille.

À part ça, quand on fait une erreur, on assume, c'est tout.

Par contre, pour ta critique de Fiction, ça ne coûte rien de rectifier. Moi, je sais ce que je ferais.



(Ouaip, je mets des smileys. Comme ça, les miquets saisiront peut-être les nuances qui leur échappent.)

[Nébal]

Et K.Dick, à part ça ?

Oui, tiens ? Voudrais pas faire mauvaise langue, mais ça m'intéresserait bien, de revenir au sujet.

Même si c'est un écrivain de SF médiocre et pas français.

Et dans un fil qui ne parle pas de lui, certes, mais on peut dévier un peu, nan ?

[kibu]

Et K.Dick, à part ça ?

Comme signalé par Fred Combo, 2/10 dans le Sutin.
J'ai tendance à le croire, vu que pour ce que j'ai lu - La bulle cassée, Pacific Park [Mary and the Giant], Confession d'un barjo- mes impressions sont similaires.
En conséquence, je ne vais pas me ruer sur cet inédit de Dick.
(On attendra la parution en poche, ma curiosité restant ce qu'elle est.)

[Lensman]

J'avais malgré tout apprécié "Confession d'un barjo" pour la descritpion des soucoupistes fous...
Oncle Joe

[jerome]

Et K.Dick, à part ça ?

Comme signalé par Fred Combo, 2/10 dans le Sutin.
J'ai tendance à le croire, vu que pour ce que j'ai lu - La bulle cassée, Pacific Park [Mary and the Giant], Confession d'un barjo- mes impressions sont similaires.
En conséquence, je ne vais pas me ruer sur cet inédit de Dick.
(On attendra la parution en poche, ma curiosité restant ce qu'elle est.)

Pareil je suis curieux et en même temps méfiant envers tous les manuscrits retrouvés dans les tiroirs des auteurs après leur mort...

[Fred Combo]

Pour ma part, j'ai lu les "confessions d'un barjo" (et en VO s'il vous plait ! un exploit dont je ne suis pas peu fier...) et "l'homme dont les dents étaient toutes exactement semblables" et je ne les ai pas trouvé désagréables. Il est vrai qu'ils ont la réputation d'être les 2 meilleurs mainstream de K. Dick.

Je me souviens néanmoins avoir pensé que ces romans étaient écrits dans un style tout à fait "dickien", la façon d'approcher des personnages et les relations entre ceux-cis, les diverses situations dans lesquelles se retrouvent impliqués les protagonistes, jusqu'au thème de la manipulation du réel qui est présent (au moins dans "l'homme dont les dents...") lorsqu'il est question de l'homme de Piltdown, une des escroqueries scientifiques les plus fameuses (ou fumeuses ?).

Je n'ai pas lu les autres Dicks mainstream bien que de temps à autre je m'en sente la velléité.
Je ne sais pas si je lirai "les voix de la rue", pas dans l'immédiat en tous cas vu la taille de ma PAL, mais sait-on jamais, mais j'espère tout de même secrètement que quelqu'un en fera un rapport suffisemment élogieux (suffit de pas grand chose...) pour que...

[rmd]

J'ai beaucoup aimé "la bulle cassé". On y trouve des personnages typiquement Dickien (le pauvre type looser surclassé par les femmes en général et la sienne en particulier) et surtout une vision de l'amérique des années 50-60 très différente du folklore habituel à la american graffiti. Cette vision de l'amérique des loosers se retrouve aussi dans "humpty dumpty à oackland", son dernier roman non-sf, si je me souviens bien.

(je dirais bien aussi qu'on y retrouve son style (ou plutot son absence de style) habituel, mais on va croire que je trolle.)

[kibu]

Oncle Joe >> Confession d'un barjo est mon préféré. Je n'ai par contre pas visionné le film français adapté de ce roman. J'évoque le sujet, des fois que quelqu'un aurait un avis.

[Fred Combo]

Aaaahhh... Je sens qu'on va bientôt se lancer dans une querelle sur la nature du "style" de Phil Dick !
Bon, et pas le droit de dire "le style dickien, c'est tout ce qui a été écrit par Phil Dick" ! (hein Eric ?)

[jlavadou]

Côté mainstream de Dick, je n'ai lu que La Transmigration de Timothy Archer. J'ai adoré. Donc pas de doute qu'un jour je lirai ce nouveau livre, et même que si on le reçoit en SP à ActuSF je tuerais pour l'avoir (je préviens à l'avance, si ça se trouve, la dissuasion, ça va marcher ).

Maintenant à vous lire et à expliquer ce qui vous a plu dans les romans mainstream de Dick, c'est aussi ce qui me plaît dans ses romans SF. La distinction SF/mainstream chez Dick semble donc avoir peu d'importance par rapport à son style et à ses thèmes, non ? Il utilise l'un ou l'autre genre en fonction des histoires qu'il veut raconter, un peu comme un "outil" (sans connotation péjorative aucune, ni pour l'un ni pour l'autre), mais au final ce qui compte ce sont les personnages et situations dickiens, et les thèmes sur la réalité ou l'identité, etc.

Bon, ce n'est qu'une impression, j'ai encore beaucoup de choses à lire chez Dick...

[Lensman]

Pas vu le film non plus, je me méfie un peu, car ce qui m'intéresserait, ce serait la reconstitution d'une atmosphère américaine typique de ces années. Or, j'ai cru comprendre (à vérifier...) que l'action est transposée...
Oncle Joe

[Mélanie]

Oncle Joe >> Confession d'un barjo est mon préféré. Je n'ai par contre pas visionné le film français adapté de ce roman. J'évoque le sujet, des fois que quelqu'un aurait un avis.

Je garde un excellent souvenir du film, qui était gentiment loufoque et sympa comme tout. Par contre, c'était tellement peu dickien que je me demande dans quelle mesure il était fidèle au livre, que je n'ai pas lu.

[Gui]

J'ai trouvé ce film distrayant, sans plus...