La Nuit au musée : Le Secret des pharaonsLarry, gardien de musée le plus survolté, quitte New York pour Londres où il va vivre sa plus grande aventure.
Bande annonce :
DEVILDEAD : « Si l’on veut être positif, même si ce n’est certainement pas un bon film, il y a tout de même une petite touche de poésie dans La nuit au musée : le secret des pharaons. »
CLONEWEB : «C’est donc, comme à chaque fois, une réussite, un film drôle et pour toute la famille. »
PREMIERE : «cette fable répond à son cahier des charges familial, à défaut de vraiment surprendre. »
A VOIR – A LIRE : « La suite fade d’une franchise assez lamentable en fait. »
TELERAMA : « Rien de bien nouveau dans cet ultime épisode, à part un voyage touristique au British Museum. »
Jupiter : Le Destin de l'universNée sous un ciel étoilé, Jupiter Jones est promise à un destin hors du commun. Devenue adulte, elle a la tête dans les étoiles, mais elle enchaîne les coups durs et n'a d'autre perspective que de gagner sa vie en nettoyant des toilettes.
Bande annonce :
FILMOSPHERE : « Impressionnant et magistral, Jupiter : le destin de l’univers est un orgasme visuel aux scènes d’action hallucinantes. »
ECRAN LARGE : « Jupiter Ascending porte le grand spectacle à un niveau stratosphérique, avec une ambition qu'on n'avait peut-être pas vue depuis... 1977. »
A VOIR – A LIRE : « Un sommet de mauvais goût faussement audacieux et une débâcle artistique qui on l’espère, ne génèrera pas le début d’une franchise... »
LE PARISIEN : « Le problème de ce space opera qui se veut ambitieux, c'est que, malgré la multiplication des poursuites et des combats qui lorgnent par moments du côté de Star Wars, on ne décolle pas du tout. »
LES INROCKUPTIBLES : « Le tandem de Matrix revient à une SF plus calibrée. Mais toujours jubilatoire. »
LIBERATION : « Un flot de prodigieux débris SF sur tapis de fleurs, déflagrations de marbres et de planète psychédélique pour kids sous weed. »
It FollowsAprès une expérience sexuelle apparemment anodine, Jay se retrouve confrontée à d'étranges visions et l'inextricable impression que quelqu'un, ou quelque chose, la suit. Abasourdis, Jay et ses amis doivent trouver une échappatoire à la menace qui semble les rattraper...
Bande annonce :
DEVILDEAD : « Ce qu’on en retire, en dehors de la certitude qu’on vient d’assister à quelque chose d’assez peu commun, c'est qu'on à là un film onirique et bien foutu, dispensant une horreur vraie comme on n’en avait plus vu depuis des années. »
ECRAN LARGE : « Une machine à faire peur mais aussi un intelligent condensé d'influences, doublé d'une métaphore cruelle sur le cycle de la violence. »
TF1 NEWS : « En plus d'être un grand film de trouille, It Follows s'apprécie aussi comme un très beau film sur l'adolescence, sur les heures mortes, la découverte du corps, la quête de soi, la fin du groupe. »
PREMIERE : « Il s’agit bien d’un véritable film d’auteur, qui utilise les codes du cinéma d’horreur pour mieux évoquer les inquiétudes adolescentes à la veille d’entrer dans le monde adulte. »
LIBERATION : « Constamment inventive et élégante, la mise en scène de David Robert Mitchell déploie dans le champ du film fantastique une théorie de la libido de la connaissance. »
CRITIKAT : « David Robert Mitchell enregistre un simple fait avec les déambulations des ados au milieu des rues fantômes de « Motor City » : il est effrayant de grandir dans un monde qui est lui-même en train de disparaître. »
Les Moomins sur la RivieraL’idyllique vallée des Moomins vit des jours paisibles. Mais il ne faut pas se fier aux apparences. L'intrusion d'une bande de pirates dont le navire s'est abîmé sur des récifs va bouleverser la vie tranquille des Moomins et leur donner soif d'aventure.
Bande annonce :
LE PARISIEN : « Une totale réussite. »
PREMIERE : « Cette adaptation réussie des BD de Tove Jansson respecte le trait clair épuré et l’humour pince-sans-rire de l’oeuvre originale. »
TELERAMA : « Aventures poétiques, rigolotes et gentiment satiriques au pays des riches. »
À noter la reprise dans quelques cinémas, dans le cadre d'une reprise des films de Frank Capra, de Horizons perdus.
Sylvain Fontaine