L’auteur
Né en 1994 en Normandie, Thomas Carreras a vécu sa jeunesse à Sisteron. Sa mère est anglaise et il est anglophone. Après son Bac et son groupe de rock, il prend une année de congé, part en Floride et écrit son premier roman « 50 cents », publié en 2013.
Il travaille ensuite au journal La Provence et écrit « 100 000 canards par un doux soir d’orage ». Il est devenu écrivain…
L'histoire
L'histoire
Ginger, 18 ans, débarque à Merrywaters pour assister à un festival de musique. Elle trouve un travail dans un bar, mais elle n’imagine pas qu’il y aurait autant de canards dans les parages, ni qu’ils commenceraient à l’espionner.
En fait, nous sommes à l’aube d’une catastrophe : les canards menacent d’envahir le monde. Ces canards mutants sont nombreux, ils ont des dents et certains crachent du feu ! Sans compter le CANARD GEANT…
Mon avis
Mon avis
J’ai particulièrement aimé ce livre car il est extrêmement original et très drôle. Au fil des pages, le héros de l’histoire change. L’histoire est assez décousue. Thomas Carreras s’est fait plaisir, mais je n’ai pas été perdu.
Certains humains croient à une nouvelle religion du Dieu « Grand Coin ».
Le style est plutôt familier, il y a très peu de termes anglais.
De son aveu, l’auteur est victime d’anatidaephobia, peur panique à l’idée d’être observé par des canards.
Attention, les canards sont tellement nombreux et violents qu’ils peuvent renverser un char ou détruire un hélicoptère…
Malgré toute cette violence, je conseille fortement ce livre.