
2077 : Suite à des décennies de guerre contre une force extra-terrestre terrifiante qui a ravagé la Terre, toute la population a été évacuée dans une colonie spatiale. Jack Harper, en station sur la planète Terre, est en charge de la sécurité et de la réparation des drones. Sa mission touche à sa fin. Dans à peine deux semaines, il rejoindra le reste des survivants. La vie de Jack est bouleversée lorsqu’il recueille la survivante du crash d’un vaisseau spatial. Ce qu’il pensait être la réalité vole en éclats.
Bande-annonce :
UNIFICATION : « Les effets spéciaux sont bluffants. Plus que jamais, le réalisme atteint un niveau extrême. Les objets, décors et paysage de synthèse offrent un degré de détail inégalé qui renforce leur matérialité. »
ÉCRAN LARGE : « C'est quand le héros se reconnecte progressivement à son passé que le film se prend un peu les pieds dans le tapis. Les révélations s'enchaînent alors de façon laborieuse et, à force de vouloir convoquer tous les grands concepts de la science-fiction, le film finit par perdre son spectateur. »
PREMIÈRE : « Le script est le parent pauvre de ce film qui vaut surtout par sa mise en scène élégante, claire et sophistiquée. »
EXCESSIF/TF1 : « On devine assez tôt ce que le sort réserve à Jack Harper et ce qui se trame dans le ciel et sous terre. Le tout est quand même rattrapé par une réalisation de bonne facture, un bon tempo et surtout un Tom Cruise en grande forme et toujours aussi impressionnant. »
LE MONDE : « Plus que les conventions d'un scénario qui renvoient à quelques ressorts classiques du genre, c'est dans une certaine forme de romantisme que le film de Joseph Kosinski puise sa force. »
LIBÉRATION : « Oblivion mixe blockbuster SF et ambitions auteuristes. »

Lorsque la caverne où ils vivent depuis toujours est détruite et leur univers familier réduit en miettes, les Croods se retrouvent obligés d’entreprendre leur premier grand voyage en famille. Entre conflits générationnels et bouleversements sismiques, ils vont découvrir un nouveau monde fascinant, rempli de créatures fantastiques, et un futur au-delà de tout ce qu’ils avaient imaginé.
Les Croods prennent rapidement conscience que s’ils n’évoluent pas… ils appartiendront à l’Histoire.
A partir de 6 ans.
Bande-annonce :
L’ÉCRAN FANTASTIQUE : « On est plongé dans un film d'action intense, plein de dangers, mais faisant aussi la part belle à l'humour et à l'émotion. »
BLOCKBUSTERMANIA : « The Croods est un film très réussi, réussissant à mêler une histoire forte, drôle et visuellement très belle. »
PREMIÈRE : « Les envolées romanesques, les moments en suspension (une extraordinaire scène à la cime d’un arbre), une forme d’émotion burlesque et la volonté de transformer cette odyssée préhistorique en fable philosophique, propulsent le fi lm vers des sommets conceptuels étourdissants. »
EXCESSIF/TF1 : « Une très belle réussite. »
POSITIF : « La mise en scène est brillante, les personnages sont drôles, et, comme dans Rebelle de Pixar, les canons de la beauté féminine ont bougé. »
LE MONDE : « Les Croods est un divertissement remarquable. »

Programme de 5 courts métrages d'animation.
Laissez-vous guider par le plus petit des hommes devenu roi ! Voici un petit tour d'horizon des contes et légendes de Hongrie remplis de mystère, d'ensorcellement, de ruse, de courage et de bien d'autres histoires magiques...
A partir de 3 ans.
Bande-annonce :
TÉLÉRAMA : « Ces jolis courts métrages venus de Hongrie évoquent, avec leurs couleurs chatoyantes, les miniatures qui ornaient autrefois les livres. »
PARIS MÔMES : « Tout est narré de manière délicieuse. On en aurait volontiers dégusté le double. »
LE MONDE : « Le Petit Roi et autres contes ne pêche que sur un point, mais qui frustrera sans doute plus d'un spectateur adulte de son plaisir : très semblables visuellement, variant trop souvent sur les mêmes thèmes, structures, nombres et caractères que les histoires de notre enfance nous ont rendus familiers, ces cinq histoires se ressemblent trop, à l'œil au moins, pour réussir le tour de force des meilleurs contes, et envoûter les plus grands malgré eux. »
Sylvain Fontaine