Wolverine : le combat de l’immortelLogan, l’éternel guerrier marginal, se retrouve au Japon. Là-bas, ses griffes en adamantium se heurteront à l’acier des samouraïs. Logan sera confronté à une figure mystérieuse de son passé, dans une bataille épique qui le changera à jamais.
Bande-annonce :
LE JOURNAL DU DIMANCHE : « Des scènes d'action spectaculaires dans des décors naturels somptueux, des combats enragés et quelques touches d'humour : un cadeau pour Hugh Jackman, décidément dans son élément. »
LE MONDE : « Alternant de manière un peu mécanique les scènes de combat (...) et les différents prétextes à introspection qu'il sème sur la route de son héros, le réalisateur fait un film qui n'est vraiment réussi ni dans l'action ni dans l'intime, sans être franchement raté sur l'ensemble. »
CRITIKAT : « Blockbuster sans souffle pensé sur une idée isolée (un personnage ultra cool), mais où les aléas de production ont réduit le reste à une telle coquille vide que les griffes du héros ne peuvent qu'y brasser de l'air. »
EXCESSIF/TF1 : « Sans manquer de personnalité, grâce notamment à un Hugh Jackman que l'on retrouve toujours avec un certain plaisir dans le rôle, ce "Wolverine" manque certainement d'originalité pour convaincre complètement. »
LES INROCKUPTIBLES : « En quelques plans effroyables, Mangold ouvre un bel horizon à son film, que la nullité du scénario et l’épaisseur de Jackman viennent hélas rapidement boucher. »
La cinquième saisonUne mystérieuse calamité frappe un village belge dans les Ardennes : le printemps refuse de venir. Le cycle de la nature est brisé. Alice et Thomas, deux adolescents du village, vont se battre pour donner un sens à leur vie dans un monde qui s’effondre autour d’eux.
Bande-annonce :
LE MONDE : « Les hommes sont sourds à la terre, et la terre sourde à l'homme. C'est à l'illustration de ce dialogue brisé que s'emploie "La Cinquième Saison", trouvant son langage propre dans une photographie merveilleuse. »
PREMIÈRE : « Un cinéma biberonné au surréalisme qui (...) parvient à susciter malaise et fascination. (...) Saisissant. »
TF1 / EXCESSIF : « Le concept (le printemps refuse de revenir, brisant le cycle de la nature) se révèle original et séduisant ; le traitement, hyper-stylisé, l'est autant. »
TÉLÉRAMA : « On n'a qu'un conseil à donner à Peter Brosens et à Jessica Woodworth : laisser tomber l'allégorie pour laquelle ils semblent peu doués et miser sur la fantaisie. »
La chair de ma chairAnna aime sa fille plus que tout au monde et est prête à tous les sacrifices pour la nourrir.
Mais l’assassinat de plusieurs personnes qui se sont approchées d’elle fait peser des soupçons sur sa santé mentale...
Bande-annonce :
LES INROCKUPTIBLES : « Ce thriller simple et rentré est avant tout remarquable par sa dimension autarcique, non seulement sur le plan de la production et de la réalisation, mais aussi pour son contenu. »
LE MONDE : « Au-delà du fait divers atroce, la transgression du tabou illustrée par le film relève tout autant de l'allégorie que d'une dimension mythologique. (...) Exercice compliqué mais convaincant ici. »
TÉLÉRAMA : « C'est bien mis en scène, bien joué, mais il manque une vraie progression dramatique. On a l'impression de voir un court métrage dilaté ou un long trop épuré. »
CRITIKAT : « Même si l'économie a changé, le leitmotiv du réalisateur reste ici le même : une approche excessivement psychologique des personnages qui verrouille littéralement le dispositif. »
Sylvain Fontaine