Une aventure de la Vavache
Cousin Pinpin est le troisième épisode des aventures de la Vavache, une vache folle en rollers qui vit sur une île de rêve.
Dans le premier volume – Plif ! Plaf ! Plouf ! – Vavache recevait par la poste une piscine gonflable. L’occasion de bien s’amuser, jusqu’à ce que les voisins décident d’en profiter eux aussi.
Le deuxième volume, Tagada tsoin tsoin, commence, lui aussi, avec l’arrivée d’un objet. Cette fois, c’est un banjo qu'apporte le facteur. Vavache décide d’en jouer, pour le malheur de ceux qui ne sont pas sourds. Seule la lune semble apprécier les talents de la musicienne.
Cette fois, pour le troisième tome, c’est l'irruption d'un être vivant qui démarre l’aventure. Lorsque Pinpin le lapin décide de rendre visite à Vavache sur son île, il ignore qu’il prend des risques énormes. L’atterrissage en catastrophe n’est qu’un avant-goût de la déferlante de malchance qui va s’abattre sur lui. Où cela s’arrêtera-t-il ? Comment la vache sur roulettes s’y prendra-t-elle pour rendre plus agréable le séjour de son pauvre cousin ?
À lire tout seul, dès trois ans
Cousin Pinpin, c’est 22 pages en couleurs d’un album à lire tout seul dès trois ans. Publiée dans la collection Puceron chez l’éditeur belge Dupuis, cette bande dessinée sans bulles est scénarisée par Carine De Brab (Margot et Oscar Pluche, Sac à puces), dessinée par Virginie Vertonghen (illustratrice jeunesse et plasticienne) et colorisée par Veerle Swinnen (coloriste de Les Campeurs, Sac à Puces, etc.).
Le graphisme simple aux courbes adoucies, sans fioritures inutiles, les couleurs vives et peu nuancées, les situations simples présentées dans de grandes cases, voilà qui peut captiver l’attention des tout petits. Pour autant, les codes de la bande dessinée franco-belge ne sont pas laissés de côté.
Les lecteurs des BD Puceron, seront-ils nécessairement fans de bande-dessinés plus tard ? La collection, vieille de deux ans seulement ne permet pas le recul nécessaire. Les responsables des éditions Dupuis expliquent cependant fort bien le fonctionnement de ces récits pour enfants, sur le site internet de la collection et rappellent que les enfants familiarisés tôt avec la BD ont une meilleure maîtrise de leur langue.
Avec La Vavache, les petits pourront, en tout cas, s’initier avec plaisir à l’ordre de lecture des cases, au découpage de l’action en vignettes, à la compréhension des expressions faciales et des symboles du mouvement. Mais surtout, ils apprécieront une histoire rigolote, un peu cruelle, à lire et à relire.
Cousin Pinpin est le troisième épisode des aventures de la Vavache, une vache folle en rollers qui vit sur une île de rêve.
Dans le premier volume – Plif ! Plaf ! Plouf ! – Vavache recevait par la poste une piscine gonflable. L’occasion de bien s’amuser, jusqu’à ce que les voisins décident d’en profiter eux aussi.
Le deuxième volume, Tagada tsoin tsoin, commence, lui aussi, avec l’arrivée d’un objet. Cette fois, c’est un banjo qu'apporte le facteur. Vavache décide d’en jouer, pour le malheur de ceux qui ne sont pas sourds. Seule la lune semble apprécier les talents de la musicienne.
Cette fois, pour le troisième tome, c’est l'irruption d'un être vivant qui démarre l’aventure. Lorsque Pinpin le lapin décide de rendre visite à Vavache sur son île, il ignore qu’il prend des risques énormes. L’atterrissage en catastrophe n’est qu’un avant-goût de la déferlante de malchance qui va s’abattre sur lui. Où cela s’arrêtera-t-il ? Comment la vache sur roulettes s’y prendra-t-elle pour rendre plus agréable le séjour de son pauvre cousin ?
À lire tout seul, dès trois ans
Cousin Pinpin, c’est 22 pages en couleurs d’un album à lire tout seul dès trois ans. Publiée dans la collection Puceron chez l’éditeur belge Dupuis, cette bande dessinée sans bulles est scénarisée par Carine De Brab (Margot et Oscar Pluche, Sac à puces), dessinée par Virginie Vertonghen (illustratrice jeunesse et plasticienne) et colorisée par Veerle Swinnen (coloriste de Les Campeurs, Sac à Puces, etc.).
Le graphisme simple aux courbes adoucies, sans fioritures inutiles, les couleurs vives et peu nuancées, les situations simples présentées dans de grandes cases, voilà qui peut captiver l’attention des tout petits. Pour autant, les codes de la bande dessinée franco-belge ne sont pas laissés de côté.
Les lecteurs des BD Puceron, seront-ils nécessairement fans de bande-dessinés plus tard ? La collection, vieille de deux ans seulement ne permet pas le recul nécessaire. Les responsables des éditions Dupuis expliquent cependant fort bien le fonctionnement de ces récits pour enfants, sur le site internet de la collection et rappellent que les enfants familiarisés tôt avec la BD ont une meilleure maîtrise de leur langue.
Avec La Vavache, les petits pourront, en tout cas, s’initier avec plaisir à l’ordre de lecture des cases, au découpage de l’action en vignettes, à la compréhension des expressions faciales et des symboles du mouvement. Mais surtout, ils apprécieront une histoire rigolote, un peu cruelle, à lire et à relire.