Oups !France Gall.
France-Galles, c'est une rencontre sportive.
Grindhouse la BA
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- Epikt
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Charlotte > je viens de relire ton message, au temps pour moi
(ma faute, j'ai lu ce fil hier et j'ai répondu ce matin, entre les deux j'ai beaucoup bu alors t'imagines bien...)

(ma faute, j'ai lu ce fil hier et j'ai répondu ce matin, entre les deux j'ai beaucoup bu alors t'imagines bien...)
« Je m’en fiche. Dans ma tête je peux aller où je veux. C’est moi qui décide.
Je n’ai qu’à décider, et je peux aller où je veux... Ailleurs, n’importe où. »
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- Gui
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Et même qu'on a gagné d'ailleurs !!!Eons a écrit :France Gall.kibu a écrit : Il me semble d'ailleurs que la BOF comporte la chanson Laisse tomber les filles de Gainsbourg écrite pour France Galles.
France-Galles, c'est une rencontre sportive.
I've imagined many things... For example, what kind of dreams would you have in a spaceship flying at the speed of light...? With time drawn out infinitely, it might be a terrifying, unending dream...
Yukinobu Hoshino - 2001 Nights
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- Charlotte
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Très honnêtement je n'y ai trouvé rien de choquant à cette scène. Les personnages sont caricaturaux mais lesquels ne le sont pas dans Sin City ?Erion a écrit :ça me fait penser à une séquence de "Sin City" sur le gang des filles, vers la fin. Cette séquence m'avait un peu laissé mal à l'aise parce que ça donnait trop dans le cliché de l'amazone. Or, la femme castratrice, cuir et fouet, c'est quand même avant tout un fantasme masculin, pas vraiment une expression de féminisme (d'ailleurs, dans Sin City, globalement, tout rentre dans l'ordre à la fin, faut pas pousser).
Marv', par exemple, est une grosse brute épaisse avec un instinct de survie inversement proportionnel à ce qui lui sert de cerveau. C'est un serial killer, certes sympathique, mais totalement loufdingue.
@Charlotte:
Disons que la succession des clichés machistes ont fait que j'attendais une scène un peu différente quand les filles sont apparues, et finalement, ça retournait dans un cliché encore plus gros. Donc, léger malaise, ou plus exactement sentiment de lassitude. C'est pour ça que je voulais savoir si Grindhouse est dans la même veine, ou s'il y a des éléments différents qui suggèrent un vrai renversement (et pas seulement les deux versants des fantasmes masculins : Domination ou dominé).
Disons que la succession des clichés machistes ont fait que j'attendais une scène un peu différente quand les filles sont apparues, et finalement, ça retournait dans un cliché encore plus gros. Donc, léger malaise, ou plus exactement sentiment de lassitude. C'est pour ça que je voulais savoir si Grindhouse est dans la même veine, ou s'il y a des éléments différents qui suggèrent un vrai renversement (et pas seulement les deux versants des fantasmes masculins : Domination ou dominé).
Bon. Vu en quelques jours Boulevard de la mort et Planète Terreur.
Boulevard de la mort est une daube. Pas de regret de ne pas être allé voir ça au cinéma, c'est du vol de vendre des places pour ça. Mieux vaut revoir Reservoir Dogs, je rejoins Epikt sur ce point
Planète Terreur est somptueusement et outrageusement jubilatoire. Du série B qui s'affirme avec talent. Même Rose Mc Gowan, qui y met pourtant tout son coeur, n'arrive pas à y être aussi totalement nulle que d'habitude.
Boulevard de la mort est une daube. Pas de regret de ne pas être allé voir ça au cinéma, c'est du vol de vendre des places pour ça. Mieux vaut revoir Reservoir Dogs, je rejoins Epikt sur ce point
Planète Terreur est somptueusement et outrageusement jubilatoire. Du série B qui s'affirme avec talent. Même Rose Mc Gowan, qui y met pourtant tout son coeur, n'arrive pas à y être aussi totalement nulle que d'habitude.
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
- Epikt
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Tu me rejoins un peu nulle part.gutboy a écrit :je rejoins Epikt sur ce point
Certes, j'affirme et je pense que Deathproof est chiant. Plus précisément "un film intéressant, mais chiant". Voir même que plus haut j'ai qualifié de "putain de film". Donc voilà le problème : j'aime Deathproof (même si son réalisateur m'énerve) et jamais il ne me viendrait à l'idée de le qualifier de daube !
En fait Deathproof c'est le contraire de Planet terror, un peu hermétique, pas forcément hyper séduisant par les éléments qu'il met en avant (en tout cas de mon point de vue), laissant sceptique à la vision, mais qui se bonifie incroyablement avec le temps. Planet Terror est un film qui donne tout à la première vision d'une manière très premier degré (quelques idées de dingue et une bonne dose de fun) et forcément passe nettement moins à la seconde vision car il n'a aucune profondeur.
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Epikt : Dans quel flm tu as lu que j'affirmais qu'il te viendrait à l'esprit de le qualifier de daube?
Ok je requalifie mon propos.
Ok je requalifie mon propos.
Epikt a écrit :Boulevard de la mort, c'est les dix première minutes de Reservoir Dogs étalées sur 1h30
C'est sur ce point que je suis d'accord avec toi. Ca va là? Tu respires mieux? J'espère ne pas t'avoir offensé en osant avoir un point d'accord. Si ça a été le cas, je prie Votre Haute Autorité Cinématographique de bien vouloir accepter mes très humbles et très basses excuses. Je suis bien évidemment tout à fait prêt à m'automutiler pour laver cet affront fait à Votre Haute Personne.Gutboy a écrit : je rejoins Epikt sur ce point
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Edit: doublon
Modifié en dernier par gutboy le mar. mars 11, 2008 4:10 pm, modifié 1 fois.
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Michael Parks jouait (déjà) ce rôle dans Une nuit en enfer.Charlotte a écrit : Avec ton idée du shérif, j'ai fait un tour sur imdb. Cecil Evans, le réalisateur du film en tournage et avec qui couche Abernathy, est en fait le responsable logistique (transports) de Planet Terror.
Et le shérif, eh bien, t'as le coup d'œil parce que effectivement, c'est le même que dans Kill Bill. Et tout cela va plus loin, même acteur, Michael Parks, et même personnage : Earl McGraw. Et son fils dans la vie, James Parks, joue donc son fils aussi dans les films Grindhouse et le premier volet de Kill Bill : Edgar McGraw.
Tarantino et Rodriguez semblent bien l'apprécier.