Euh, le relire ? Le passer à un(e) copain/copine pour lui faire découvrir un monde merveilleux ? Bref, nombre de mes livres n'ont pas qu'une seule vie.Cibylline a écrit :Voilà, ce genre de réaction me gêne.rmd a écrit :Aaaarghh.Cibylline a écrit :un objet matériel devenu inutile
Si personne n'a acheté l'objet, que veux-tu donc en faire ?
Le retour de la polémique.
Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
Après des années de cérémonie du Thé, il n’y a rien de meilleur que de vomir de la Bière.
Pour le pilon des éditeurs, si personne n'a voulu acheter leurs bouquins...rmd a écrit :Euh, le relire ? Le passer à un(e) copain/copine pour lui faire découvrir un monde merveilleux ? Bref, nombre de mes livres n'ont pas qu'une seule vie.Cibylline a écrit :Voilà, ce genre de réaction me gêne.rmd a écrit :Aaaarghh.Cibylline a écrit :un objet matériel devenu inutile
Si personne n'a acheté l'objet, que veux-tu donc en faire ?
Pour le particulier... je prête ou donne certains livres. Mais, si j'ai trouvé un truc nul, je ne vais pas le refiler à la copine en lui disant qu'il était trop mauvais pour moi.
Les livres que j'aime circulent. Les trucs inutiles partent à la poubelle.
Et il y a trop de livres par rapport au potentiel d'absorption des gens...
Pas d'accord , il y a quelques temps , un libraire dont je suis client régulier me refile 4 bouquins de poche offerts en promo. , parmi eux , il y avait un Gossip girl que je ne me suis même pas donné la peine d'ouvrir... eh ben , quand j'l'ai refilé à mes filles , ça a bastonné violent pour savoirlaquelle le lirait en premier ...
"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"
Un livre.Hoêl a écrit :Pas d'accord , il y a quelques temps , un libraire dont je suis client régulier me refile 4 bouquins de poche offerts en promo. , parmi eux , il y avait un Gossip girl que je ne me suis même pas donné la peine d'ouvrir... eh ben , quand j'l'ai refilé à mes filles , ça a bastonné violent pour savoirlaquelle le lirait en premier ...
Statistiquement pas très probant...
Voilà. Quand les parents renoncent à exercer leur autorité...Hoêl a écrit :Pas d'accord , il y a quelques temps , un libraire dont je suis client régulier me refile 4 bouquins de poche offerts en promo. , parmi eux , il y avait un Gossip girl que je ne me suis même pas donné la peine d'ouvrir... eh ben , quand j'l'ai refilé à mes filles , ça a bastonné violent pour savoirlaquelle le lirait en premier ...
Oncle Joe
C'est bien gentil de prendre les bénévoles des assoces pour des imbéciles qui ne savent pas faire le tri. ça manquait, ça...Cibylline a écrit :Récupérer des bouquins parce qu'un particulier ou une bibliothèque veut faire de la place, mais a un joli fond, je trouve ça bien.Le_navire a écrit :Il existe désormais des assoces qui récupèrent les bouquins pour les redistribuer en Europe et en Afrique francophone. Mais tout le monde s'en fout. J'ai jamais collé au pilon que les retours abîmés...
Récupérer des milliers d'invendus illisibles pour les refiler aux plus pauvres, ça ne me parait pas cool du tout.
Y'a une nuance entre l'éditeur qui se retrouve avec quelques centaines d'invendus qui pourront faire plaisir à d'autres qui n'ont pas eu les moyens de les acquérir et un remplacement systématique du pilon comme si l'Autre était notre poubelle.
"Ils ne sont grands que parce que vous êtes à genoux"
Cybilline, je veux bien être ta poubelle.
Si tu es d'accord, je te refile mon adresse. Comme je suis à peu près à l'opposé de ce que tu penses sur le pilon et quelques autres sujets, les bouquins que tu trouves inutiles pourraient peut-être me plaire. Dans le cas contraire, je trouverai bien quelqu'un a qu'ils pourront intéresser.
Le pilon me fait aussi grincer des dents. Si un bouquin a fini de faire gagner du fric à un éditeur, pourquoi ne pas le donner ? D'accord, l'éditeur ne fait pas du social, il vend des livres. Mais si le bouquin ne rapporte plus d'argent ?
Si tu es d'accord, je te refile mon adresse. Comme je suis à peu près à l'opposé de ce que tu penses sur le pilon et quelques autres sujets, les bouquins que tu trouves inutiles pourraient peut-être me plaire. Dans le cas contraire, je trouverai bien quelqu'un a qu'ils pourront intéresser.
Le pilon me fait aussi grincer des dents. Si un bouquin a fini de faire gagner du fric à un éditeur, pourquoi ne pas le donner ? D'accord, l'éditeur ne fait pas du social, il vend des livres. Mais si le bouquin ne rapporte plus d'argent ?
Je sais qu'on est sur un forum, qu'on cherche tous à faire un bon mot pour prouver qu'on est le malin de l'histoire et que l'autre a mal rédigé son intervention, mais, tu vois, des fois, c'est lourd...Le_navire a écrit :C'est bien gentil de prendre les bénévoles des assoces pour des imbéciles qui ne savent pas faire le tri. ça manquait, ça...
Tu as expliqué que, en tant qu'éditrice, tu n'avais rien fait partir au pilon.
Je réponds que, suivant les cas, le pilon, c'est mieux que de refiler à des gens.
Tu le vois où, le truc des bénévoles imbéciles ?
En fait, perso, le sport qui consiste à faire un bon mot, je le trouve de moins en moins drôle...
Si tu es sérieux, tu peux prendre contact avec Hélène Fairmarch, qui gère la rubrique Critiques de CitronMeringue et qui ne sera pas opposée, je pense, à te refiler des livres si tu prends en charge les frais de port... ou si tu habites pas loin.Aldaran a écrit :Cybilline, je veux bien être ta poubelle.
Si tu es d'accord, je te refile mon adresse. Comme je suis à peu près à l'opposé de ce que tu penses sur le pilon et quelques autres sujets, les bouquins que tu trouves inutiles pourraient peut-être me plaire. Dans le cas contraire, je trouverai bien quelqu'un a qu'ils pourront intéresser.
Combien d'exemplaires ou pour quel public ?Le pilon me fait aussi grincer des dents. Si un bouquin a fini de faire gagner du fric à un éditeur, pourquoi ne pas le donner ? D'accord, l'éditeur ne fait pas du social, il vend des livres. Mais si le bouquin ne rapporte plus d'argent ?
Quel est l'intérêt de refiler 500 exemplaires d'un livre qui n'a pas plu ? Et à qui ?
Techniquement, je sais rien. Mais on a parlé d'associations qui se souciaient de cette question. Faudrait leur demander.Cibylline a écrit :Combien d'exemplaires ou pour quel public ?Le pilon me fait aussi grincer des dents. Si un bouquin a fini de faire gagner du fric à un éditeur, pourquoi ne pas le donner ? D'accord, l'éditeur ne fait pas du social, il vend des livres. Mais si le bouquin ne rapporte plus d'argent ?
Sinon, les bibliothèques, peut-être ?
Qui n'a pas plu à QUI ? Tous les avis contraires seront preneurs, je pense.Cibylline a écrit :Quel est l'intérêt de refiler 500 exemplaires d'un livre qui n'a pas plu ? Et à qui ?
Je ne parlais pas de ce genre de "bon mot"...Lensman a écrit :C'est pourtant ce qui aère un peu les débats, quand tout le monde s'emballe. Non?Cibylline a écrit : En fait, perso, le sport qui consiste à faire un bon mot, je le trouve de moins en moins drôle...
Je ne comprends réellement pas l'intérêt de lire en diagonale l'intervention de quelqu'un et de répondre n'importe quoi qui sous-entend que l'autre n'a rien compris au débat.
Parce que ça oblige le premier, au choix, à répondre alors qu'il avait bien exprimé sa pensée, ce qui le met dans le rôle du radoteur pour le reste de la communauté, ou à ignorer l'attaque et à lire, quelques posts plus loin, qu'il a bien dit ce qui, en fait, a été mis par un autre sous son clavier.
Où est l'intérêt des débats dans ce cas ? Quels problèmes évoque-t-on ? Quelles réponses peut-on voir émerger ?
Le pilon, c'est une réalité nécessaire : t'as des centaines d'invendus, dont personne ne veut. Si tu ne les détruis pas, les impôts vont te taxer dessus, sans compter le souci du stockage.
Pourquoi est-ce que ça en choque certains ? Parce qu'on détruit un livre ou parce que l'éditeur a gaspillé, en amont, du papier en estimant mal les ventes ?
Refiler des milliers d'invendus à des assocs est-il souhaitable ?
On peut discuter des heures, en toute sérénité, de tas de sujets intéressants et sympas.
Perso, c'est pour cela que je viens pour les forums. Pas pour lire des réponses dont la seule intention semble être de dire "ahah, elle n'a rien compris".
Ca me fait penser à je ne sais plus qui qui, un peu plus haut dans la conversation, m'a sorti que je confondais le recteur et l'IA. Visiblement, mes propos l'avaient chagriné, mais, au lieu de me faire un petit MP ou de chercher sur Google pourquoi je parlais du recteur, il a préféré suggérer que je me trompais.
Je préfère largement l'attitude de celui qui m'a écrit en privé pour me demander de lui préciser un point sur les recteurs et préfets.
Pourquoi ce manque de respect alors que, en dehors de ces débats, chacun de nous sait parfaitement que l'autre est estimable/respectable ?