
Abraham Lincoln, Chasseur de Vampires
Lorsqu'Abraham Lincoln découvre que des vampires assoiffés de sang se préparent à envahir le pays, il jure de les éliminer les uns après les autres, à coups de hache. C'est alors que se révèle un chasseur hors pair, menant une guerre secrète sans précédent, avant même de devenir l'illustre figure de la guerre de Sécession.
Interdit aux moins de 12 ans.
Bande-annonce :
Mad movies : « L’idée était belle, et à vrai dire honnêtement gérée dans le roman original de Seth Grahame-Smith. De ces 366 pages, il ne reste hélas qu’une peau de chagrin à l’écran, la moulinette hystérique de Timur Bekmambetov ayant tôt fait de broyer tout ce qui faisait le sel de l’œuvre. »
DevilDead : « Reste que si Abraham Lincoln, chasseur de vampires n’est pas le divertissement attendu, s’il déçoit et se montre aussi plat que bordélique, la faute n’est certainement pas imputable à de quelconques créatures imaginaires ! »
Unification : « ce serait dommage de passer à côté de ce bon pop-corn movie, un film qui ne se la pête pas plus haut que sa bobine tout en restant très distrayant. »
Première : « Bekmambetov réussit à peu près le pari de faire un revenge movie, doublé d’un film de vampires, triplé d’une réflexion – light – sur l’héroïsme. »
Les Cahiers du cinéma : « La fougue du cinéaste et son goût pour les matières le plus hétérogènes (un grand maelström de décors dispendieux et de trucages) font du film une suite de tours de forces s'étourdissant dans un délire d'arabesques et de visions. Dans ce genre strictement ludique, Bekmambetov, qui garde pour lui une élégance de découpage et un sens échevelé du récit vaut largement un Tony Scott. »
Les Inrockuptibles : « Amusant, mais, comme souvent chez le réalisateur, épuisant. »

Que feriez-vous si la fin du monde arrivait dans 3 semaines ?
C’est la question que toute l’humanité est obligée de se poser après la découverte d’un astéroïde se dirigeant tout droit vers notre planète. Certains continuent leur routine quotidienne, d’autres s’autorisent tous les excès, toutes les folies. Dodge est quant à lui nouvellement célibataire, sa femme ayant décidée que finalement, elle préférait encore affronter la fin du monde sans son mari. Il décide alors de partir à la recherche de son amour de jeunesse, qu’il n’a pas vu depuis 25 ans. Mais sa rencontre avec Penny risque de bouleverser tous ses plans.
Bande-annonce :
L'écran fantastique : « Ce road-movie romantique ressemble à ces innombrables démarques de genre codifiées à la nausée (...) où chaque séquence semble avoir été si souvent vue qu'on oubliera le tout si tôt franchie la porte de la salle. »
Unification : « Une expérience drôle-amère pour un film de fin du monde différent… »
Première : « En se baladant de fête surprise en dîner surchauffé, d’épicerie de nuit en repaire de révolutionnaires surarmés, le film présente une cartographie humaine attachante, rythmée par une musique pop-rock joliment mélodieuse. Et, contre toute attente – contre le spectateur, même –, ça finit par marcher. »
Excessif : « Un plaisir coupable, apocalyptique et romantique. »
Telerama : « Une fin du monde étrangement calme et, paradoxalement, très euphorisante. »
Le Monde : « il n'était pas la peine de sacrifier une planète pour donner l'occasion à Steve Carrel de passer une nuit avec Keira Knightley. »
Sylvain Fontaine