Disons que ça s'utilise surtout au pluriel, mais je ne crois pas que la forme singulière soit incorrecte, surtout quand tu t'adresses à quelqu'un pour qu'il t'ôte un vilain parasite vampire.Hoêl a écrit :Heu , mathématique , c'est pas pluriel ?MF a écrit :On sait pas.Lensman a écrit :Pas en mathématique, en tout cas...Lem a écrit : si l'univers est infini, alors toute chose se répète éternellement .
Le temps n'apparaît pas en mathématique.
Du sense of wonder à la SF métaphysique
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- Roland C. Wagner
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« Regarde vers Lorient / Là tu trouveras la sagesse. » (Les Cravates à Pois)
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- Roland C. Wagner
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Hum... je suppose que c'est de la métaphysique: je ne comprends rien! Auquel cas, tout s'expliquerait (si j'ose écrire).Lem a écrit :Tu veux dire sur le plan logique ?
C'est vrai. Mais dans le cas de ce film, la question ne se pose pas : il est impeccable de ce point de vue et beau de tous les autres.
Oncle Joe
- Roland C. Wagner
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Non, c'est que je suis gâteux (une forme bénigne de l'éternel retour). Mais je vais suivre ton conseil, et on m'avait déjà parlé de ce film!Lem a écrit :Oncle, tu es la preuve vivante de l'éternel retour.
Oublie ces vingt pages de discussion. Ces définitions données dix fois. Oublie. Ça n'a aucune importance, après tout. Mais essaie de trouver ce film en dvd ; c'est réellement un classique de la SF dickienne.
Oncle Joe
- Jean-Claude Dunyach
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Mode autopub ONLem a écrit :(SPOILER) : le couple-héros du film a vécu son histoire d'amour, a eu recours à la firme en question pour en liquider le souvenir mais c'est la démarche elle-même qui est un échec : rendus à leur "virginité" affective, l'homme et la femme se recroisent, retombent amoureux et le cycle recommence.
J'ai traité exactement cette histoire (il y a diverses similitudes avec le film, d'ailleurs) dans ma nouvelle "Dans les jardins Médicis", parue dans le recueil Autoportrait en 1986 et reprise dans le recueil "les nageurs de sable". Elle a été une de mes premières nouvelles publiées en anglais, d'ailleurs.
Ce thème est devenu "classique" depuis la fin des années 1990 et sans doute l'était-il avant - on n'invente rien. C'est aussi un thème qui a peu à peu glissé de la SF vers la littgen, au sens ou l'effacement, l'extraction de choses aussi essentielles que les souvenirs ou les sentiments, ont cessé d'être des métaphores purement SF pour devenir des formes courantes de désir. Ou de désespoir.
Mode autopub OFF
Ca n'empêche pas que le film est une merveille, hautement recommandable.
Je compte pour 1. Comme chacun de vous...
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- Eons
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Eh oui ! La SF n'est-elle pas un virus qu'on aimerait voir contaminer plus de monde ?Lensman a écrit :La SF comme maladie... Hum, je me demande si ça va améliorer la réception critique. Mais si ça contamine d'autres lecteurs...
Oncle Joe
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- Roland C. Wagner
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