J'en connais un qui traduirait Fondement par Qaida; même s'il n'est pas exactement un partisan de la LDH, ça donne à penser.gutboy a écrit :Ahahahahaha. Excellent Eons. Tout à fait involontaire. Lapsus révélateur sur mon opinion sur la LDH. Magnifique. Contraction. Fondement. C'est exactement ça.Eons a écrit :Gutboy a dit "contraction", pas "contradiction".Lensman a écrit :Il n'y a pas forcément de contradiction de fond (...)gutboy a écrit :Tu pointes du doigt, à mon sens, la contraction majeure au sein de la LDH (...)
La Volte : Nouvelles technologies et atteintes à l’humain
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- bormandg
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"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
						- Virprudens
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Même carément cons. Moi la façon dont elle chante me bouleverse, j'y entends vraiment un chant de desespoir avec une lumière d'espoir mêlée. Alors oui, dans les champs de coton on devait chanter comme ça.
Cette affaire me rappelle une interview de Pascal Légitimus que j'ai vue. Il expliquait qu'il avait été invité dans un diner et qu'à un moment un des convives lui demande "pouvez vous me passer la vinai.. euh, les condiments". Légitimus demande: pourquoi ne dites vous pas vinaigrette comme tout le monde? Le mec repond, gêné: euh ben, c'est à dire, il y a le mot "nègre" dans vinaigrette, alors, euh ben, euh vous comprenez, enfin, euh...
Ou celle de cet ligue anti raciste ricaine qui voulait faire un procès à Georges Lucas parce que le personnage de Jar-Jar Binks avait une démarche de noir et que c'était inadmissible de ridiculiser ainsi les noirs.
A quoi Lucas aurait répondu que ça lui inspirait 3 réflexions:
- des millions de gens ont vu mon film et quelques dizaine n'ont pas aimé? Je survivrai
- l'acteur qui est le modèle de Jar-Jar est noir. Je suggère à cette association de l'attaquer en justice parce qu'il a une démarche de noir.
- En regardant un personnage fictif dans un film d'imagination, certaines personnes y reconnaissent une démarche de noir, et c'est moi qu'ils traitent de raciste??
			
			
									
									Cette affaire me rappelle une interview de Pascal Légitimus que j'ai vue. Il expliquait qu'il avait été invité dans un diner et qu'à un moment un des convives lui demande "pouvez vous me passer la vinai.. euh, les condiments". Légitimus demande: pourquoi ne dites vous pas vinaigrette comme tout le monde? Le mec repond, gêné: euh ben, c'est à dire, il y a le mot "nègre" dans vinaigrette, alors, euh ben, euh vous comprenez, enfin, euh...
Ou celle de cet ligue anti raciste ricaine qui voulait faire un procès à Georges Lucas parce que le personnage de Jar-Jar Binks avait une démarche de noir et que c'était inadmissible de ridiculiser ainsi les noirs.
A quoi Lucas aurait répondu que ça lui inspirait 3 réflexions:
- des millions de gens ont vu mon film et quelques dizaine n'ont pas aimé? Je survivrai
- l'acteur qui est le modèle de Jar-Jar est noir. Je suggère à cette association de l'attaquer en justice parce qu'il a une démarche de noir.
- En regardant un personnage fictif dans un film d'imagination, certaines personnes y reconnaissent une démarche de noir, et c'est moi qu'ils traitent de raciste??
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
						- Virprudens
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- bormandg
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Parce que pour toi être de gauche ça veut dire gauchir (tordre) sa langue?Virprudens a écrit :Ouais, mais tu sais gutboy, j'ai encore l'illusion de croire que je suis de gauche - alors je prends tout plein de pincettes pour dire ce que je pense.gutboy a écrit :Même carément cons.
Parce que tu estimes que l'hypocrisie fait partie des valeurs de gauche?
Je ne commente pas davantage!
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
						Bonjour,
Sans vouloir parler au nom de la LDH - je n'ai aucune légitimité pour le faire-, je reviens un peu sur différentes choses évoquées précédemment que je trouve très intéressantes.
Le débat qui se développe au sein de la LDH sur cette question est double :
- que signifie la notion "d'homme" dans un univers technologique connecté / enrichi. L'idée au sein de la LDH (mais il y a débat) n'est pas forcément de rester sur une notion initiale de l'entité humaine. Il peut y avoir une tendance plus traditionnaliste autour de l'entité biologique (et son intégrité) ou d'autres tendances. C'est une question récurrente en SF (depuis blade runner à tous les textes évoquant des entités intelligentes artificielle), mais c'est une interrogation qui commence à poindre dans le monde contemporain quand on voit certains progrès. Ca rejoint là, les questions autour de mon double virtuel, des traces que je laisse, de cette extension non biologique de moi-même, et de savoir à qui apprtient cette extension et si elle a des droits.
-que signifie la notion de "droit", associée à la liberté, dans un société connectée.On parle de liberté publique, de droit à l'oubli, etc. Pouruquoi ? Dans quel cadre ? La solution passe-t-elle uniquement par la loi ou également par la technologie. Mais alors, comment s'assurer que tout le monde pourrait bénéficier de ces technologies (l'avantage du droit est que cela s'applique de manière uniforme, même si son respect concret demande une bataille de tous les instants), etc, etc.
Bref, tout ça pour dire que la LDH n'a pas de réponse toute prête et qu'elle essaie de bâtir des premières contributions / réflexions. A mon sens, on en est au départ.
Bon, je m'égare. En revanche, je trouve intéressante la perception de la Ligue dans ce qui est écrit et assez instructif sur le fait que l'image est brouillée.
A ++
Olivier
			
			
									
									
						Sans vouloir parler au nom de la LDH - je n'ai aucune légitimité pour le faire-, je reviens un peu sur différentes choses évoquées précédemment que je trouve très intéressantes.
Le débat qui se développe au sein de la LDH sur cette question est double :
- que signifie la notion "d'homme" dans un univers technologique connecté / enrichi. L'idée au sein de la LDH (mais il y a débat) n'est pas forcément de rester sur une notion initiale de l'entité humaine. Il peut y avoir une tendance plus traditionnaliste autour de l'entité biologique (et son intégrité) ou d'autres tendances. C'est une question récurrente en SF (depuis blade runner à tous les textes évoquant des entités intelligentes artificielle), mais c'est une interrogation qui commence à poindre dans le monde contemporain quand on voit certains progrès. Ca rejoint là, les questions autour de mon double virtuel, des traces que je laisse, de cette extension non biologique de moi-même, et de savoir à qui apprtient cette extension et si elle a des droits.
-que signifie la notion de "droit", associée à la liberté, dans un société connectée.On parle de liberté publique, de droit à l'oubli, etc. Pouruquoi ? Dans quel cadre ? La solution passe-t-elle uniquement par la loi ou également par la technologie. Mais alors, comment s'assurer que tout le monde pourrait bénéficier de ces technologies (l'avantage du droit est que cela s'applique de manière uniforme, même si son respect concret demande une bataille de tous les instants), etc, etc.
Bref, tout ça pour dire que la LDH n'a pas de réponse toute prête et qu'elle essaie de bâtir des premières contributions / réflexions. A mon sens, on en est au départ.
Bon, je m'égare. En revanche, je trouve intéressante la perception de la Ligue dans ce qui est écrit et assez instructif sur le fait que l'image est brouillée.
A ++
Olivier
- 
				Bouse Bleuâtre
 
Alors là, tu vois, ça c'est une idée de texte où je ne m'y connais pas. Le coup du mec qui dénonce la gégène avant même l'invention du vélo et de la dynamo, c't'un truc d'enfer.Nébal a écrit : Maintenant, j'imagine le même type écrire un texte contre les recherches en matière d'électricité ou de chimie, parce qu'aux XIXe et XXe, on pourra torturer avec.
- 
				Bouse Bleuâtre
 
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				Bouse Bleuâtre
 
On ne vous a pas attendus, les camarades: il y a des armes électriques dans le classique bien connu de Jacques-Antoine Reveroni Saint-Cyr, "Pauliska ou la perversité moderne, mémoire récents d'une Polonaise" (an VI, autrement dit 1798).Bouse Bleuâtre a écrit :Alors là, tu vois, ça c'est une idée de texte où je ne m'y connais pas. Le coup du mec qui dénonce la gégène avant même l'invention du vélo et de la dynamo, c't'un truc d'enfer.Nébal a écrit : Maintenant, j'imagine le même type écrire un texte contre les recherches en matière d'électricité ou de chimie, parce qu'aux XIXe et XXe, on pourra torturer avec.
Oncle Joe
- bormandg
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Pas exactement; plutôt de chercher SI ça pète, sans a priori.Katioucha a écrit :La SF, c'est quand même un peu poser une innovation scientifique dans le champ social et voir où ça pète, non ?
Et c'est assez différent.
Si on cherche à CONSTRUIRE un monde meilleur, on ne pose pas en principe de départ que toute innovation ne peut que DéTRUIRE.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
						On peut cependant considérer que la destruction de l'ancien système est EN SOI une bonne chose, sans présumer de la suite (mais ce n'est pas ma position...)bormandg a écrit :Pas exactement; plutôt de chercher SI ça pète, sans a priori.Katioucha a écrit :La SF, c'est quand même un peu poser une innovation scientifique dans le champ social et voir où ça pète, non ?
Et c'est assez différent.
Si on cherche à CONSTRUIRE un monde meilleur, on ne pose pas en principe de départ que toute innovation ne peut que DéTRUIRE.
A part ça, il me semble que l'idée de droits de l'homme (c'est à dire, justement, distinguée des prétendues lois de la nature (pure loi naturelle) ou du prétendu divin (dieu peut très bien ne pas exister ou ne pas intervenir)) est une idée progressiste, même si elle s'appuie sur des idées anciennes (comme toutes les idées...). Tout le monde n'est pas d'accord? (ça m'étonnerait, mais enfin, on trouvera bien un volontaire malicieux pour contredire...)
Oncle Joe
ça fait un peu cheapBouse Bleuâtre a écrit :Alors là, tu vois, ça c'est une idée de texte où je ne m'y connais pas. Le coup du mec qui dénonce la gégène avant même l'invention du vélo et de la dynamo, c't'un truc d'enfer.Nébal a écrit : Maintenant, j'imagine le même type écrire un texte contre les recherches en matière d'électricité ou de chimie, parce qu'aux XIXe et XXe, on pourra torturer avec.
faudrait le coupler avec le mec qui dénonce le dopage avant même l'invention du tour de france