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2001 : L'Odyssée de l'espace

Arthur Charles Clarke ( Auteur), Patrice Giffard (Illustrateur de couverture), Michel Demuth (Traducteur)
Langue d'origine : Anglais US
Aux éditions : Collection :
Date de parution : 31/12/2000  -  livre
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2001 : L'Odyssée de l'espace

On se souvient tous du fameux film de Stanley Kubrick qui commence avec "Ainsi parlait Zarathoustra" de Strauss sur un levé de soleil à l’aube de l’humanité. Voici donc la novellisation du film dont l'idée de base était en fait une nouvelle de Clarke : La Sentinelle.

Il y a 3 millions d’années, alors que l’homme commence à peine à faire son apparition, un monolithe de cristal apparaît du jour au lendemain près d’un cours d’eau où une tribu d’Homo Sapiens vient s’abreuver. De manière insidieuse, il va influencer leur évolution...

La Lune mise en quarantaine.


… et 2000 ans plus tard, l’homme se déplace maintenant dans l’espace et a colonisé la lune. Justement pourquoi a-t-elle été mise en quarantaine ? Tout simplement parce qu'un monolithe noir a été désenseveli et l’on a constaté que, grâce aux strates de la lune, il date d’il y a environ 3 millions d’années. Après avoir capté un signal partant du monolithe en direction de Saturne les Américains décident d’envoyer une mission exploratrice pour voir ce qui se passe sur l’une des lunes de cette planète. Astronaute de son métier, David Bowman va emmener des scientifiques pour cette mission plus ou moins secrète. Durant le voyage différentes questions vont se poser.

Pourquoi le système de communication est défaillant, Pourquoi l’ordinateur de bord Carl 9000 tente de tuer les passagers ? Et surtout qu’y a-t-il vraiment du côté de Saturne ? Voilà beaucoup de questions auxquelles David Bowman va devoir répondre.

Un classique aussi important qu’il est court…


Nous avons à faire ici à un grand classique de la science fiction, une véritable référence. Malheureusement, l’intrigue n’est pas trépidante et comme il ne se passe rien d’extravagant on ne risque pas d’être captivé par le récit. Néanmoins c’est un livre qui se lit vite de par son nombre de pages, environ 180, et de par la simplicité avec laquelle Arthur C. Clarke l’a écrit. Je vous conseille sa lecture car on passe un agréable moment. Atout supplémentaire, pour ceux qui ont vu le film, cela leur permettra de mieux le comprendre.

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