Deux nouvelles de Corinne Guitteaud à lire en ligne
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Deux nouvelles de Corinne Guitteaud à lire en ligne
Corinne Guitteaud a mis en ligne deux de ses nouvelles.
Il s'agit de La Vague et L'Astrogate.
C'est à découvrir ici
Il s'agit de La Vague et L'Astrogate.
C'est à découvrir ici
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
J'ai un souci avec le pdf, impossible de l'imprimer avec Acrobat Reader? (je suis vieux et lire sur écran un texte autre que technique me prend la tête)
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
- c.guitteaud
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Merci ça marche.
Je vais pouvoir lire ça en prenant un air concerné comme si c'était le nouveau cahier des charges tant attendu.
Je vais pouvoir lire ça en prenant un air concerné comme si c'était le nouveau cahier des charges tant attendu.
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- c.guitteaud
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Pour lui éviter de sombrer si vite dans les méandres, j'ajoute ici que je pense sortir ce recueil avec deux nouvelles de plus au format papier... quand j'aurai trouvé le temps de terminer les textes en cours pour Glyphe, notamment. J'y incluerai sans doute une uchronie notamment, dont l'idée m'est venue à Nantes, suite à la présentation de la nouvelle collection chez Flammarion.
- bormandg
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Tu peux aussi envoyer un ou deux textes à Bernard Henninger pour sa collection Vagabonde de mini-livres au Souffle du rêve, tu sais....c.guitteaud a écrit :Pour lui éviter de sombrer si vite dans les méandres, j'ajoute ici que je pense sortir ce recueil avec deux nouvelles de plus au format papier... quand j'aurai trouvé le temps de terminer les textes en cours pour Glyphe, notamment. J'y incluerai sans doute une uchronie notamment, dont l'idée m'est venue à Nantes, suite à la présentation de la nouvelle collection chez Flammarion.

"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
- c.guitteaud
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c.guitteaud a écrit :Oui, je l'ai vu à Nogent et je lui ai parlé de la Vague et de l'Astrogate, les deux nouvelles sont trop longues pour entrer dans sa collection,
Dommage
Tant mieux.c.guitteaud a écrit :mais rendez-vous a été pris pour d'autres textes.

"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Bon, un avis totalement profane de lecteur de base.
Lu La Vague.
Je trouve le texte trop court, tout arrive en enfilade très rapidement et c'est dommage, il y a matière à quelquechose de splendide. Il y a plein de points qui mériteraient développement parce qu'ils sont interessants (par exemple l'organisation sociale, ces noms qui se transmettent)
L'idée de la vague elle-même est visuellement très forte.
Pas été convaincu par la forme "récit", qui alourdi le texte (encore un argument en faveur d'un texte plus long).
Sur l’objet lui-même, la vague : j’ai été gêné par la description qui en est faite : une masse d’eau mouvante d’environ 10km de long.
Largeur ? profondeur ? Une objet est tridimentionnel, et particulièrement dans l’espace si on veut se faire une idée visuelle de l’objet c’est impossible si l’auteur ne fournit qu’une dimension.
La profondeur notamment est un élément clef du récit, vu ce qui s’y cache et
d’autant que quelques lignes plus loin "notre radar a détecté une gigantesque infrastructure à environ 100 mètres de profondeur"
Gigantesque comment ? Dans quelles directions ? C’est le même souci « visuel » ici : impossible de se faire une idée de l’infrastructure, donc de bien comprendre ce dont il est question.
De même, le vaisseau est broyé par la pression, mais comme on ne connait pas du tout la profondeur (quelques centaines de mètres peut être pour loger l’Infrastructure ?) il est difficile d’y croire.
Ca m’a réellement posé de gros soucis pour « rentrer » dans le texte.
Page 7 il y a une faute : « avait découvert comment prolongé la vie »: prolonger
Vraiment c’est un texte intéressant qui mériterait d’être développé.
Sur L’Astrogate, j’ai des souci aussi.
Le père s’appelle (page 13) Randolph Delmont. Or, à partir de page 15, il s’appelle un coup Pierre un coup Randolph. Compliqué…
C'est une nouvelle "sociale" cherchant à explorer certains travers possible de nos sociétés. Pas mal du tout, même si la fin est un peu abrupte.
page 20: "cette relâche qu'il avait attendu avec impatience s'annonçait jà bien compliquée" : déjà.
page 39: il y a un saut de ligne en trop (ou des parenthèses en trop) entre les lignes 18 et 19:
"n'ont pas demandé à venir au monde. (
Elle se pencha vers Charlotte)"
page 45: "Tu m'as prouvée que même l'amour": prouvé
Lu La Vague.
Je trouve le texte trop court, tout arrive en enfilade très rapidement et c'est dommage, il y a matière à quelquechose de splendide. Il y a plein de points qui mériteraient développement parce qu'ils sont interessants (par exemple l'organisation sociale, ces noms qui se transmettent)
L'idée de la vague elle-même est visuellement très forte.
Pas été convaincu par la forme "récit", qui alourdi le texte (encore un argument en faveur d'un texte plus long).
Sur l’objet lui-même, la vague : j’ai été gêné par la description qui en est faite : une masse d’eau mouvante d’environ 10km de long.
Largeur ? profondeur ? Une objet est tridimentionnel, et particulièrement dans l’espace si on veut se faire une idée visuelle de l’objet c’est impossible si l’auteur ne fournit qu’une dimension.
La profondeur notamment est un élément clef du récit, vu ce qui s’y cache et
d’autant que quelques lignes plus loin "notre radar a détecté une gigantesque infrastructure à environ 100 mètres de profondeur"
Gigantesque comment ? Dans quelles directions ? C’est le même souci « visuel » ici : impossible de se faire une idée de l’infrastructure, donc de bien comprendre ce dont il est question.
De même, le vaisseau est broyé par la pression, mais comme on ne connait pas du tout la profondeur (quelques centaines de mètres peut être pour loger l’Infrastructure ?) il est difficile d’y croire.
Ca m’a réellement posé de gros soucis pour « rentrer » dans le texte.
Page 7 il y a une faute : « avait découvert comment prolongé la vie »: prolonger
Vraiment c’est un texte intéressant qui mériterait d’être développé.
Sur L’Astrogate, j’ai des souci aussi.
Le père s’appelle (page 13) Randolph Delmont. Or, à partir de page 15, il s’appelle un coup Pierre un coup Randolph. Compliqué…
C'est une nouvelle "sociale" cherchant à explorer certains travers possible de nos sociétés. Pas mal du tout, même si la fin est un peu abrupte.
page 20: "cette relâche qu'il avait attendu avec impatience s'annonçait jà bien compliquée" : déjà.
page 39: il y a un saut de ligne en trop (ou des parenthèses en trop) entre les lignes 18 et 19:
"n'ont pas demandé à venir au monde. (
Elle se pencha vers Charlotte)"
page 45: "Tu m'as prouvée que même l'amour": prouvé
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
- c.guitteaud
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Merci pour toutes ces remarques et notamment pour les fautes qui traînent.
Je prends note aussi de l'idée de développer la Vague. Pourquoi pas
?
Petit ajout : les fautes que tu as indiquées sur l'Astrogate sont des blaques de Word et n'apparaissent pas sur le fichier que j'ai... Apparemment, il s'est emmêlé les pinceaux quand j'ai passé le fichier sous pdf... Je parle de la faute "jà" ou du saut de ligne que tu indiquais.
Sinon, le reste a été rectifié.
Merci pour ton aide
Je prends note aussi de l'idée de développer la Vague. Pourquoi pas

Petit ajout : les fautes que tu as indiquées sur l'Astrogate sont des blaques de Word et n'apparaissent pas sur le fichier que j'ai... Apparemment, il s'est emmêlé les pinceaux quand j'ai passé le fichier sous pdf... Je parle de la faute "jà" ou du saut de ligne que tu indiquais.
Sinon, le reste a été rectifié.
Merci pour ton aide
