[Bifrost 42] Les nouvelles
Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
- jlavadou
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Ah bah tiens, je cherchais ce qui me gênais dans cette nouvelle, et tu as mis le doigt dessus : il aurait fallu que ça continue. On sent qu'il y a une ambiance derrière (un peu genre Berthelot dans Le jongleur interrompu, du moins pour le milieu "village au bord de mer") mais on en sait trop peu pour vraiment l'appréhender, et c'est un peu dommage.Eric a écrit :Lu aussi la nouvelle de Pierre-Paul Durastanti. Très Priest dans l'ambiance je trouve, mais en fait, pour moi ça ressemble plus à un début de roman qu'à une nouvelle.
Quant à celle de Thomas Day, j'ai beaucoup aimé. C'est le genre de texte dont l'intrigue est minimaliste, mais tellement riche et bien écrit qu'on prend beaucoup de plaisir à le lire.
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Un excellent, excellent roman. Son meilleur !gutboy a écrit :J'ai beaucoup aprécié aussi la nouvelle de Catherine Dufour.
Du coup, ça donne envie de lire ses romans (en même temps une collection comme Bifrost, c'est un des buts).
Des avis sur Le Goût de l'Immortalité ?
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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- jlavadou
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Entièrement d'accord (même si je le mets au même niveau (dans mon échelle d'appréciation) que L'ivresse des providers). Je pense que tu aimeras si tu as aimé sa nouvelle dans Bifrost. Les univers se ressemblent et Dufour y a un tas d'idées intréssantes sur les évolutions technologiques, sociales, politiques... de son monde futuriste.jerome a écrit :Un excellent, excellent roman. Son meilleur !
Oui, j'ai aussi eu cette impression.un peu genre Berthelot dans Le jongleur interrompu, du moins pour le milieu "village au bord de mer"
Et excellent roman que ce Berthelot. L'un de ses meilleurs à mes yeux.
L'enfer est quelque chose que nous pouvons créer. C'est finalement cela qui fascine.
Thomas M. Disch - Camp de concentration
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Je reviens sur les nouvelles de Thomas Day, Xavier Mauméjean et Patrick Imbert.
- Le Dernier voyage de l’automate jour d’échecs par TD: C'est bien écrit, mais ça mène où? OK, c'est une uchronie, et en général je m'y ennuie. Mais surtout la finalité m'échappe: l'automate sort d'on ne sait où, je ne comprends pas la nature de la relation entre les 3 "frères" (un est l'humain, l'autre la machine, le 3ème l'esprit - et après?), quel rapport avec les roi-mages? La fin est annoncée plusieurs pages avant le dénouement, quel intérêt?
- Pour mon dernier anniversaire par XM: alors là vraiment rien compris du tout. Il aurait écrit "les chrmraguls ont terhfumié les gloauvs des humains en même temps que leurs fhyurs modifiaient les ufiuids", j'en serai au même point. Quelqu'un peut expliquer?
- Elle s’appelle Adèle par PI. J'ai beaucoup aimé. La boucle et le jeu erotisme-mort entre le début et la fin, la vision sociale désabusée (si on considère la nouvelle se déroulant "chez nous", on a inversion des délocalisations, j'ai trouvé ça bien pensé). L'ensemble marche plutôt bien.
- Le Dernier voyage de l’automate jour d’échecs par TD: C'est bien écrit, mais ça mène où? OK, c'est une uchronie, et en général je m'y ennuie. Mais surtout la finalité m'échappe: l'automate sort d'on ne sait où, je ne comprends pas la nature de la relation entre les 3 "frères" (un est l'humain, l'autre la machine, le 3ème l'esprit - et après?), quel rapport avec les roi-mages? La fin est annoncée plusieurs pages avant le dénouement, quel intérêt?
- Pour mon dernier anniversaire par XM: alors là vraiment rien compris du tout. Il aurait écrit "les chrmraguls ont terhfumié les gloauvs des humains en même temps que leurs fhyurs modifiaient les ufiuids", j'en serai au même point. Quelqu'un peut expliquer?
- Elle s’appelle Adèle par PI. J'ai beaucoup aimé. La boucle et le jeu erotisme-mort entre le début et la fin, la vision sociale désabusée (si on considère la nouvelle se déroulant "chez nous", on a inversion des délocalisations, j'ai trouvé ça bien pensé). L'ensemble marche plutôt bien.
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
Eric a écrit :Mais c'est Photonik. Le super-héros français !


J'aimais beaucoup les dessins de Tota sur Photonik (scénarii pompeux, mais images superbes)
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- Eric
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Ola, j'ai un souvenir trop vague de Nova pour vraiment me souvenir des histoires (si ce n'est celles, assez débiles de Mikros). Mais visuellement, ça faisait la blague (au point que je n'ai appris que bien plus tard que c'était français).
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
Nova? NOVA??????????
Photonik était dans Mustang et Spidey.
(y'a des jours, je comprendrais presque pourquoi les fanatiques de tout poil veulent tuer tout le monde).
Photonik dans Nova.
On aura tout lu !!
(c'est pour rire bien sûr)
http://www.pressibus.org/bd/polis/p/photonik.html
Pas bien mis en valeur, dommage, il y avait vraiment de superbes planches.
Photonik était dans Mustang et Spidey.
(y'a des jours, je comprendrais presque pourquoi les fanatiques de tout poil veulent tuer tout le monde).
Photonik dans Nova.
On aura tout lu !!
(c'est pour rire bien sûr)
http://www.pressibus.org/bd/polis/p/photonik.html
Pas bien mis en valeur, dommage, il y avait vraiment de superbes planches.
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- Eric
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J'ai fini tout à l'heure la nouvelle de Lehman, et bon... j'avoue manquer un peu d'objectivité dès qu'il s'agit de lui, mais c'est un excellent cru. Pas tant d'ailleurs pour l'histoire, que pour l'univers qu'il évoque en toile de fond et qui n'est pas sans faire écho à ses propres doutes. Doutes qu'il évoque largement dans l'itw fleuve de RIchard Comballot qui est en fin de volume.
La trâme est complexe, mais on y rentre finalement assez facilement. Comme toujours son style est très imagé, et l'ambiance se dessine parfaitement. C'est du très bon Lehman, qui donnera à ceux qui le connaisse peu une excellente idée de ce dont il est capable.
La trâme est complexe, mais on y rentre finalement assez facilement. Comme toujours son style est très imagé, et l'ambiance se dessine parfaitement. C'est du très bon Lehman, qui donnera à ceux qui le connaisse peu une excellente idée de ce dont il est capable.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.