Hunger Games : l’embrasementKatniss Everdeen est rentrée chez elle saine et sauve après avoir remporté la 74e édition des Hunger Games avec son partenaire Peeta Mellark.
Puisqu’ils ont gagné, ils sont obligés de laisser une fois de plus leur famille et leurs amis pour partir faire la Tournée de la victoire dans tous les districts. Au fil de son voyage, Katniss sent que la révolte gronde…
Bande-annonce :
CLONEWEB : « La matière est là pour que ça marche, mais c’est toujours beaucoup trop sage. »
ECRAN LARGE : « On en viendrait presque à prendre le mors aux dents contre ce deuxième opus, sacrifié sur l'hôtel du Dieu marketing (un film de plus = davantage de bénef). Heureusement ce dernier parvient à retranscrire les passages qui nous ont tant fait vibrer à l'écrit. »
EXCESSIF/TF1 : « L'adaptation de Francis Lawrence est plus sombre, plus prenante. Plus adulte aussi. »
L’EXPRESS : « Réservée en priorité aux adolescents, la chose est curieusement très appréciable par les adultes en raison d'une esthétique soignée, d'une abondante inventivité, et de la présence de Jennifer Lawrence, la jeune comédienne la plus passionnante du moment. »
LES INROCKUPTIBLES : « Cinéaste assez impersonnel (Constantine, Je suis une légende, De l’eau pour les éléphants…), Lawrence, sans doute galvanisé par le matériau d’origine, émaille son académisme bon teint de visions estomaquantes. »
CRITIKAT : « L’œuvre de Suzanne Collins aurait mérité bien mieux. »
La sorcière dans les airsUne sympathique sorcière, son chat et son chaudron s'envolent sur un balai. Quel bonheur de voler ! Mais le vent se met à souffler très fort, et un dragon affamé vient de se réveiller.
A partir de 3 ans.
Bande-annonce :
FILM DE CULTE : « Le résultat est tout aussi doux et charmant que Le Gruffalo, avec une réussite égale du point de vue formel : le design et l'usage des couleurs est un petit régal pour les yeux. »
TELERAMA : « Synthèse de Wallace et Gromit pour l'esthétique tout en rondeurs acidulées et de La Fontaine pour la morale anthropomorphique, ce nouveau conte fait, en filigrane, l'éloge de la ruse et de la solidarité. Les enfants, et leurs parents, seront aux anges. »
LE MONDE : « Filmé en 2D, avec des marionnettes en volume, le film d'une grande richesse visuelle doit beaucoup au travail sur la couleur. »
FRANCE TELEVISION : « La musique, les voix (dont celle de Pierre Richard), le doublage, les personnages et surtout, surtout, l'histoire, composent une potion magique tout à fait euphorisante ! »
PARIS MÔMES : « C’est tout doux mais pas tout mou, raconté de voix de maître par Pierre Richard, et d’une durée assez modeste pour être agrémenté d’un avant-programme on ne peut plus cohérent. »
Dracula de Dario ArgentoTransylvanie, 1893. Une photo de Mina et Jonathan prise le jour de leur mariage déclenche l’irrésistible convoitise du comte Dracula, qui voit en Mina la réincarnation de sa bienaimée morte quatre cents ans plus tôt. Avec la promesse d’un emploi en qualité de bibliothécaire pour Jonathan, le comte parvient à faire venir le couple dans son château.
Bande-annonce :
DEVILDEAD : « Malgré les efforts déployés, Dracula 3D ne fait pas illusion bien longtemps. »
FILM DE CULTE : « Il y a décidément quelque chose qui tient la route là-dedans. A commencer par un coté old school assez bienvenu. »
FRANCE TELEVISION : « Argento réalise un film résolument daté, destiné aux « bisseux » (les amateurs de cinéma Bis), sans se prendre une seconde au sérieux, en recréant un style. Filmé en 3D, la recette ne fait que rajouter au procédé. »
EXCESSIF/TF1 : « Un ahurissant nanar. »
TELERAMA : « Si, c'est bien un Dario Argento en toute petite forme qui dirige — à peine — quelques gugusses raides comme la mort, coincés entre second degré et série Z. »
CRITIKAT : « Si, techniquement comme artistiquement, le rendez-vous est absolument manqué, jeter Dario Argento aux loups serait exagéré. »
Sylvain Fontaine