Il y a maintenant presque 30 ans, Bosse et Christian Darasse imaginaient dans les pages de Spirou les premières aventures de Zowie. Une série qu'ils ont développé pendant cinq ans avant de l'abandonner en 1983... Comme un retour de balancier, voici maintenant qu'ils y reviennent avec de nouvelles aventures du petit garçon malicieux.
Zowie, enfant rêveur
Zowie est un garçon qui a souvent la tête dans les nuages. Des rêveries qui provoquent à deux reprises son renvoi dans des internats. Sa mère n'a d'autre choix que de l'envoyer dans une institution « pour enfants récalcitrants », la bien nommée : Le Droit Chemin. Evidemment, cela ne fait pas une heure qu'il est dans l'école qu'il se bagarre à la cantine et se retrouve collé dans une vieille bibliothèque avec son adversaire. Ils doivent ranger et briquer la pièce envahie par les toiles d'araignées.
Heureusement, Zowie tombe sur un drôle de livre : Aux portes de Magisterra. C'est le début d'aventures loufoques et magiques...
Dans la plus pure tradition
Zowie est une BD jeunesse tout ce qu'il y a de plus classique. Les couleurs y sont vives et chaudes et le trait tout en rondeur tient essentiellement de l'école franco-belge des « gros-nez ». Pas de surprise donc au niveau graphique. Même chose au niveau du scénario. Zowie va vivre des aventures extraordinaires grâce à son livre, devenir ami avec le pire des élèves de l'école et faire tourner en bourrique le surveillant général (celui qui dit de son fameux livre « Littérature pour débiles mentaux... Il n'y a que la BD qui soit pire ! »). Pas de surprise mais pas de déplaisir non plus. Au contraire. On se laisse embarquer avec indulgence dans ce récit pour enfant qui multiplie les petits gags et les bons mots, voir on se surprend à sourire de temps à autre au détour des planches. Nul doute que la résurrection de Zowie est réussie. Un petit garçon qui devrait plaire aux enfants avec son intrigue entre humour et fantasy. A (re)découvrir.
Zowie, enfant rêveur
Zowie est un garçon qui a souvent la tête dans les nuages. Des rêveries qui provoquent à deux reprises son renvoi dans des internats. Sa mère n'a d'autre choix que de l'envoyer dans une institution « pour enfants récalcitrants », la bien nommée : Le Droit Chemin. Evidemment, cela ne fait pas une heure qu'il est dans l'école qu'il se bagarre à la cantine et se retrouve collé dans une vieille bibliothèque avec son adversaire. Ils doivent ranger et briquer la pièce envahie par les toiles d'araignées.
Heureusement, Zowie tombe sur un drôle de livre : Aux portes de Magisterra. C'est le début d'aventures loufoques et magiques...
Dans la plus pure tradition
Zowie est une BD jeunesse tout ce qu'il y a de plus classique. Les couleurs y sont vives et chaudes et le trait tout en rondeur tient essentiellement de l'école franco-belge des « gros-nez ». Pas de surprise donc au niveau graphique. Même chose au niveau du scénario. Zowie va vivre des aventures extraordinaires grâce à son livre, devenir ami avec le pire des élèves de l'école et faire tourner en bourrique le surveillant général (celui qui dit de son fameux livre « Littérature pour débiles mentaux... Il n'y a que la BD qui soit pire ! »). Pas de surprise mais pas de déplaisir non plus. Au contraire. On se laisse embarquer avec indulgence dans ce récit pour enfant qui multiplie les petits gags et les bons mots, voir on se surprend à sourire de temps à autre au détour des planches. Nul doute que la résurrection de Zowie est réussie. Un petit garçon qui devrait plaire aux enfants avec son intrigue entre humour et fantasy. A (re)découvrir.