il est peut-être non-aristotélicien...Seb a écrit :Ce "A" m'intrigue... Quel mystère insondable se cache derrière cette seule lettre ?
Retour sur l'Horizon: l'antho
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- Thomas Geha
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- Roland C. Wagner
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Je croyais que c'était A comme Alone…Thomas Geha a écrit :il est peut-être non-aristotélicien...Seb a écrit :Ce "A" m'intrigue... Quel mystère insondable se cache derrière cette seule lettre ?
« Regarde vers Lorient / Là tu trouveras la sagesse. » (Les Cravates à Pois)
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"Les joueurs de Jeanne", c'est bien aussi. Par contre, on évitera "La fin de Jeanne"...Travis a écrit :bientôt "Le monde des Jeanne"Thomas Geha a écrit :il est peut-être non-aristotélicien...Seb a écrit :Ce "A" m'intrigue... Quel mystère insondable se cache derrière cette seule lettre ?
Oncle Joe
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bravo à tous les survivantsGillesDumay a écrit :Papier, sur trois colonnes, dans le Libération de ce matin, par Frédérique Roussel.
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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- Roland C. Wagner
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Ca le sera plus tard, après 14h en principe.Roland C. Wagner a écrit :Pas lisible en ligne.GillesDumay a écrit :Papier, sur trois colonnes, dans le Libération de ce matin, par Frédérique Roussel.
"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
http://melkine.wordpress.com/
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Beau papier à la Frédérique Roussel (dans "Libé"), qui sait souvent faire passer ses enthousiasmes, tout en gardant toujours une discrète distance critique (la preuve que tous les critiques des médias habituels ne sont pas niais, autant pour moi... et elle, elle a lu l'antho, ça se voit, pas comme l'ingénue (ça va comme terme? pas trop lourd?) du "Monde"). Le mauvais esprit que je suis appréciera le "En attendant de plus amples développements" concernant la préface de Lehman (à titre personnel, je ne suis pas sûr que je les attends vraiment, sauf s'il arrive à éviter de mentionner Nietzsche et Schopenhauer (ou bien, il y a un gage...)), ainsi que le:
"on aura du mal à déceler une ligne de force, et l'emballage que donne Lehman est un peu trop facile",
qui me va aussi très bien. Mais pas de grimaces, hein:
"La liste des auteurs au menu prouve qu'il y a un chatoiement fécond".
Cette appréciation me plait beaucoup, car c'est la mienne, du moins dans les périodes où j'oublie la préface, décidément imbuvable à mon goût.
Le moins que l'on puisse dire est que la réception critique de l'antho est magnifique ! Il n'y a pour l'instant aucune excuse à la décision de l'éditeur de ne pas en faire une autre, sur laquelle il faut revenir (je ne suis pas si inquiet, ça ressemble un peu à la mort de Sherlock Holmes, personne n'y croit... et c'est la vie d'un genre décidément insoluble dans la littérature générale.)
(A part ça, j'ai dû éclater de rire en lisant la critique détaillée de Sylvie Denis, tellement elle appuie fort là où ça fait mal (je suis un peu masochiste par moment aussi, sans doute, quand on parle de mon genre de prédilection...))
Oncle Joe
"on aura du mal à déceler une ligne de force, et l'emballage que donne Lehman est un peu trop facile",
qui me va aussi très bien. Mais pas de grimaces, hein:
"La liste des auteurs au menu prouve qu'il y a un chatoiement fécond".
Cette appréciation me plait beaucoup, car c'est la mienne, du moins dans les périodes où j'oublie la préface, décidément imbuvable à mon goût.
Le moins que l'on puisse dire est que la réception critique de l'antho est magnifique ! Il n'y a pour l'instant aucune excuse à la décision de l'éditeur de ne pas en faire une autre, sur laquelle il faut revenir (je ne suis pas si inquiet, ça ressemble un peu à la mort de Sherlock Holmes, personne n'y croit... et c'est la vie d'un genre décidément insoluble dans la littérature générale.)
(A part ça, j'ai dû éclater de rire en lisant la critique détaillée de Sylvie Denis, tellement elle appuie fort là où ça fait mal (je suis un peu masochiste par moment aussi, sans doute, quand on parle de mon genre de prédilection...))
Oncle Joe
Allez, tiens, mon avis sur les deux premiers tiers de l'anthologie. Je ne l'ai pas encore finie. Il y a à cela deux raison : je savoure texte par texte et j'aime lire lentement, voire relire si j'ai l'impression d'être passé à coté du texte.
[message à caractère informatif]
Ce qui suit est l'avis d'un lecteur. Un lecteur lambda qui a échangé un exemplaire de Retour sur l'horizon contre 22,50€ (ouais, le libraire que je fréquente pratique une carte de fidélité qui donne droit à 10% de remise ; et fidèle je lui suis).
Ça n'a pas la prétention d'être une critique, une chronique, une analyse ou une glose ; c'est juste mon avis ; de lecteur.
C'est, j'en suis convaincu, empli d'erreurs factuelles, formelles, virtuelles, vénielles ou mortelles par rapport à ce que les auteurs ont écrit. Mais, comme je le rappelle, c'est MA lecture. Ça n'a peut-être rien à voir avec LEUR écriture ; j'assume.
Inutile de me jeter des cailloux. Comme je suis un dinosaure du genre ankylosauria, tout ce que ça peut faire c'est rebondir et produire des dégâts collatéraux. Par contre, si un auteur, un anthologiste, un éditeur, un fan, un autre lecteur veut bien me mettre le doigt, sans violence, sur mes erreurs, je serais heureux de les corriger lors de ma prochaine lecture.
[/message à caractère informatif]
Préface Serge LEHMAN
Je dois donc l'avouer, j'ai été assez déçu par le texte de SL. J'en attendais sans doute trop.
La dernière préface d'une anthologie de nouvelles de SF française qui m'ait emballé est celle de Philippe Curval pour l'anthologie Superfuturs. Et je n'y peux rien, elle vient en point de comparaison chaque fois que le lis une préface. J'attendais de ce Retour sur l'horizon , une certaine vision de la SF française post an 2000. Je ne l'ai pas trouvée. Maintenant, la thèse de SL qui donne lieu à débat (pour ou contre la métaphysique ? GA cosmologiques ou cosmogoniques ? etc.) ne m'a pas parue inintéressante ; mais pas tant pour sa lecture que pour le débat qu'elle génère.
Ce qui reste du réel/Effondrement partiel d'un univers en deux jours Fabrice COLIN/Emmanuel WERNER
Je l'ai lu comme un private joke, presque une blague de potache. Que FC convoque son avatar pour évoquer Dick, pourquoi pas. Qu'il lui rende ainsi hommage, c'est bien. Mais m'obliger à réécouter la conférence de 1977 pour me remettre dans l'ambiance, c'est un poil dur. Surtout que ce n'est pas ma période préférée de Dick. Ce texte m'est paru comme une fan-fan-fiction. A réserver aux initiés de Leur Club.
Tertiaire Éric HOLSTEIN
Les aventures d'Emerson Mighty/Abel Marguerite/Abel 8328/Abel MS Office Vision © m'ont forcément fait penser à celles de ce que serait un mix de Jérôme Kerviel/Mitch Courtenay. Le principe de la marchandisation/réification ne m'a pas plus surpris que ça (sentiment de déjà lu) mais le rythme et l'écriture m'ont bien plu. Tout au plus les titres de chapitres/scènes m'ont-ils semblé exacerbés (« Est-ce que sucer c'est tromper ? » par exemple),
Une fatwa de mousse de tramway Catherine DUFOUR
CD a un incroyable talent pour dénicher des titres qui déchirent son guillemot. J'ai trouvé dommage que le texte ne soit pas à la hauteur du titre. Pas l'écriture, le contenant, j'aime toujours autant. Mais le contenu. Est-ce parce que je connais l'histoire de Phénix (tout juste cachée derrière un Herp qui fleure bon son EPR) ou parce que l'inflation du présent a rattrapé le futur (Phénix a arrêté sa vie de centrale de production le 12 septembre alors que l'anthologie a été imprimé 5 jours plus tard) ? En tous cas, je suis resté sur ma faim. Le réel est-il soluble dans la SF ?
Les Fleurs de Troie Jean-Claude DUNYACH
Quelle belle nouvelle, même si j'ai trouvé le dernier tiers (retour sur terre et poursuite) un peu en retrait. La chute, désespérée est, par contre, idéalement placée.
Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à « Cristal qui songe » pendant toute ma lecture. Une boucle temporelle de la SF ?
Pirate Maheva STEPHAN-BUGNI
L'incursion d'un graphiste/dessinateur chez Kafka. Ça ne m'a pas plus interpellé que ça. Sans doute parce que je ne crois pas que ce soit de la SF.
Trois singes Laurent KLOETZER
Encore ce sentiment de déjà lu : l'arme virale et ses conséquences incontrôlées. Et en plus je n'ai pas réussi à accrocher, à croire à ce virus iconique dont le mode de propagation relève, à mes yeux, de la magie. Le texte vaut surtout par sa mise en forme et sa dernière phrase.
Lumière noire Thomas DAY
Il m'énerve TD !
Il trouve le moyen de me donner l'impression d'avoir réécrit Neuromancien en dehors de la matrice (« zone noire » <-> « zone libre » ; « lumière noire » <-> « lumièrrante » ;« jenny/jasper/franck » <-> « case/molly/armitage » ; la fin qui débouche sur la recherche par l'IA de l'altérité ou de son statut de divinité , en dehors du trop étroit système fréquenté par l'humanité ...) sous la forme d'un pseudo road-movie soit disant post-apo où il convoque les pires des clichés (le passage à l'âge d'homme de l'indien par le meurtre rituel ; les blancs qui violent les squaws ; la mort du chien fidèle lâchement abattu ; le camion de Mad Max ; le visage de mercure ; la radio libre ; octopodes et décapodes éboueurs de Rama ; "tout rassemblement de plus de 3 personnes..." ; etc.) et moi, comme un con, je marche, j'aime et j'en redemande.
Je suis juste déçu de n'avoir dénombré que deux bites, trois chattes et un seul trou du cul.
Temps mort André RUELLAN
Je me suis demandé ce que ce texte faisait là. On n'est plus dans la métaphysique, on est dans l'éthique. A réserver au corps médical.
D'ailleurs, SL le dit : ça relève de la collection « Angoisse »
Les Trois livres qu'Absalon Nathan n'écrira jamais Léo HENRY
L'auteur dans l'auteur dans l'auteur... Jeu de miroir, mise en abyme, récit fractal. Poupées russes littéraires.
L'emballage SF ne m'a pas semblé très solide (l'utopie, dystopie ou topie quelconque est-elle crédible ?) mais a largement suffit à me transporter de l'autre coté du miroir.
Pour l'instant, le meilleur texte de l'anthologie.
Penchés sur le berceau des géants DAYLON
L'idée est belle mais est tellement filée, effilée, qu'il n'en reste pas grand chose.
Sinon le rêve ?
J'avoue m'être ennuyé en pensant parfois que D se regardait écrire. Mais j'avoue que je ne goûte pas la SF poétique.
[message à caractère informatif]
Ce qui suit est l'avis d'un lecteur. Un lecteur lambda qui a échangé un exemplaire de Retour sur l'horizon contre 22,50€ (ouais, le libraire que je fréquente pratique une carte de fidélité qui donne droit à 10% de remise ; et fidèle je lui suis).
Ça n'a pas la prétention d'être une critique, une chronique, une analyse ou une glose ; c'est juste mon avis ; de lecteur.
C'est, j'en suis convaincu, empli d'erreurs factuelles, formelles, virtuelles, vénielles ou mortelles par rapport à ce que les auteurs ont écrit. Mais, comme je le rappelle, c'est MA lecture. Ça n'a peut-être rien à voir avec LEUR écriture ; j'assume.
Inutile de me jeter des cailloux. Comme je suis un dinosaure du genre ankylosauria, tout ce que ça peut faire c'est rebondir et produire des dégâts collatéraux. Par contre, si un auteur, un anthologiste, un éditeur, un fan, un autre lecteur veut bien me mettre le doigt, sans violence, sur mes erreurs, je serais heureux de les corriger lors de ma prochaine lecture.
[/message à caractère informatif]
Préface Serge LEHMAN
Je dois donc l'avouer, j'ai été assez déçu par le texte de SL. J'en attendais sans doute trop.
La dernière préface d'une anthologie de nouvelles de SF française qui m'ait emballé est celle de Philippe Curval pour l'anthologie Superfuturs. Et je n'y peux rien, elle vient en point de comparaison chaque fois que le lis une préface. J'attendais de ce Retour sur l'horizon , une certaine vision de la SF française post an 2000. Je ne l'ai pas trouvée. Maintenant, la thèse de SL qui donne lieu à débat (pour ou contre la métaphysique ? GA cosmologiques ou cosmogoniques ? etc.) ne m'a pas parue inintéressante ; mais pas tant pour sa lecture que pour le débat qu'elle génère.
Ce qui reste du réel/Effondrement partiel d'un univers en deux jours Fabrice COLIN/Emmanuel WERNER
Je l'ai lu comme un private joke, presque une blague de potache. Que FC convoque son avatar pour évoquer Dick, pourquoi pas. Qu'il lui rende ainsi hommage, c'est bien. Mais m'obliger à réécouter la conférence de 1977 pour me remettre dans l'ambiance, c'est un poil dur. Surtout que ce n'est pas ma période préférée de Dick. Ce texte m'est paru comme une fan-fan-fiction. A réserver aux initiés de Leur Club.
Tertiaire Éric HOLSTEIN
Les aventures d'Emerson Mighty/Abel Marguerite/Abel 8328/Abel MS Office Vision © m'ont forcément fait penser à celles de ce que serait un mix de Jérôme Kerviel/Mitch Courtenay. Le principe de la marchandisation/réification ne m'a pas plus surpris que ça (sentiment de déjà lu) mais le rythme et l'écriture m'ont bien plu. Tout au plus les titres de chapitres/scènes m'ont-ils semblé exacerbés (« Est-ce que sucer c'est tromper ? » par exemple),
Une fatwa de mousse de tramway Catherine DUFOUR
CD a un incroyable talent pour dénicher des titres qui déchirent son guillemot. J'ai trouvé dommage que le texte ne soit pas à la hauteur du titre. Pas l'écriture, le contenant, j'aime toujours autant. Mais le contenu. Est-ce parce que je connais l'histoire de Phénix (tout juste cachée derrière un Herp qui fleure bon son EPR) ou parce que l'inflation du présent a rattrapé le futur (Phénix a arrêté sa vie de centrale de production le 12 septembre alors que l'anthologie a été imprimé 5 jours plus tard) ? En tous cas, je suis resté sur ma faim. Le réel est-il soluble dans la SF ?
Les Fleurs de Troie Jean-Claude DUNYACH
Quelle belle nouvelle, même si j'ai trouvé le dernier tiers (retour sur terre et poursuite) un peu en retrait. La chute, désespérée est, par contre, idéalement placée.
Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à « Cristal qui songe » pendant toute ma lecture. Une boucle temporelle de la SF ?
Pirate Maheva STEPHAN-BUGNI
L'incursion d'un graphiste/dessinateur chez Kafka. Ça ne m'a pas plus interpellé que ça. Sans doute parce que je ne crois pas que ce soit de la SF.
Trois singes Laurent KLOETZER
Encore ce sentiment de déjà lu : l'arme virale et ses conséquences incontrôlées. Et en plus je n'ai pas réussi à accrocher, à croire à ce virus iconique dont le mode de propagation relève, à mes yeux, de la magie. Le texte vaut surtout par sa mise en forme et sa dernière phrase.
Lumière noire Thomas DAY
Il m'énerve TD !
Il trouve le moyen de me donner l'impression d'avoir réécrit Neuromancien en dehors de la matrice (« zone noire » <-> « zone libre » ; « lumière noire » <-> « lumièrrante » ;« jenny/jasper/franck » <-> « case/molly/armitage » ; la fin qui débouche sur la recherche par l'IA de l'altérité ou de son statut de divinité , en dehors du trop étroit système fréquenté par l'humanité ...) sous la forme d'un pseudo road-movie soit disant post-apo où il convoque les pires des clichés (le passage à l'âge d'homme de l'indien par le meurtre rituel ; les blancs qui violent les squaws ; la mort du chien fidèle lâchement abattu ; le camion de Mad Max ; le visage de mercure ; la radio libre ; octopodes et décapodes éboueurs de Rama ; "tout rassemblement de plus de 3 personnes..." ; etc.) et moi, comme un con, je marche, j'aime et j'en redemande.
Je suis juste déçu de n'avoir dénombré que deux bites, trois chattes et un seul trou du cul.
Temps mort André RUELLAN
Je me suis demandé ce que ce texte faisait là. On n'est plus dans la métaphysique, on est dans l'éthique. A réserver au corps médical.
D'ailleurs, SL le dit : ça relève de la collection « Angoisse »
Les Trois livres qu'Absalon Nathan n'écrira jamais Léo HENRY
L'auteur dans l'auteur dans l'auteur... Jeu de miroir, mise en abyme, récit fractal. Poupées russes littéraires.
L'emballage SF ne m'a pas semblé très solide (l'utopie, dystopie ou topie quelconque est-elle crédible ?) mais a largement suffit à me transporter de l'autre coté du miroir.
Pour l'instant, le meilleur texte de l'anthologie.
Penchés sur le berceau des géants DAYLON
L'idée est belle mais est tellement filée, effilée, qu'il n'en reste pas grand chose.
Sinon le rêve ?
J'avoue m'être ennuyé en pensant parfois que D se regardait écrire. Mais j'avoue que je ne goûte pas la SF poétique.
Modifié en dernier par MF le dim. nov. 01, 2009 7:14 pm, modifié 1 fois.
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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