
La Terre est envahie. L’humanité est en danger. Nos corps restent les mêmes, mais nos esprits sont contrôlés. Melanie Stryder vient d’être capturée. Elle refuse cependant de laisser place à l’être qui tente de la posséder. Quelque part, caché dans le désert, se trouve un homme qu’elle ne peut pas oublier. L’amour pourra-t-il la sauver ?
Bande-annonce :
BRAINDAMAGED : « Il se dégage alors une certaine langueur dans ce film. Plat et lent on ne peut retenir ses bâillements. »
FILM DE CULTE : « Que ce soit dans son esthétique ou sa thématique, Les Âmes vagabondes se caractérise par le néant, le cinéaste n'ayant rien à proposer, et l'aspect new age à la naïveté plombante a tôt fait d'achever un film déjà profondément ennuyeux. »
LE NOUVEL OBSERVATEUR : « On va finir par penser que Bienvenue à Gattaca n’était qu’un heureux accident de parcours dans la carrière d’Andrew Niccol. »
LE PARISIEN : « Un formidable tempo et un excellent casting. »
LES INROCKUPTIBLES : « Une tyrannie futuriste mise en scène avec minimalisme et élégance par Andrew Niccol. »
CRITIKAT : « Si ce gloubi-boulga apocalyptique présente quelque intérêt, celui-ci réside dans un véritable trouble sur la nature de ces sentiments, sur les arrière-pensées sexuelles des uns et des autres. C’est certes provisoire (la fin trouve une réponse un peu trop facile à cette ambiguïté), mais cela fournit au film un ou deux pistes assez intéressantes pour échapper au naufrage qui, sur les autres plans, l’envoie inexorablement par le fond. »

Blackie, une brebis noire, est la terreur de la ferme. Son obsession : aller sur la Lune.
Kanuto, chien de berger en est secrètement amoureux. Pour la protéger, il est embarqué avec elle dans une folle aventure où ils vont rencontrer : un loup styliste, des araignées couturières, un gang de chiens cosmonautes et surtout Pinkie, un mouton géant transformé en Godzilla.
Cette aventure, drôle mais aussi romantique, nous dévoilera un terrible secret, qui changera notre idée de la Lune pour toujours…
Bande-annonce :
PREMIÈRE : « Malgré un écrin 3D ingrat, Nielsen parvient à imposer son humour cartoonesque et ses visions surréalistes. »
L’EXPRESS : « Trop sage pour séduire un public plus âgé. »
LE MONDE : « On n'aurait rien contre toute cette fantaisie si elle ne donnait pas la pénible impression de combler un vide abyssal d'inspiration, d'envie et de nécessité. »
Sylvain Fontaine