Robert Charles Wilson est né en 1953. Il a fait ses premières armes avec la publication de nouvelles dans des revues anglophones de science-fiction. Il a reçu le prix Aurora 2004 (décerné par l’association canadienne de la science-fiction et du fantastique) pour le présent ouvrage. Son roman Darwinia l’avait déjà obtenu en 1999. Cette récompense est attribuée par le vote des lecteurs.
« Ca pourrait s’arrêter n’importe quand »
A force d’observer les étoiles, les hommes ont fini par y trouver quelque chose d’intéressant. Le seul problème est que la technologie quantique, les O/BEC, utilisée pour observer des planètes distantes de plus de cinquante années lumières, leur échappent totalement. Ca marche un peu tout seul. Ainsi, dans la base scientifique de Blind Lake, les savants se livrent à l’étude du sujet (surnommé le Homard à cause de son aspect). Ils le suivent dans ses déplacements quotidiens en espérant comprendre la civilisation de cette lointaine planète.
Mais un jour, la ville est mise sous quarantaine sans aucune explication. Plus aucune communication ne passe vers l’extérieur et ceux qui tentent de sortir sont exécutés par l’armée. Ce blocus est-il lié à leurs observations ? Quels dangers court Blind Lake ?
Au milieu de tout ce brouhaha, la jeune Tess ne va pas bien. Depuis qu’elle est au contact des O/BEC, Tess est harcelée par la Fille Miroir qui a son apparence et qu’elle croise dans chaque surface vitrée.
Vers l’infini et au delà
Robert Charles Wilson nous plonge dans un huis clos à l’échelle d’une ville et avec un œil sur l’espace. Petit à petit, on se focalise sur plusieurs personnages confinés dans Blind Lake. Comme dans Darwinia, on retrouve deux clans de scientifiques qui s’affrontent : ceux qui considèrent que le sujet doit être considéré comme un être et les autres qui refusent tout anthropomorphisme et veulent observer sans s’impliquer.
Ce qui est intéressant, c’est que l’auteur écrit le récit au travers de différents personnages, que ce soit un personnage en quête de rédemption, un scientifique imbu de lui-même ou une jeune fille confrontée à un double mystérieux. Cela permet de mieux rentrer dans le récit et d’apprécier l’intrigue. Toutefois, bien qu’il y ait une vraie fin, l’auteur n’explique pas tout et laisse un peu le lecteur sur sa faim.
« Ca pourrait s’arrêter n’importe quand »
A force d’observer les étoiles, les hommes ont fini par y trouver quelque chose d’intéressant. Le seul problème est que la technologie quantique, les O/BEC, utilisée pour observer des planètes distantes de plus de cinquante années lumières, leur échappent totalement. Ca marche un peu tout seul. Ainsi, dans la base scientifique de Blind Lake, les savants se livrent à l’étude du sujet (surnommé le Homard à cause de son aspect). Ils le suivent dans ses déplacements quotidiens en espérant comprendre la civilisation de cette lointaine planète.
Mais un jour, la ville est mise sous quarantaine sans aucune explication. Plus aucune communication ne passe vers l’extérieur et ceux qui tentent de sortir sont exécutés par l’armée. Ce blocus est-il lié à leurs observations ? Quels dangers court Blind Lake ?
Au milieu de tout ce brouhaha, la jeune Tess ne va pas bien. Depuis qu’elle est au contact des O/BEC, Tess est harcelée par la Fille Miroir qui a son apparence et qu’elle croise dans chaque surface vitrée.
Vers l’infini et au delà
Robert Charles Wilson nous plonge dans un huis clos à l’échelle d’une ville et avec un œil sur l’espace. Petit à petit, on se focalise sur plusieurs personnages confinés dans Blind Lake. Comme dans Darwinia, on retrouve deux clans de scientifiques qui s’affrontent : ceux qui considèrent que le sujet doit être considéré comme un être et les autres qui refusent tout anthropomorphisme et veulent observer sans s’impliquer.
Ce qui est intéressant, c’est que l’auteur écrit le récit au travers de différents personnages, que ce soit un personnage en quête de rédemption, un scientifique imbu de lui-même ou une jeune fille confrontée à un double mystérieux. Cela permet de mieux rentrer dans le récit et d’apprécier l’intrigue. Toutefois, bien qu’il y ait une vraie fin, l’auteur n’explique pas tout et laisse un peu le lecteur sur sa faim.