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- Eric
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Mais si tu avais lu l'interview que Norbert Merjagnan nous a accordée, tu saurais qu'il y a deux autres tomes dans les tuyaux. C'est mal de pas lire les interviews.rmd a écrit :Norbert Merjagnan, "les tours de samarante". Un bien bon roman bien ecrit dont je regrettte juste une fin un peu , euh, floue.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
Tu as raison! On est frappé de la richesse des idées et suggestions de Gernsback, qd on lit les éditoriaux des vieux Amazing ou Wonder...
Il y a pourtant, dans le monde anglo-saxon, tout un courant anti-gernsback assez virulent; relayé par des critiques influents. C'est plus troublant qu'en France, où le sujet est moins connu, et où il y a moins de documentation.
Oncle Joe
Il y a pourtant, dans le monde anglo-saxon, tout un courant anti-gernsback assez virulent; relayé par des critiques influents. C'est plus troublant qu'en France, où le sujet est moins connu, et où il y a moins de documentation.
Oncle Joe
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C’est vrai que Gernsback est le type même de l’auteur ‘invisible’ celui d’on tout le monde parle mais que pratiquement personne n’a lu – Franchement, qui a lu son «Ralph 124C41+ » Aujourd’hui. Pas moi (malheureusement).
Au fait, a t’il publié d’autres textes de Fiction? – existe-il une bibliographie quelque part? – Perso, je n’ai lu qu’une nouvelle de quelques pages éditée dans les années 70 avec un commentaire ironique de Jacques Sadoul. (Qui reconnaissait que sa principale qualité était d’être courte !)
Au fait, a t’il publié d’autres textes de Fiction? – existe-il une bibliographie quelque part? – Perso, je n’ai lu qu’une nouvelle de quelques pages éditée dans les années 70 avec un commentaire ironique de Jacques Sadoul. (Qui reconnaissait que sa principale qualité était d’être courte !)
Moi, moi, m'sieur !Papageno a écrit :Franchement, qui a lu son «Ralph 124C41+ »
Cela dit, comme le dit Joseph c'est le travail critique de Gernsback qui est important, voire fondamental. Il pose les bases de la science-fiction et de sa critique — laquelle fait d'ailleurs pleinement partie du genre.
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Impressionnant !!!!!!Moi, moi, m'sieur !
Pour l’aspect critique, je vous crois, sur parole, bien sur.
Cela dit, pour accéder a ces éditoriaux, il faut déjà maîtriser la langue – et ce n’est malheureusement pas mon cas – mon anglais est trop rudimentaire – de ce point de vue c’est très frustrant.
Ensuite il faut pouvoir accéder aux Amazinq et Wonder de cette époque. Pas facile nom plus– donc la, je ne peux compter que sur vous !!!
Cruel va! Tu enfonces le clou et tu le tourne et le retourne pour que cela fasse malUn travail remarquable, qui illustre parfaitement la nécessité de lire l'anglais pour qui cherche à vraiment comprendre ce qu'est la science-fiction.

PS : Pourquoi les fondateurs de la SF ne sont-il pas …. Italiens!

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Il y a des romans qui ne se laissent pas lire. Donc c'est déjà beaucoup.Jean-Pierre Andrevon - Les Enfants de Pisauride : un petit roman d'épouvante qui se laisse lire. Rien d'exceptionnel, mais bon... c'est écrit pour FNA.
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Eh, je n'ai pas le monopole de l'humour.Stéphane a écrit :Eons, sors de ce corps !Fabien Lyraud a écrit :Il y a des romans qui ne se laissent pas lire. Donc c'est déjà beaucoup.

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