Coming soon in a theater near you (Escales 2010)
Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m, Mathilde Marron, sebastieng
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Bon, assez joué. Vous le savez tous, la règle ici c'est pas d'insultes. Et il n'y a pas de dérogation.
Donc on calme les machines et on va tous faire un tour de dehors pour regarder si le vent a niqué la toiture du voisin.
Au prochain débordement nous lockons ce thread qui devient de moins en moins sympathique et j'efface ce que je juge insultant.
Merci de votre attention
Donc on calme les machines et on va tous faire un tour de dehors pour regarder si le vent a niqué la toiture du voisin.
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Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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Des spécialistes peuvent fournir une assistance étudiée, mon petit... sur demande, et même sans...MF a écrit :La pendaison, Papa, ça ne se commande pas...Lensman a écrit :Oui, mais très lentement, on ne sait jamais...Transhumain a écrit :Tu veux donc dire que les auteurs ne figurant pas au sommaire peuvent aller se pendre ?
Oncle Joe
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En même temps des anthologies généralistes génériques il n'y en a pas des masses. En France il y a quelque chose que l'on appelle le pluralisme. Serge a retenu sans doute les textes qu'il estimait le plus proche de sa sensibilité. Or pour le respect de ce pluralisme littéraire il faudrait deux ou trois anthologies du même type tous les ans pour montrer les différentes approches et les différentes sensibilités et là la balle est dans le camps des éditeurs.
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http://propos-iconoclastes.blogspot.com
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- Eudes Hartemann
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D'un autre côté, je vois mal des éditeurs multiplier les anthologies, sachant qu'une anthologie aboutit le plus souvent à un gros échec commercial et qu'un éditeur, c'est tout, sauf une Petite Soeur des Pauvres.Fabien Lyraud a écrit :En même temps des anthologies généralistes génériques il n'y en a pas des masses. En France il y a quelque chose que l'on appelle le pluralisme. Serge a retenu sans doute les textes qu'il estimait le plus proche de sa sensibilité. Or pour le respect de ce pluralisme littéraire il faudrait deux ou trois anthologies du même type tous les ans pour montrer les différentes approches et les différentes sensibilités et là la balle est dans le camps des éditeurs.
Cette comparaison osée n'est malheureusement pas de bon aloi !Lensman a écrit :Quand on pense que Régis Messac lui-même s'est publié dans sa propre collection, on se dit que, finalement...Fabien Lyraud a écrit :Bonjour la déontologie. Le directeur de collection qui publie dans une anthologie de sa propre collection.- Thomas Day
- bormandg
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Vraiment Tout?Eudes Hartemann a écrit :D'un autre côté, je vois mal des éditeurs multiplier les anthologies, sachant qu'une anthologie aboutit le plus souvent à un gros échec commercial et qu'un éditeur, c'est tout, sauf une Petite Soeur des Pauvres.

Même un défenseur de la littérature (ce qui suppose la publication d'oeuvres indépendamment du succès commercial attendu)?

Bon, il existe des éditeurs qui vient les choses de cette façon. Ils ne sont pas tous au service de leur directeur commercial.

"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
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J'aimerais bien connaître la raison du changement de titre.
"Retour sur l'horizon" fait écho à "escales sur l'horizon" mais pourquoi retours ? Est ce le contenu nostalgique des textes qui a présidé au choix de ce terme ? Ou autre chose ?
"Retour sur l'horizon" fait écho à "escales sur l'horizon" mais pourquoi retours ? Est ce le contenu nostalgique des textes qui a présidé au choix de ce terme ? Ou autre chose ?
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- Eudes Hartemann
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On peut être l'éditeur le plus intègre et le plus amoureux de son métier (je sais que ça existe : j'en ai rencontré un, une fois...), quand c'est Editis ou Hachette qui signe ton chèque de salaire, ça astreint à un minimum d'obligation de résultat. Alors, un coup de coeur une fois de temps en temps, d'accord ; mais de là à en faire son ordinaire...bormandg a écrit :Même un défenseur de la littérature (ce qui suppose la publication d'oeuvres indépendamment du succès commercial attendu)?![]()
Bon, il existe des éditeurs qui vient les choses de cette façon. Ils ne sont pas tous au service de leur directeur commercial.
"Retour sur l'horizon" je trouve ça pas mal comme titre.
Déjà qu'on ne pouvait pas faire escale sur l'horizon, y retourner pas plus, quelque part c'est cohérent. Et puis ça reste dans la lignée de ce que disait Clarke sur les limites du possible.
Toute façon il peut l'appeler comme il veut son antho Lehman, tant que ce qu'il y a dedans est bon.
(peu importe le flacon...)
Déjà qu'on ne pouvait pas faire escale sur l'horizon, y retourner pas plus, quelque part c'est cohérent. Et puis ça reste dans la lignée de ce que disait Clarke sur les limites du possible.

Toute façon il peut l'appeler comme il veut son antho Lehman, tant que ce qu'il y a dedans est bon.

L'affaire Herbefol
Au sommaire : La pointe d'argent de Cook, Black Man de Morgan, Navigator de Baxter, Cheval de Troie de Wells & The Labyrinth Index de Stross.
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- orcusnf
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Non, le vrai titre sera : AEVV revient, tous les autres space op sont pourris !
http://www.fantastinet.com l'actualité de la littérature de l'imaginaire